La science des miracles

 

Percevoir et comprendre notre relation au monde, c’est envisager que tout ce que nous émettons est une énergie active qui trouve sa place et son effet dans notre environnement visible et invisible. Autrement dit, nous pouvons tout influencer, et si cela est fait en conscience et en nombre, l’effet est puissant et immédiat.

C’est ce qui se fait chaque jour par les peurs et les haines véhiculées à travers le monde et amplifiées par les voix médiatiques, qui créent ainsi de puissants égrégores dont l’effet est désastreux sur l’évolution de la vie. Dès lors qu’un nombre suffisant l’aura compris et inversera la tendance, alors le monde changera. Et c’est ce qui est en train d’arriver.

Ca n’est pas une théorie, ça n’est pas non plus seulement un enseignement, c’est un fait. Un fait que la science a mis à jour depuis déjà de nombreuses années, sans que cela ait été entendu à ce jour.

Voici la transcription d’une vidéo en anglais de Gregg Braden* (dont j’ai légèrement retouché la syntaxe pour mieux l’adapter à l’écrit) qui décrit quelques unes des expériences menées à ce sujet :

Le Passeur.

 

La Science des miracles – Par Gregg Braden.

Depuis 1887 jusqu’au début des années 1990, toute la science occidentale était basée sur le principe que ce qui arrive en un lieu n’a absolument aucun effet sur ce qui arrive ailleurs. Et maintenant nous savons que c’est absolument faux.

Aussi j’aimerais partager avec vous trois expériences qui secouent totalement les fondements de la physique occidentale.

La première a été conduite par le physicien russe Vladimir Poponin, au début des années 1990. Il est venu aux États-Unis pour terminer cette série d’expériences. Ce que Poponin voulait, c’était investiguer la relation entre l’ADN humain et la matière dont notre monde est constitué, les petits paquets d’énergie que nous appelons photons, des petites particules de lumière si vous préférez les voir ainsi. Donc son expérience consistait à prendre un tube en verre, à retirer tout l’air de ce tube, créant ce que nous appelons aujourd’hui un vide impliquant qu’il n’y a plus rien dans le tube. Cependant nous savons qu’il y reste encore quelque chose. Ce sont ces petites particules de lumière.

Poponin mesure alors ces particules pour voir comment elles se répartissent. Est-ce qu’elles volent partout dans le tube ? Sont-elles agglutinées dans le fond ? Que leur arrive-t-il ? Les résultats de cette partie de l’expérience n’ont pas été surprenants. Car les particules de lumière, les photons, étaient complètement aléatoires. Et c’est ce à quoi il s’attendait. La deuxième partie de l’expérience devient vraiment très intéressante. Parce qu’ils ont placé un peu d’ADN humain dans le tube. Et l’ADN humain, quand ils ont mesuré à nouveau les photons, l’ADN humain a provoqué l’alignement des photons. L’ADN a un effet direct sur la matière dont notre monde est constitué !

Et c’est précisément ce que les traditions spirituelles anciennes ont toujours dit. Que quelque chose en nous a un effet sur le monde qui nous entoure.

La deuxième expérience est fascinante. C’est une expérience militaire. Ce qu’ils ont fait, en résumé, c’est prendre un peu d’ADN humain et quelques cellules de l’intérieur de la bouche d’un donneur volontaire. Ils ont placé cet ADN dans un instrument pouvant mesurer ses effets dans une salle d’un immeuble alors que le donneur ayant fourni l’ADN était dans une autre salle du même bâtiment.

Ils ont alors soumis le volontaire dans une autre partie de l’immeuble à ce qu’ils ont appelé une stimulation émotionnelle, suscitant des véritables réactions de joie, de tristesse, de peur, de colère ou de fureur. Ils ont mesuré l’ADN pour voir s’il serait affecté par les émotions du donneur. Pourquoi le serait-il ? D’une part, dans la physique occidentale actuelle rien ne permet de dire que cet ADN est encore relié au donneur. D’autre part, ce sont eux qui dirigeaient ces expériences. Ce qu’ils ont trouvé a été exactement l’opposé. Ce qu’ils ont trouvé était que quand le donneur avait des pics et des creux émotionnels dans une salle, l’ADN avait des pics et des creux dans l’autre salle exactement au même moment…

Et la troisième expérience a aussi été réalisée au début des années 1990 par l’Institut de HeartMath. C’est un organisme de recherche de pointe au nord de la Californie qui explore le cœur comme étant bien plus qu’une simple pompe déplaçant du sang à travers le corps. Bien qu’effectivement il le fasse, cela peut être le minimum de ce que notre cœur réalise. Ils ont découvert que nos cœurs sont les plus puissants champs magnétiques de nos corps, le champ électromagnétique produit par notre cœur a un effet qui s’étend bien au delà de nos corps.

Donc ils mettent au point une expérience pour tester précisément cette théorie. Il n’est pas surprenant qu’ils aient pris un peu d’ADN humain et l’aient isolé. Puis ils ont demandé de ressentir des sentiments sur commande à des personnes entraînées à avoir ce qu’on appelle des sentiments humains cohérents, des sentiments très clairs d’amour, de reconnaissance, de compassion, de colère, de rage et de haine. Pendant que ces personnes entraînées le faisaient, ils ont mesuré la réaction de l’ADN. Et ils ont trouvé ceci : ils ont trouvé qu’en présence de reconnaissance, d’amour, de compassion, de pardon, l’ADN se relaxait énormément.

Et l’exact opposé est tout aussi vrai. En présence de colère, de fureur, de haine, de jalousie, l’ADN est contracté en un petit nœud.

Bien, chacune de ces expériences est intéressante en elle-même.

Cependant quand vous les mettez ensemble, plutôt que de rester des expériences isolées intéressantes, elles se mettent à raconter une histoire. Et l’histoire ressemble à quelque chose comme ceci : La première expérience, celle de Vladimir Poponin, nous dit que l’ADN dans notre corps a un effet direct sur notre monde, sur les éléments physiques dont notre monde est constitué au niveau énergétique. La dernière expérience montre que les sentiments humains ont la capacité de changer l’ADN qui a un effet sur le monde qui nous entoure. L’expérience du milieu, celle qui a été conduite par l’armée des États-Unis, montre que si nous sommes dans le même immeuble ou à 600 km de là, l’effet est le même. Nous ne sommes pas limités par l’espace et le temps. En réalité, les résultats de ces expériences disent précisément ceci : vous et moi avons dans notre corps un pouvoir qui n’est pas limité par les lois de la physique telles que nous les comprenons aujourd’hui.

Les anciennes traditions n’ont pas seulement reconnu cette relation, elles nous invitent à l’étape suivante et laissent des instructions précises sur la façon de les appliquer dans nos vies.

À la fin des années 1980, j’étais ingénieur pour la Défense dans des entreprises aérospatiales. J’ai commencé à explorer ces concepts en ingénieur observant le monde environnant, pour comprendre l’histoire de ceux qui nous ont précédés.

Et c’est cette pensée qui m’a conduit à voyager dans des sites parmi les plus extraordinaires de ce monde – des temples égyptiens aux Andes de Bolivie et du Pérou, en Inde, au Népal, dans les hauts plateaux de la Chine centrale et du Tibet, partout dans le désert du sud-ouest américain – afin de chercher de l’information et des preuves qui pourraient nous aider à comprendre comment nous sommes en relation avec le monde et comment nous pouvons utiliser ce pouvoir des émotions, ce pouvoir qui parle le langage du monde qui nous environne.

Et c’est précisément ce qu’un moine du Tibet nous a décrit. Il décrivait un mode de prière basé sur l’émotion. Et il a dit : « Nous devons ressentir l’émotion comme si la prière était déjà exaucée. » Avec ce sentiment, nous parlons des forces de création permettant au monde de nous répondre. Permettant à ce champ, cet hologramme quantique, l’esprit de Dieu, de nous répondre avec ce qui est dans ce que nous ressentons en nos cœurs. Aussi, plutôt que de prier et de se sentir impuissant dans une situation – Cher Dieu, s’il te plaît, donne la paix au monde – ce mode de prière nous invite à nous sentir participants de cette paix.

En 1972, vingt-quatre villes des États-Unis ont été utilisées dans la conduite d’une expérience où des gens étaient entraînés à ressentir un état de paix d’une façon très particulière. Ils ont été stratégiquement placés dans ces villes, chacune avec une population de plus de dix mille habitants. Ils ont été mentionnés dans des études très connues, les Transcendental Meditation Studies, réalisées au début des années 1970.

Ce qui est arrivé, c’est qu’au moment où les gens ressentaient ce sentiment de paix dans la communauté qui les environnait, les populations ont vécu des diminutions statistiquement vérifiées de la criminalité, au delà des immeubles où ils faisaient cette expérience. Les crimes violents contre les personnes et les accidents de la route ont décru. Dans quelques agglomérations comme Chicago où il y a une Bourse, le marché des échanges s’est envolé pendant que la paix régnait. Et quand ils ont cessé leurs prières, toutes ces statistiques se sont inversées. Ils ont renouvelé cette expérience de nombreuses fois.

C’est tellement précis que nous connaissons maintenant le nombre exact de personnes requises pour lancer ce type d’effet, les statisticiens ont pu le déterminer. Aussi je vais partager cette formule et je décrirai ce qu’elle signifie. L’effet est d’abord remarqué quand un certain nombre de personnes participent. Ce nombre, la quantité minimum, est la racine carrée d’un pour cent (√1%) d’une population donnée.

Alors ça veut dire quoi ? Avec une ville d’un million d’habitants par exemple, vous prenez 1% d’un million (sur votre calculette) puis vous faites la racine carrée de ce que ce 1% donne. Ce chiffre vous indique le nombre de personnes nécessaires – le seuil nécessaire – pour commencer l’effet. Évidemment plus de personnes participent, plus l’effet est important. Pour une ville d’un million de personnes, ce nombre n’est que d’environ 100. Dans un monde de six milliards d’habitants, la racine carrée de 1% est d’environ 8.000 personnes.

J’ai eu l’occasion à cette époque de voir une vidéo sur la guérison d’un cancer de 7,6 cm de diamètre dans la vessie d’une femme, il avait été diagnostiqué inopérable selon les critères médicaux occidentaux. En dernier recours elle est allée dans un hôpital sans médicaments à Pékin en Chine [à présent fermé pour raison politique – VisualizeDaily.com].

Dans la vidéo, on voit la femme couchée dans une chambre d’hôpital. Elle est tout à fait réveillée et consciente, elle croit au processus qui va se produire. Devant elle, un technicien passe une sonde à ultrasons au-dessus de son bas-ventre et on peut voir l’échographie sur une télévision à écran partagé. À gauche de l’écran il y a un instantané, une image arrêtée à un moment précis pour référence. Ainsi nous voyons son état à ce moment donné. À droite de l’écran, nous pouvons observer en temps réel trois praticiens se tenant derrière elle. Ils travaillent avec l’énergie dans son corps et avec les émotions dans leurs corps.

Alors ils commencent à psalmodier un mot qui, pour eux, renforce le sentiment intérieur qu’elle est déjà guérie, ils se sont entendus là-dessus. La mélopée dit essentiellement : « déjà guérie », « déjà fait ». Dès qu’ils commencent à avoir ce sentiment et qu’ils disent ces mots entre eux, sur l’écran de télévision on peut observer en temps réel cette tumeur cancéreuse disparaître en moins de trois minutes – en temps réel… Ce n’est pas comme l’accélération du temps dans un documentaire, quand vous voyez une rose s’épanouir en trente secondes, ce qui arrive normalement en plusieurs jours. C’est littéralement arrivé en moins de trois minutes ! Son corps a réagi aux sentiments des praticiens qui étaient entraînés à avoir ce type d’émotion qu’ils ressentaient. Et tout ce qu’ils ressentaient était le sentiment d’être en présence d’une femme déjà guérie. Pleinement rétablie, avec toutes ses capacités. Ils ne la voyaient pas comme une femme malade. Ils ne disaient pas : « Mauvais cancer, tu dois t’en aller ».

J’ai eu l’opportunité de parler à ce monsieur, Luke Chan, qui a réalisé ce film. Et je lui ai posé une question. J’ai dit : « Et si les praticiens n’avaient pas été là ? Cette femme aurait-elle pu le faire, n’importe qui pourrait-il le faire lui-même ? » Il m’a souri quand je lui ai posé la question. Il a dit : « Gregg, en toute probabilité, elle aurait pu le faire seule. Toutefois il y a quelque chose avec nous, les humains, il semble que nous nous sentons plus puissants et forts quand nous sommes soutenus par d’autres dans ce que nous croyons, dans ce que nous choisissons d’accomplir. »

Bien plus récemment, le scientifique Masaru Emoto, a effectué une recherche sur les relations entre les émotions humaines, les sentiments humains et les gouttes d’eau. Celle-ci démontre cette relation encore plus ostensiblement. Il se trouve que ces scientifiques, ce programme spécifique de recherche, ont découvert que des gouttelettes d’eau, qui par ailleurs constituent 70% de notre monde et 70% de nos corps, que ces gouttelettes d’eau réagissent aux émotions humaines, qu’elles soient ressenties dans le corps ou écrites sur des étiquettes placées sur des flacons d’eau. Et au sentiment du chercheur quand il a écrit l’étiquette et l’a placée sur ces flacons. Les flacons sont alors congelés pendant une période déterminée, retirés du congélateur, puis ils cristallisent en commençant à fondre. Et les cristaux sont le signe révélateur de ce qui s’est passé avec l’émotion.

Et c’est magnifique, magnifique, ce sont des exemples très pointus de la façon dont chacun de nous a la possibilité de participer. Pas par le contrôle et la manipulation mais plutôt en participant aux événements de notre monde, aux événements de nos vies, nos familles, nos communautés et nos corps au travers du champ qui relie tout dans la création.

 

* A propos de Gregg Braden, voir aussi sur ce site Le Temps Fractal.

Gregg Braden. Traductrice: Bénédicte

Source originale via La Presse Galactique.

Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)

 

 

A propos Le Passeur

Nomade sur le chemin...
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12 réponses à La science des miracles

  1. AlKriS dit :

    C’est excellent. Pendant un bon moment, durant ces dernieres années, je me suis souvent posé la question de savoir quoi faire avec ce type de connaissance. Une fois convaincu, vient le temps de la « discipline », du centrage, pour canaliser ses pensées de manière consciente dans un premier temps pour enfin intégrer de nouvelles manières de fonctionner et arrêter de fabriquer de la m…. (désolé, je ne vois pas de terme plus approprié).

    Mais très vite je me suis demandé : comment faire profiter l’extérieur de ça ? Mes proches, les gens que je croise, ceux qui visiblement auraient besoin d’aide…. Je n’ai pas encore tout à fait trouvé la réponse mais j’ai pris la résolution d’appliquer d’abord tout ça à ma propre personne et de me limiter à cela uniquement, du moins pour un temps.
    Partant du postulat que de toute façon ça ferait tâche et ça diffuserai là où ça doit, sans me poser d’autres questions. Je vois dans ce reportage que c’est peut être bien très efficace comme ça. L’intérêt étant aussi qu’en pratiquant de cette manière, l’intélect ne peut plus vraiment s’approprier la paternité de l’action. Je trouve que c’est un bon moyen de développer son humilité et son lâcher prise. De faire taire l’ego aussi. Et de participer activement aux changements en cours.

    Je ne sais pas pourquoi je raconte tout ça, si ce n’est que longtemps je crois je me suis accaparé toutes ces techniques et que pour le coup les résultats étaient sans aucun doute possible totalement polués par des intensions non alignées. Ca pourra peut être aider quelqu’un qui se pose les mêmes questions.

  2. chanat magalie dit :

    ha! et oui au boulot les gars!
    c’est magnifique et c’est toujours bon a relire meme si on le sais….
    merci aux personne comme vous de transmettre ces messages
    coment ne pas agir maintenant avec toutes ces infos disponible?
    merci

  3. Feudanse dit :

    Merci, de tout coeur, merci de ce pas dans la direction de l’Amour pour nous tous et toutes!

    Merci la vie!

  4. solange dit :

    MERCI pour ce texte qui confirme ce à quoi j’ai cru depuis toujours 🙂

  5. Gaya dit :

    Merci beaucoup pour cet article et à Bénédicte pour la traduction.

    Une grande partie de l’article me fait penser à la loi d’attraction…

    Mais du coup, j’ai des questions (comme toujours 😉 )

    La lois d’attraction, ou pensée créatrice, ne s’oppose-t-elle pas au concept de destin ou karma?

    Pour appuyer mon propos: Si avant de s’incarner l’âme avait choisi l’expérience de la maladie, ou de la pauvreté, ou a un karma à régler avec une certaine épouse (la loi d’attraction prétend donner par exemple l’abondance, la santé, une belle femme, à qui se l’imagine déjà acquise …) … Comment la lois d’attraction peut-elle aller contre ces choix karmiques?

    Merci par avance pour vos lumières 🙂

    • Le Passeur dit :

      Loi d’attraction et pensée créatrice ne sont pas synonymes même s’il y dans une certaine mesure un lien entre les deux. Mais si je réponds bien à votre propos, la loi du karma fait partie intégrante du fonctionnement de la matrice qui était la nôtre jusqu’à présent. D’une part la matrice s’est dissoute et le karma reprend sa véritable dimension, d’autre part l’être dont la conscience s’approche de la libération s’extrait des lois du karma en ceci qu’il se met à exister en parfait accord avec les lois universelles. Il ne crée donc plus de karma.
      La loi d’abondance est une réponse de l’univers à notre propre harmonie en son sein, beaucoup déjà la connaissent et sont déjà de mauvais candidats à la création d’un nouveau karma. Cela dit, le libre-arbitre étant ce qu’il est, chacun est libre de replonger dans ce cycle épuisant s’il le souhaite.
      Pour finir sur la pensée créatrice, là encore, elle le devient vraiment quand l’être est suffisamment éveillé et donc conscient et responsable de ce qu’il émet. Il n’y a a pas de choix karmique, le karma est un retour d’énergie qui vient quoi qu’il arrive pour équilibrer le balancier de nos existences. On ne le choisit pas, on peut juste déterminer avant de naître de quelle manière et avec quelle rapidité le rééquilibrer au fil de ses vies.

      • Soleil Bleu dit :

        Quelque chose me dit que la pensée est toujours créatrice, qu’elle soit émise par une personne consciente ou non du pouvoir qu’elle détient.
        On peut facilement ressentir que dans une prière ou une supplique, il y a toujours une « pensée racine » de peur à l’origine de la demande, et même si cette peur ne se matérialise pas en instantané, eh bien d’une manière ou d’une autre, à un moment ou à un autre, elle nous sera ré-offerte en « cadeau » par la Source qui ne juge pas.
        Se mettre en état de paix intérieure, sans « penser » la paix, sans « chercher » la paix, sans « vouloir » la paix, juste à l’écoute du silence qui naît du lâcher-prise d’avec nos émotions, introduit et modifie la strucure duelle de ce monde beaucoup plus sûrement qu’un plaidoyer, même sincère, pour sa cause.

    • Ral dit :

      Quand tu es rendu à voir quelqu’un qui va t’aider parce que tu te l’es permis, comme eux
      hé bien la loi du karma te permet elle aussi de te guérir de cette partie du karma. Si tu n’es pas rendu là, il ne se présentera rien ni personne pour t’aider, tu subis ce que tu t’es créer.

  6. elba dit :

    Merci, Passeur. Merci de votre travail de traduction, car pour moi c’est vraiment fastidieux de pouvoir comprendre l’anglais parlé. Ca va bien trop vite pour moi, qui n’ai jamais mis les pieds dans un pays anglophone.
    J’ai toujours été persuadée que la pensée voyageait, et qu’elle avait une certaine puissance. Qu’elle soit bonne ou mauvaise. C’est la raison pour laquelle je m’attache tout spécialement à faire attention aux miennes, car il m’arrive parfois d’avoir des pensées spontanées qui ne sont pas constructives, bien au contraire… En y prenant garde, je peux rectifier une pensée « mauvaise » s’il m’en vient une.
    Je suis persuadée également que l’on peut guérir (ou se guérir) par la pensée. Mais cela ne peut s’opérer que si nous y croyons fermement. Et la plupart du temps nous subissons inconsciemment notre culture qui ne nous a pas habitués à cela. Je pense que tout cela va changer très vite.

    Superbes expériences, indeed ! Je ne suis pas très apte à comprendre tout ce qui concerne l’ADN, mais j’en saisis le sens global.

    A vous lire à nouveau, dès qu’un nouvel article paraîtra.
    Ayons tous des pensées d’amour envers tout ce qui nous entoure… Et tout ira bien.
    ^^

  7. Francesca dit :

    Merci pour ce texte qui arrive à point nommé… Bien qu’ayant déjà lu plusieurs livres de Gregg Braden, j’ai toujours beaucoup de difficulté à argumenter. J’avoue que j’ai de plus en plus de mal à partir dans des discussions qui nécessitent de défendre mon point de vue à l’aide d’arguments « rationnels ». Du coup, je me tais. C’est plus sage et moins « énergétivore ». Alors merci pour ce texte que j’ai partagé sur facebook.

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