Le pouvoir de l’énergie universelle

Par Maxence Layet.

A force d’exercices et de méditations, l’énergie universelle se contrôle, se dirige, se canalise et peut être utilisée pour soigner. Une seule condition est nécessaire : une pensée calme, apaisée, centrée .

L’homme est un être électromagnétique, un organisme traversé par une force infime mais continue, légère comme de la vapeur et pourtant essentielle à notre équilibre. Correctement mise en mouvement, animée d’une ferme intention, cette force intérieure est capable d’influencer le cours de nos émotions comme le monde extérieur. Quitte à accomplir des miracles. La voie de la cohérence ?

Les quelque dix mille milliards de cellules vivantes qui nous composent abritent une activité électrique constante et intense. Des variations de potentiel, mesurées en millièmes voire en millionièmes de volt de part et d’autre de la membrane de toute cellule, que les biologistes appellent « polarisation » ou « dépolarisation » cellulaire. La répétition de ces courants électriques infimes et extrêmement brefs génère une flopée de signaux électromagnétiques ultra-faibles. Répercuté à l’ensemble de notre organisme, ce système de communication cellulaire cumule des millions de pulsations et d’impulsions à la seconde. En 1993, dans un rapport sur l’état des connaissances en matière de champs électromagnétiques naturels et artificiels, l’OMS soulignait que « le corps humain émet des champs électromagnétiques à des fréquences allant jusqu’à 300 gigahertz ». C’est-à-dire au beau milieu, mais aussi au-delà, des gammes de fréquences aujourd’hui utilisées par la radio-diffusion, les transmissions satellites, la téléphonie mobile, le Wi-fi, le Wimax… jusqu’aux frontières de l’infrarouge. « Nos cellules chuchotent entre elles » disait ainsi l’ancien chercheur à la NASA et président du conseil américain de protection contre les radiations Ross Adey. Tous les éléments de notre être conversent, et se répondent, sans discontinuer dans un immense brouhaha d’ondes radiobiologiques.

Voyage aux rythmes du cerveau.

Pour les tenants de la neurobiologie la plus moderne, notre pensée se situe quelque part dans cet agrégat cellulaire singulier que l’on dénomme le cerveau. Elle résulterait de la somme des interconnexions observées entre neurones, via les terminaisons de leurs synapses… et la centaine de molécules relais dont les neurotransmetteurs ou neuromédiateurs sont les catégories les plus connues. Vos pensées actuelles, le dialogue intérieur en cours, ces quelques lignes que vous lisez, peuvent ainsi se réduire à des processus chimiques et électriques incessants, se déroulant de part et d’autre des aires cérébrales. De neurone à neurone. Cette activité électrique soutenue repose sur l’absorption ou la diffusion de molécules chimiques dotées de charges électriques, des ions. Ce sont les neurotransmetteurs répertoriés par la biologie moléculaire.

Pour passionnant que soit ce savoir électrochimique, l’essentiel n’est pas là. La pensée, en effet, ce n’est pas que des paquets de cellules. C’est aussi une onde. Disons plutôt des ondes, des échos de l’activité cérébrale. Car les éclairs de courant que s’échangent nos neurones ne se déroulent pas au hasard. Notre cerveau obéit à des rythmes, à une vaste partition aux caractéristiques très précises. Une sorte de symphonie personnelle dont les portées s’entrelacent.

Si les premiers relevés d’ondes cérébrales datent du milieu des années 1920, les techniques d’imagerie médicale les plus récentes ont confirmé la relative cohérence de notre activité cérébrale. Elle oscille, varie, circule dans notre cerveau à un rythme, une vitesse, selon différents temps synchronisés entre eux. De l’arrière vers l’avant, puis l’inverse. Ce flux et reflux nous balaye l’encéphale plusieurs fois par seconde, sans s’interrompre. Comme une vague continue, vivifiante et régulière. Témoins fidèles mais subjectifs de notre état psychique conscient ou non, les ondes cérébrales se disposent également en familles. Selon leur allure, leur amplitude, leur périodicité. En termes scientifiques, on va parler de fréquences et d’intensités électriques. Ces ondes sont triées selon les lettres de l’alphabet grec : alpha, bêta, gamma, delta, thêta. Leur composition entraîne des états de conscience distincts. A l’état de la conscience ordinaire, les ondes alpha et bêta cohabitent. Mais la prédominance de l’une, l’excès de l’autre, va entraîner ce que les spécialistes appellent des états « modifiés » de conscience. Une vingtaine d’entre eux sont répertoriés. Le rêve, le sommeil, la méditation, la transe ou le stress par exemple.

L’excès d’ondes bêta est sans doute le plus nocif, car il marque un état de stress chronique. Insomnie, épuisement, le temps du repos devient impossible. Une dominante thêta ou alpha, au contraire, accompagne l’accès à des états moins communs : créativité, intuition, jusqu’à des phénomènes paranormaux comme la perception extrasensorielle ou les transes, avec insensibilité à la douleur et contrôle absolu du corps.

Les portes de la cohérence.

L’accès aux palettes des états modifiés de conscience tient à des petits riens. Un peu de musique, une posture particulière, des respirations profondes ou en hyperventilation. Le plus souvent, ces techniques archaïques s’accompagnent de stimulations rythmées, optiques ou acoustiques. Le son des tambours, les impulsions lumineuses d’un stroboscope agissent en effet comme des « inducteurs d’états de conscience ». Pas à cause du risque d’épilepsie, plutôt de la capacité naturelle du cerveau humain à se mettre à l’unisson de sons et lumières produits selon certaines fréquences. Mise en évidence en 1975, cette faculté du cerveau à se synchroniser avec des rythmes extérieurs a pris le nom de Réponse d’Adoption de Fréquence (RAF), ou Frequency Following Response (FFR) en anglais, et a donné naissance à toute une batterie d’outils « technos » à même de modifier le flux de nos ondes cérébrales.

Lunettes à diodes clignotantes, logiciel générant des battements préprogrammés, musique d’ambiance à effet binaural… Avec ces instruments plus ou moins perfectionnés, encore confidentiels en France mais d’usage assez courants en Amérique du Nord, l’école de la méditation devient accessible aux plus réfractaires d’entre nous. Plus besoin de prendre une pilule rouge ou bleue, ou de rester assis sous un arbre à attendre que le soleil se couche. C’est une question de rendez-vous avec soi-même. Un moment de quiétude, de sérénité, de bien-être aux allures de cours particuliers. Juste entre vous et vos ondes cérébrales.

Etat de conscience à part entière, proche du repos et de la relaxation, la méditation peut être superficielle mais aussi très profonde. Si profonde qu’elle peut suspendre des réactions instinctives que des décennies d’entraînement répété ne parviennent pas à effacer – à l’image du sursaut résultant du bruit d’une détonation.

Des études faites en Chine pour évaluer l’influence du Qi Gong sur l’activité du cerveau ont montré que les ondes cérébrales des maîtres avec plus de 10 ans d’expérience étaient différentes des débutants ou des groupes de contrôle invités à respirer profondément les yeux clos. Celles des maîtres ne se contentaient pas d’atteindre des états de calme et de plénitude bien plus profonds et plus rapidement qu’un novice. Leurs ondes avaient tendance au cours de l’exercice à se ralentir, gagner en amplitude et se synchroniser. Bref, à montrer plus de cohérence. Comme si les deux hémisphères du cerveau se mettaient à fonctionner de concert. En phase. La qualité de la méditation serait directement en rapport avec l’expérience du méditant. Une surprise de taille !

Reformulé en tracés de physiologiste, il apparaît que plus on médite et plus les ondes alpha laissent la place à des ondes encore plus lentes. Des ondes thêta ou delta. Des rythmes que l’on croyait réservés au sommeil paradoxal. Le moment où l’on rêve. Pour décrire ces états mêlant sérénité et concentration, les chercheurs n’utilisent plus forcément le terme de méditation, jugé trop vague ou trop réducteur. Ils préfèrent parler d’éveil paradoxal. Dans cet état, tout paraît simple. On a le sentiment, la certitude, de ne faire qu’un avec l’univers. Les intuitions les plus géniales vous traversent. Inspiration et compréhension du monde, de ses secrets intimes coulent de source. Avec netteté et évidence.

Le plus important, ce n’est pas la spiritualité ou la technique pratiquée, mais la qualité du vécu. L’essence de l’expérience éprouvée. Que l’on soit cyber-disciple, maitre yogi, moine zen ou adepte du qi gong, tous se rejoignent sur l’importance cruciale de la compassion et l’amour de son prochain. Car c’est en passant par son cœur qu’il est possible d’entraîner son cerveau.

Maxence Layet.

Journaliste scientifique, environnement, santé, spécialiste des nouvelles technologies de l’énergie et de l’information.

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Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)

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Nomade sur le chemin...
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24 réponses à Le pouvoir de l’énergie universelle

  1. alexi dit :

    Merci guil pour la découverte Jacotte Chollet, super !

    Quant à moi j’avais l’habitude d’écouter Steve Roach (cd Darkest before dawn) parce que cela m’apaise. Jacotte c’est plus trippy ! 🙂

  2. XN dit :

    🙂 J’aimerais ajouter pour tous ceux et celles qui veulent développer leurs pouvoirs

    http://www.loveenki.com/enki/2012/01/les-pouvoirs-psychiques-des-nephilims-1/

  3. marie christine dit :

    Passeur, quelle est l’explication de ce phénomène ? Y a-t-il des sortes de connections ?
    Il m’arrive plusieurs fois par jour, par exemple en lisant un livre, d’entendre au même moment à la radio le même mot ; ou d’écrire, ou de parler, ou de penser un mot et de l’entendre ou le voir au même moment quelque part . Et ce ne sont pas des mots ou groupes de mots usuels, c’est pourquoi cela attire mon attention .

    • marie christine dit :

      Je n’ai qu’une notion très partielle des phénomènes . Peu importe ! Je remarque qu’il y a de plus en plus de cas de synchronicité entre les personnes et avec les forces cosmiques . Il y a nettement un état général de sensibilité et d’attention nouvelles , même chez les non-croyants . Sans doute est-ce la raison d’être de cette instabilité actuelle …

  4. Relience dit :

    Coucou ~*~

    Ouai, la tête n’est plus directive !
    Cela devient exclusivement le coeur.
    Les anges ne me laisse pas vraiment le choix en ce moment alors !
    Soit c’est mon être supérieur ? Je ne sais pas.
    Mais je sais que c’est pour créer l’harmonie entre ses besoins et son lâcher prise.
    Le coeur, l’état complet d’être devient indispensable.

    Merci, j’ai lu en zigzague, et les dernières lignes sont juste ce qu’il faut.

    R.J

  5. joyce dit :

    je réponds à Maya qui a un problème thyroïdien ; j’ai été dans ton cas ,avec ce mal de vivre :depuis toute petite , et j’ai eu des périodes où la seule chose importante était de dormir ou somnoler ! Quand j’ai pu donné libre cours à ces états :en m’écoutant cela m’a conduit à des études de mon psychisme et de mes « rêves » et c’est ainsi que j’ai pris confiance en moi et que j’ai pris conscience qu’il se passait quelque chose de merveilleux en fait :l’assurance que notre vie était là pour une raison de « notre responsabilité » et qu’il fallait vraiment y aller à fond sans s’occuper de ce que les autres pensent de nous … Moi non plus je n’acceptais pas mon incarnation , mais je sais maintenant que je suis là pour la renaissance de la terre et le réveil humain …. et tout est bien là où il faut !! bon courage ,tu n’es pas toute seule !!!

    • Maya dit :

      Merci Joyce, je savais que quelqu’un me répondrait ! Ce que tu dis résonnes en moi. D’abord, ce problème de sommeil a été lié à des paralysies du sommeil puis à des sorties astrales juste au réveil. Puis je n’ai plus eu de sorties astrales mais d’autres manifestations. Enfin, le moment que je considère comme un éveil (qui a consisté à accepter mon étincelle divine et surtout une fois pour toute la Réalité par opposition à notre dimension 3D). Mais je continue à souffrir de somnolences (j’exagère peut-être en parlant de souffrance, c’est une petite gêne), tout simplement quand je ne suis pas alignée sur mon âme c’est à dire quand même la plus grande partie du temps ! En parlant avec un de mes guides j’ai eu il y a un jour ou deux la réponse suivante : « Tu ne vas pas guérir tout de suite de ta somnolence, vis avec, passe outre et crée malgré cela. Quand tu ne seras que dans l’amour et dans la pureté, quand tu seras réalisée, tu n’auras plus de somnolence. Regarde, juste en ce moment, tu es parfaitement bien, parfaitement éveillée. Un jour tu seras uniquement dans cet état, mais ce n’est pas pour tout de suite. » J’ai un peu changé la formulation, mais en gros c’était le contenu. Qui rejoint et confirme ton propos, merci Joyce ! (recouper les infos c’est très important). Ca me fait penser qu’il faut peut-être que je me penche à nouveau sur mes rêves et les sorties astrales. Namasté !

    • Maya dit :

      Et je rajoute également, Joyce, merci d’avoir souligné une dimension majeure de la guérison : le Service. Tu as compris et accepté quel était ton rôle dans le monde, merci à Toi !!!

      • joyce dit :

        parfois je doute ,mais dès que je suis seule (et c’est pour cela que je recherche la  » solitude  » pour pouvoir me recentrer et revenir à mon être profond : et puis j’ai eu aussi de grands espaces de vie ou me lever le matin était une fête car j’avais le « coeur chaud » et j’étais lumineuse !! c’était extraordinaire et j’en étais surprise moi-même …. .A la suite de beaucoup d’évènements (c’est la vie) qui m’ont fait « rechuter » , je suis de nouveau sur mon chemin de Lumière ,mais j’ai encore un peu de route à faire pour nettoyer ce dernier karma que je me suis refabriquée :mais je sais maintenant que je m’en détache de plus en plus et j’ai l’intime conviction que c’est bientôt la fin !! alors youpi et merci à toi pour ce retour de courrier qui m’encourage aussi !Paix et amour à toi….

  6. alain thomas dit :

    Pour la majorité des scientifiques, seul le cerveau est source de pensée. Pourtant on peut se demander s’il n’est pas possible que l’esprit à son tour, produise sur le cerveau des « altérations physiques » dans la substance même d’où il est censé émaner. Dans ce cas la pensée pure modifierait la chimie et l’activité électrique du cerveau, ses circuits, voire sa structure. Le bouddhisme se refuse à réduire l’esprit à la seule matière, et cette position est un levier considérable quand il s’agit de trouver un terrain d’entente entre bouddhisme et neurosciences.
    Il existe un nombre important de pratiques de méditation.
    La première qui soit naturelle est la réflexion intérieure qui amène à une introspection. Une dialectique s’ensuit et nous découvrons le « je », le « moi » et le « surmoi ». Tout cela parce que depuis notre plus tendre enfance nous avons été conditionnés par l’apprentissage de la vie, l’éducation de nos parents et celle de nos maîtres d’école. Nous avons appris à imaginer le monde extérieur comme étant réel, comme étant notre réalité.
    Nous comprenons mieux pourquoi dans nos sociétés dites « évoluées », l’adolescence est devenue une maladie. Le choc est souvent terrible et particulièrement pour les êtres que l’on pourrait appeler les « vieilles âmes ».
    Il faut tout déconstruire ce que les autres ont voulu structurer en nous comme étant une personnalité réelle, une personne à part entière, un individu réagissant et agissant comme une entité indépendante. Le paradoxe est douloureux, les contradictions s’accumulent dans notre esprit. Plus les êtres sont des « vieilles âmes » et plus c’est difficile pour eux d’établir le contact avec leur vraie nature.
    Pour se connecter, la pratique de l’introspection permet des remises en question, des réalisations, fait naître des intuitions, révéle des certitudes évolutives au même rythme que des contradictions douloureuses.
    Lorsque le débutant par tatonnement découvre une certaine cohérence dans tout ce fatras, il pourra expérimenter toutes les formes de la méditation : la prière, le recueillement, la contemplation, la méditation analytique, la pratique du calme mental centré en un point, les pratiques de visualisations et toutes les techniques spécifiques à chaque école de méditation.
    Au début de son article Maxence Layet dit ceci :
    « A force d’exercices et de méditations, l’énergie universelle se contrôle, se dirige, se canalise et peut être utilisée pour soigner. Une seule condition est nécessaire : une pensée calme, apaisée, centrée. »
    Dans le bouddhisme tibétain, cette pratique est identifiée comme étant « shiné » ou en sanskrit « shamata ».
    Cette pratique a un pouvoir extraordinaire de purification et d’auto-guérison car elle amène le pratiquant à vivre des expériences de clarté et de félicité très apaisantes. Lorsque cette pratique est associée à la respiration profonde tant dans l’inspir que dans l’expir, cela ouvre encore plus les canaux subtils et permet à la luminosité de se frayer un chemin depuis le chakra du coeur aux fenêtres que sont les yeux. Alors toutes les expériences sont possibles.
    Il n’y a rien qui puisse permettre d’affirmer que cette pratique est source d’éveil. Elle est source de bien être et de purification c’est certain et sans doute permet-elle d’éloigner les tensions et maladies éventuelles.
    Je ne pense pas que le cerveau ait un quelconque lien avec la pensée mais cela n’engage que moi.
    Quand j’écoute le témoignage d’Anita par exemple, si le cerveau était le siège de l’esprit alors comment a-t-elle fait pour raconter aussi clairement son expérience alors qu’elle était cliniquemet morte ?

  7. anne benaros dit :

    Yes , immense fatigue et gros dodo et inertie qui en découle que je n’accepte pas vraiment d’où mélancolie latente ,un virus au foie oui c’est vrai ,pourquoi je l’oublie ????je me demende également si j’accepte bien mon incarnation ……Surprenant que l’on découvre que la qualité de la méditation dépende du méditant ?????cela me semble évident ! Paix à tous

  8. Quintus dit :

    Avec ces instruments plus ou moins perfectionnés, encore confidentiels en France mais d’usage assez courants en Amérique du Nord…
    Comme toujours.. confidentiel en France! Inconnu en France, interdit en France,la France la France et encore la France pays décidément résolut à fermer la porte de tout ce qui pourrait apporter la sérénité, l’élévation et la .. guérison de cette société malade de son oligarchie politico-industrielle et qui se la joue à l’ère de la ridicule nomenklature soviétique Brejnéviene.
    Pauvre de nous priez pour nous.Je n’énumèrerais pas ce qui est « VERBOTEN » mais c’est grave.

  9. Louisetta dit :

    Il est plutôt bel homme ^^
    Bref! blague à part, ces informations sont vraiment en cohérence avec les nouveaux temps qui s’offrent à nous. Mais je trouve la conclusion surtout particulièrement touchante et détonante.

  10. guil dit :

    Pour revenir au sujet du son (binaural, etc), j’aime bcp le travail de Jacotte Chollet (je conseil le cd « renaissance ») et aussi la serie brain sync de Kelly Howell (la trousse a outils musicale)
    Bonne journée

  11. Dioex dit :

    Bon article si on rectifie que les ondes theta ou delta appartiennent plutot au sommeil lent qu’au sommeil paradoxal qui est constitué d’ondes rapides. C’est plus cohérent étant donné la teneur du début de l’article.
    Surtout que c’est en sommeil lent ou le rythme cardiaque est le plus ralenti et le plus cohérent. Le corps ne s’y trompe pas d’ailleurs, c’est en sommeil lent, quand le cerveau est à la fréquence de résonance de l’atmosphère jusqu’à celle des ondes sismiques, que l’hormone de croissance est sécrétée, pas pendant que l’incohérent fait son expérience de la vie dans l’excitation. Donc tout le monde médite pendant des heures chaque jour dans les bras de Morphée. C’est là que le potentiel de multiplication cellulaire est à son maximum.
    Une réponse objective à ceux qui demandent pourquoi il ne touchent pas à l’éveil se trouve dans cet article: va t’entrainer padawan, tu en récolteras les fruits. Le temps et la répétition fixe les choses pour que les habilités électromagnétiques deviennent permanentes et accessibles facilement. Avoir une belle expérience énergétique à un moment c’est bien mais ça ne suffit pas. Les nouvelles connexions neuronales ne se font pas en 5 minutes. Tout comme la guérison d’une dépression vers un nouvel état d’évolution qui aura trouvé les solutions à ses problèmes du passé est loin d’etre instantanée.
    Bon orage géomagnétique dans le calme et la sérénité Passeur, à plus

    • marie christine dit :

      Ah bon, moi qui suis capable de dormir au moins 10 heures d’affilées en ce moment, j’apprends que je médite pendant ce temps-là !
      Ca ne m’étonne pas car ce sommeil est vraiment d’une nécessité vitale, et très réparateur .

      • guil dit :

        C’est aussi mon cas, j’ai tjrs été gros dormeur, je me sens bien avec 9h00 de sommeil, mais depuis 2 a 3 mois, c’est du 10h00 voir 11h00 si je laisse la nature faire (pas de réveil) et j’ai l’impression que c’est de pire en pire.

        Tient justement j’aurais bien fait un sondage :
        Qui a en ce moment besoin de plus de sommeil qu’avant?

        • Louisetta dit :

          C’est pour moi aussi flagrant depuis quelques temps, je dors également 10 ou 11h d’affilée quand je peux. Mes amis me surnomment la belle au bois dormant depuis quelques temps. C’est tout dire, même si j’espère que ça ne reflète pas mon état de conscience ^^

          • Antenanco dit :

            Bonsoir, moi c est la même chose, mais plus certaine nuit que d autres. Les 10-11 et même 12h me sont parfois nécessaire pour être en forme depuis le mois dernier.

          • Maya dit :

            Aîe la question du sommeil est l’une des pires pour moi : c’est un « problème » récurrent depuis que je suis ado, je suis quasi hypersomniaque, j’ai besoin de dix heures de sommeil plus de grosses siestes, en fait en ce moment c’est presque mon défi n°1. J’hésite entre deux options : réussir par tous les moyens à arriver à dormir moins et à être plus en forme, ou accepter enfin que je n’y peux rien et que je peux quand même mener ma vie et être créative ainsi. La deuxième option est tentante mais ça ne m’empêcherait pas d’être crevée, ce que je considère (peut-être à tort) comme une difficulté à accepter mon incarnation. Il est vrai que j’ai un très léger prob de thyroïde mais il me semble justement que le physique découle d’un positionnement de l’âme. Quelqu’un a une piste ?

          • alain thomas dit :

            Et ben mes loulous moi quand j’dors 5 c’est l’maxi. Et ça m’va très bien voyez-vous !
            Peut m’arriver d’dormir 4 et ça le fait.
            Quand j’suis vraiment fatigué, j’dors 5 minutes assis et ça repart d’plus belle !
            Allez bonne nuit les loulous !

        • Mesnet dit :

          Pareil.
          J’ai toujours aimé dormir.
          En ce moment, je dors beaucoup, je laisse aller….sauf quand les énergies sont « de travail » et alors, je deviens un récepteur qui va à 100 à l’heure.

  12. guil dit :

    Très agréable a lire, merci passeur.

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