De l’indicible impatience…

Par le Passeur.

A l’intérieur, tout semble en suspens, comme si nous étions détachés d’un temps qui s’accélère sans cesse tout en donnant l’impression qu’il se fige dans un tableau qui nous apparaît de plus en plus faux. Le calme imposant qui naît de cela est celui profond d’une force unifiée qui se rassemble sur elle-même et  suscite en nous à la fois une tension semblant durer depuis une éternité et un sentiment paradoxal d’apesanteur. A l’extérieur, la même tension est ressentie mais avec une lourdeur et une vivacité porteuses de dysharmonie, qui deviennent insupportables à ceux qui la vivent. Et nous voilà à la fois enthousiastes de sentir ce qui vient et las des pesanteurs flagrantes du monde qui se rappelle à nous.

Mais voilà que là où naît la fatigue l’impatience pousse un cri. L’impatience est compréhensible, elle n’est pas pour autant légitime, elle demeure le fruit de l’attente et nous n’avons rien à attendre. Attendre que l’éveil des consciences se propage davantage, c’est se reposer sur la responsabilité individuelle de tous sans prendre conscience que l’on ajoute alors le poids d’un fardeau à chacun. Pourtant, souvent parmi les porteurs de lumière, la fatigue est là. Celle de rencontrer la dualité à chaque coin de rue et de s’exposer à devoir faire avec, de tenter d’expliquer à l’autre qui ne comprend pas ce qui ne peut être entendu là où demeure encore sa conscience, de chercher sans cesse un équilibre difficile entre l’énergie qui tire vers le haut et celle de l’ancien monde où nous avons encore faire, de voir les artisans de l’ombre accélérer leur entreprise destructrice de tout, de mesurer quotidiennement l’asservissement à leur pouvoir de ceux qui devraient nous informer de leur jeu, de constater le servilité de la plupart qui ont pourtant tout à perdre à croire qu’ils gagneront leur place sur un échiquier qu’ils n’entrevoient pas pour ce qu’il est, de supporter l’aveuglement du plus grand nombre nourrissant par ignorance ce jeu.

Au vu de l’évolution ordinaire des mentalités, on peut penser qu’il faudra encore des siècles pour que l’éveil se soit assez propagé pour qu’enfin le monde change. C’est ce que pensent les partisans des barricades et c’est pourquoi ils empruntent la voie de la réaction et de la violence. Mais c’est sans compter sur Gaïa, conscience élevée pétrie d’amour et de compassion, qui a fait son choix à présent du sevrage de l’humanité. Il est temps de grandir à l’horloge de la vie et tous n’en ont pas encore fait le choix.

Se laisser envahir par la fatigue, c’est tourner notre impatience vers ceux-là. Ne nous mettons pas dans la position de celui sur le pont du bateau qui s’agace que ceux qui passent sur le quai n’y montent pas si tel n’est pas leur projet. Les passerelles se lèveront et le vaisseau partira à l’horaire exact de son plan de route. Chacun aura eu le temps et le choix d’embarquer ou pas. Si la plupart n’ont jamais cherché à savoir ce qu’était ce vaisseau et pour quel voyage il appareillait, si la plupart même n’ont jamais mis le pied sur le quai, ignorant tout des odyssées qui parfois s’en éloignent, même si c’est le choix de leur ignorance, c’est leur choix, nous n’y pouvons rien et nous n’avons pas à en porter la moindre responsabilité. En même temps, par intuition beaucoup plus qu’il n’y paraît se tassent en fond de cale et dans les ponts inférieurs, pour qui vous êtes là en ce présent.

Il n’y a donc rien à attendre puisque tout est déjà là pour ceux qui d’une façon ou d’une autre, avec plus ou moins de confort et de lumière, ont choisi le grand voyage. Vous qui lisez cela, vous êtes sur le pont, au soleil, changez donc de bord et détournez enfin votre regard du quai puisque le grand large à l’autre bord vous est offert. Cet horizon est à vous et il n’y a rien ni personne pour vous l’enlever, autre que la direction que vous pourriez encore donner à votre regard. Je ne dis pas qu’il faut oublier ces hommes qui s’affairent dans l’agitation de la ville et du quai, mais qu’il faut accepter sereinement qu’ils aient fait un autre choix que vous, et que l’avenir, la ligne qu’ils vont connaître, la ligne du temps qui est la leur, n’est pas une punition mais à ce stade la manière qui convient à leur réveil, sachant qu’au-delà du temps et des circonstances ils ont choisi le même voyage que vous. En ce passage que nous vivons, il y en aura pour qui le réveil devra sonner longtemps et d’autres qui ne l’entendront même pas. C’est ainsi. Le choix d’une âme est éminament personnel et l’âme sait ce qu’elle fait.

Sans hauteur de vue sur ce qu’il est vraiment, le trajet de nos vies en ce cycle qui s’éteint et ce cycle qui naît devient épuisant. Déjà parce qu’il a fallu imaginer la lumière lorsqu’en nos mémoires n’est demeuré que le souvenir de l’obscurité (voir ‘l’Eveil en Soi‘), ensuite par ce qu’il a fallu découvrir comment aller vers cette lumière quand on avait les pieds dans la glue, enfin parce que les nombreux obstacles que nous avons heurté dans les ténèbres pour nous en approcher ont malmené nos corps et nos émotions, parfois affaibli notre détermination et mis à rude épreuve notre courage. De la hauteur de vue de la chenille qui a rampé dans ces ténèbres, il a fallu de la souffrance et notre poids jamais ne semblait vouloir s’alléger. Pourtant, tous, où que nous en sommes, l’avons remarqué : plus nous avancions vers la lumière, plus le chemin s’éclairait et les obstacles devenaient visibles et évitables. La vie devenait un livre ouvert.

Il arrive donc un point où il n’y a plus d’obstacles mais juste un chemin à suivre dans la clarté de notre regard, un chemin où tout devient visible, où tout se révèle. Notre apocalypse personnelle, qui s’inscrit en celle que vit le monde.

La vérité est qu’à ce point du voyage tant de lumière rayonne que nous ne scrutons plus l’obscurité de nos êtres car nous sommes devenus transparents et qu’il n’y a plus d’obscurité ailleurs que dans nos souvenirs, notre habitude de ce que nous avons toujours connu de souffrance en l’incarnation dans une densité si lourde, si épaisse. Là résident encore nos limites, notre fatigue, mus dans dans la croyance qu’il existe encore ce que nous avons déjà dépassé, ce qui n’existe plus. C’est une image résiduelle du même ordre que celle qui hante la rétine.

Faites l’expérience de fixer quelques secondes au soleil une feuille de papier blanche devant laquelle vous intercalerez un cercle rouge, puis ôtez le cercle en continuant à fixer la feuille. Vous verrez alors un cercle bleu qui persistera plusieurs secondes avant de s’évanouir peu à peu. Le cerveau, saturé par le cercle rouge lumineux aura produit son exacte couleur complémentaire afin d’harmoniser sa perception, de trouver son équilibre. Vous voyez là l’image résiduelle produite par un mécanisme qui se défend et qui peu à peu s’évanouit devant la lumière pure retrouvée. C’est de cela dont il s’agit lorsque je vous dis qu’il est un point du chemin où ce ne sont plus que nos souffrances passées qui font persister dans notre regard nos défenses contre l’obscurité. Ne vous y attachez pas, laissez les fantômes s’évanouir, laissez les morts aux morts, continuez à fixer la pure lumière du grand large, tout s’évanouit, tout se disperse, jusqu’à nos mémoires qui se libèrent.

On nous a longtemps entretenu dans l’idée de célébrer un culte au souvenir, pour ne pas oublier dit-on, pour ne pas reproduire le mal, parce que là aussi était notre richesse. En quoi réellement cela a-t-il empêché de recommencer les mêmes erreurs ? En quoi l’attachement aux lourdeurs du passé a-t-il jamais fait progresser l’humanité ? Ne gardons que ce qui nous hisse haut, pas ce qui nous affale. Le fruit le plus nourrissant de l’expérience est d’oublier l’expérience pour ne retenir que la force de l’amour qu’il a fallu pour partir du noir et de l’oubli et remonter jusqu’à la lumière pleine et pure qui a toujours brillé au bout du tunnel.

On l’a vu, notre expérience au sol de Gaïa nous a mené si loin de cette source de lumière que nous en avions même oublié l’existence. Nous nous sommes sentis bien seuls à poursuivre si loin de chez nous les méandres obscurs des mondes souterrains. Et là où nous étions rendus, qui donc aurait pu venir jusqu’à nous ? Nos familles stellaires ont fait ce qu’elles ont pu, attristées de nous voir dans tant de souffrances et de difficultés, mais elles ne pouvaient nous atteindre si bas dans la densité. Il nous a fallu l’âme pour garder le contact. En sa fréquence, l’âme était au contact de nos familles et pouvait nous atteindre dans les points d’émergence de notre conscience. Imaginez un ballon à l’hélium dans les courants aériens du Jet Stream, c’est notre âme et elle voit les étoiles. Les sommets des plus hautes montagnes qui percent les nuages sont les points d’émergence de notre conscience qui elle a vécu là-bas, sous d’épais nuages. Voilà pour l’image ce que nous devons à notre âme. D’avoir été le relais bienveillant par qui des bribes de communication sont passées entre nos familles d’origine et nos êtres incarnés dans la densité.

A présent, en ce long périple ascentionnel, nos consciences s’établissent au niveau de ce qui fut autrefois leurs sommets, prêtes au grand envol. Même si quelques trous d’air font encore tanguer la nef, ce qui préside à la conscience n’est plus l’égo souffrant mais l’âme et jamais le contact avec nos familles galactiques n’a été aussi proche depuis bien longtemps. Tout donc arrive au point de convergence des différents cycles de l’humanité, tel que l’avaient transmis les mayas et d’autres peuples. C’est au sommet de la pyramide de leur calendrier que s’élève le temple où nous sommes arrivés depuis quelques mois. En ce temple, lorsque les astres sont au rendez-vous, s’ouvre le royaume où se révèle l’Arbre de Vie, ou bien se décide le retour aux cycles de l’apprentissage. Tout est question de résonance, en aucun cas de jugement. Dans la grande géométrie du cosmos, nous sentons que nous sommes au point où la bascule va se faire et sur plusieurs vies nous nous y sommes préparés plus sans doute que nous ne le croyons. Une petite part de ce qu’elle va enclencher est peut-être prévisible du point de vue de notre mental, mais ce n’est que la brillance lointaine de la part visible de l’iceberg. Nous ne pouvons imaginer ce qui vient, nos spéculations ne peuvent qu’être qu’hasardeuses et finalement inutiles. Ce qui demeure, c’est qu’au bout du chemin tout se dissout.

Sachant cela, ceux qui ne peuvent se résoudre à perdre le contrôle et qui ont intérêt à freiner le processus – même si leurs efforts sont sans avenir – cultivent tous les moyens de semer la confusion et le doute. Ce afin de maintenir dans les basses vibrations de la peur ceux qui n’ont pu jusqu’à présent s’en dégager, mais aussi de tirer vers le bas ceux qui ont commencé à s’élever au-dessus de leur condition pré-humaine. N’ayez donc pas non plus d’impatience vis à vis des dates avancées de ci et de là. Le 21 décembre 2012 étant celle la plus médiatisée, elle vise à créer une peur chez les premiers et une espérance chez les seconds qui pourrait être déçue le jour arrivé. Ne vous attachez qu’à ce que signifie le solstice d’hiver, il marque l’inversion d’un rythme qui se tourne vers la lumière grandissante.

Le changement a commencé il y a plusieurs années, il est inéluctable et se trouve ponctué dans le temps de balises incontournables. Comme je l’ai déjà dit auparavant, personne ne connaît avec précision le jour et l’heure où ces balises s’activent et personne autrefois ne les a jamais annoncées avec autant de précision que veulent le faire croire ceux qui visent à créer des espoirs déçus. Pour autant, la charnière des ans 2012 et 2013 de notre calendrier marque un aiguillage sans retour dans l’histoire de notre pré-humanité. Une porte s’ouvre puis va se fermer, laissant à tous ceux qui sont prêts pour cela la découverte d’un Âge d’Or. Il est clair que cette fois-ci encore, comme les précédentes fois où cela s’est produit, tout le monde n’est pas prêt à franchir le seuil. Tout va à son rythme pour chacun.

Je pressens que ce passage ne va pas se faire sur une évolution mesurable avec les paramètres habituels de l’évolution humaine, je pressens qu’il se fera en un temps très bref, comme une aspiration soudaine qui emmènera tout le monde au-delà des voiles limitant encore la conscience. Là se redistribueront les rôles dans la guidance d’une humanité aux yeux grand ouverts.

Notre réalité se montrera alors pour ce qu’elle est et nous aurons la sagesse innée d’en comprendre dans l’ensemble et le détail toute l’étendue de ce qu’elle a représenté en tant qu’expérience de la Connaissance. Nous ne sommes pas au bout de nos surprises quant à ce que nous allons découvrir de nous-mêmes et de la précision du plan qui a présidé à notre trajectoire tout au long de nos incarnations ici-bas.

Ne soyons donc pas impatients. Si l’on y regarde de près, ce n’est comme toujours que notre mental qui s’agite dans l’attente et fracasse ses vagues sur les falaises. En fait, il se fait l’écho de ce que nous ressentons à un autre niveau. Tout au fond de nous, à l’écoute de notre silence intérieur, nous savons que tout est juste, que tout est à sa place, que tout se déroule comme prévu et que nous arrivons tout près de cette bascule, de ce point zéro de l’histoire. Nous savons aussi qu’il n’y a rien d’autre à faire à ce point qu’être dans l’accueil de tout ce que nous présente la vie, et nous savons que notre confort en cette période est proportionné à ce que nous avons pu dépasser des mécanismes égotiques fondés sur nos souffrances et notre conditionnement.

L’égo est mis à nu, personne ne peut en faire l’économie, c’est un artifice qu’on n’emporte pas avec nous. Ainsi purifié, hors de l’ancienne matrice, il intègre la plénitude de l’être à un niveau de maîtrise qui ne sera plus un obstacle à son évolution.

L’Âge d’Or sera celui de ce nouvel apprentissage pour une part de l’humanité qui aura franchi la porte. L’autre part la franchira elle aussi le moment venu après quelques expériences nécessaires à sa préparation. Enfin, nombre d’entre vous qui lisez ces lignes, riches et forts de l’expérience Gaïa, reprendront le cours de leurs lignées originelles. A notre échelle du temps soyez patients, n’attendez rien, Soyez, car nous y sommes.

Fraternellement,

© Le Passeur – 16 Octobre 2012 – http://www.urantia-gaia.info Cet article est autorisé à la diffusion à la seule condition de ne pas l’associer à une démarche commerciale, de respecter l’intégralité du texte et de citer la source.

Cette série d’articles est réunie dans la rubrique « L’Eveil ».

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Nomade sur le chemin...
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274 réponses à De l’indicible impatience…

  1. mesnet dit :

    Mon vécu au « oui/non » lu, plus bas sur cette page :
    Durant l’éveil, lorsque je percevais la dualité chez l’autre dans une conversation, je lâchais prise de suite : il montait sur son ring tout seul et moi, je sortais de là à une vitesse subliminale.
    Cet etat de fait change en ce moment.
    Comme si je pouvais dire « non » à l’autre, à partir de mon nouveau « moi ».
    Ce qui veut dire que ce « moi » était trop fragile durant l’éveil et que les « tu as tord » de l’autre m’auraient décentrés….
    Je le dis tout le temps, mais c’est hyper concret chez moi : « tout est pareil, mais tout est différent », je peux donc dire non à partir de ce que je suis.
    Dire non n’est pas « mauvais » ni « bon » d’ailleurs.
    Juste affirmer ce que JE SUIS, donc ne pas renier ce que JE SUIS. Et le dire..ou pas.
    Question de choix….mon choix…..serein et apaisé….pas d’obligation….
    Bon, je dois dire que papoter sur les blogs en ce moment m’y aide pas mal à cet entrainement, lol….J’y vois plus clair…et je citerais Laurent dureau, car c’est ce que je vis en ce moment…et la bataille ici nommée, je la visualise en moi, pas contre l’autre qui ne fait que me tendre un miroir ….pour voir ou en est mon « justaucorps, » lol !

    « Par contre, si vous décidez d’aller au-delà de votre réaction première, alors vous indiquez clairement que vous allez sur le champ de bataille. N’espérez donc pas vous en sortir sans égratignures. Cependant, si vous êtes sûr de vous, de votre maitrise, alors allez vous y frotter et vous verrez bien comment vous réagirez »

  2. Lunesoleil dit :

    L’Âge d’Or son maître Saturne , justement je lisais récemment un chapitre sur Saturne dans le livre : la Transmutation des influences planétaires entre les anneaux du serpent de Bernard Duchatelle . Étant donné que Saturne est puissant dans ma carte et qu’il est toujours utile de se remplir de sagesse Saturnienne . En passant j’ai bien aimé votre article, merci

  3. LUMIERE dit :

    Merci Passeur

  4. joysse dit :

    Hello

    Au-delà des histoires de vies et d’amour …

    Ne pourrions nous « vivre » l’Amour sans histoire ????

    Merci Passeur, ce texte résonne fort, car il ne met pas seulement des mots,
    mais vibre profondément tant il est juste …

  5. Flora dit :

    Il sera donné à chacun selon l’inclination de son âme.
    Les adeptes du nihilisme voudront se fondre dans une infinie béatitude pour un repos bien mérité.
    D’autres voudront continuer l’aventure pour collaborer à la création de l’homme nouveau et à la spiritualisation de la Terre.
    Bonne soirée.

  6. Jonas 27 dit :

    Le grand basculement aura bien lieu (POUR TOUS)!
    Reste a savoir quel part du chemin il nous restera a poursuivre par la suite.
    L’éveil (pour moi)c’est vivre sans le voile en ce rapellant d’avant(les vie antérieur).
    Si tout cela se produit ce n’est pas que pour le plaisirs mais,bien pour être utilisé a bonne escient.L’éveil c’est un (être) qui est ((concient)) de vivre une expérience (((humaine))).La fusion dans l’acceptation de cette état (d’être humain) mais cette fois l’expérience est différente car ils est concient et le restera dans les autres incarnation qui vont suivre .Plutard sur cette même vielle terre nos décendant décrirons qui nous étions et sommes toujours un unité éternelle et conciente.

    • pierrot dit :

      Pas certain que se rappeler de ses vies antérieures résolvent quoique ce soit, ce sont encore vivre dans ses histoires. C’est cela l’illusion, toujours entrain de se créer des histoires. Pour voir au delà de nos histoires personnelles, il faut changer notre point de vue et ne plus alimenter nos croyances, ne plus s’y attacher et les prendre pour ce qu’elles sont, de simple croyance, du relatif bien perso quoi.
      Soyons fous et osons sortir des sentiers battus.
      C’est lorsque je ne comprends plus rien que ça m’éclate.

      • Le Passeur dit :

        En effet, la voie est bien au-delà de ce que nous comprenons pour le moment, c’est pourquoi seul l’abandon nous guide avec justesse.

      • Cécile dit :

        Bonjour Pierrot,
        Je suis d’accord avec toi, à une nuance près.
        J’ai remarqué que les situations douloureuses, répétitives et qui me donnent la sensation d’être dans une impasse se résolvent, parfois de manière fulgurante, quand je vais faire un peu de ménage dans mes vies dites « antérieures » (qui a mon avis sont plutôt parallèles, pour ce que j’en comprends). Cela me permet alors de m’alléger de mémoires souvent toxiques qui m’encombraient et me ralentissaient. D’ailleurs, je considère qu’elles se manifestent en général justement pour être libérées, au bon moment pour faire ce travail.
        En revanche, si aller voir ces vies est encore du tourisme (plus ou moins) spirituel ou de la curiosité intellectuelle, je partage entièrement ton avis : on ne fait qu’en rajouter une louche aux bavardages du mental et on s’éloigne un peu plus de l’éveil.
        Très belle journée à toi et à tout le monde !
        Cécile

        • Thau dit :

          Si tu admets que le temps n’existe pas, alors tu obtiens une dispense « de travail » et même le chemin n’est plus nécessaire : il suffit d’attendre en Paix ou comme dit Pierrot de « bien s’éclater ». En effet tout nous est donné, il suffit de l’accepter. Cela nécessite juste un changement de regard (de point de vue) sur notre vécu.
          Fraternellement

          • Cécile dit :

            Bonjour Thau,
            Je me doutais que le mot travail ferait réagir. J’avoue que pour ma part, je ne le considère pas comme un problème, dans la mesure ou ce n’est pas une activité plus ou moins lucrative imposée par la société mais tout simplement ce que je suis venue faire sur cette belle planète. Aurais-je encore un peu de mal avec le non-agir ? C’est bien possible…
            Amicalement

          • Soleil Bleu dit :

            ça me parle bien ce que tu dis là Thau. Aujourd’hui j’ai pourtant eu une journée bien remplie au niveau boulot, mais je n’ai pas eu ce ressenti de « travailler ».
            Mon Dieu que ça change tout le regard qu’on porte et qu’on lache sur les contraintes qui apparaissent.
            Merci à toi et à+.
            S.B

        • pierrot dit :

          Juste pour y ajouter mon inspiration du moment. Pourquoi on ne parle jamais de vies postérieures? Rien que par le mot antérieure on met une linéarité dans le temps et en ce qui me concerne la guérison ne peut se faire que dans l’ici et maintenant.
          Donc sortons du causal et entrons pleinement dans le sensitif.
          Pour les vies postérieures cela me rappelle un conférencier qui disait que nous pouvions déclencher des maladies issues de conflits futur.
          Bref tant qu’on est dans le mental, on est en projection et si par dessus cela on y met des convictions héritées de nos croyances et bien on rend cette croyance tangible.
          C’est pour cela que ce qui marche pour une personne ne marche pas forcément pour cette autre personne dans ce monde de dualité.
          Bien sûr en aucun cas je ne souhaite imposer ma façon de voir et j’invite chaque personne à y donner son point de vue.
          Et si on fait une prise de conscience en voyant son point de vue évoluer et biens rions de s’être laisser berner par nos croyances, c’est comme cela que je vois la fluidité.
          Aucune certitude, se remettre toujours en question et expérimentons nos pseudo certitudes dans un environnement impermanent.
          Si ces convictions marchent pour le moment et bien tant mieux mais ne présageons pas qu’elles vont marcher tout le temps (ici le temps est linéaire bien entendu), la vie étant dans le présent.

          • Cécile dit :

            Bonjour Pierrot,
            Comme je le disais, il me semble que les vies sont parallèles, donc ni antérieures ni postérieures
            Mais tu as raison, ce qui marche pour l’un ne marche pas forcément pour l’autre, et j’ajouterais que ce qui marche aujourd’hui ne marchera pas forcément demain. Quand je serai prête, je passerai à autre chose, et il me semble que c’est pour ça que je suis là. Me laisser porter toujours plus vers de plus de conscience, plus de présence, plus d’abandon, quelles que soient les épreuves et les souffrances traversées.

      • Jonas 27 dit :

        Bonjour Pierrot,
        L’illusion de????
        Premièrement je veux te dire que ce qui est écrit ici je l’ai fait au pied de la lettre mais j’y ai rajouté une touche perso ah oui!!!mon ami PERSO!!!J’ai vue les monde parralèlle et je vois les être éveillé qui parle dans leur sommeil.((((LE TOUT))))c’est aussi le mental,le tout c’est le tout.On ne se crée pas d’histoire,on les a choisis a chaque fois(vie anterieur) et ce sont nos clef alors si c’est ton choix de tout les jeter par dessus bord alors ceci est ta clef que tu as choisis.Ce que j’ai découvert ici (L’ÊTRE),je le respect et je l’utilise ,mais c’est vraiment loin du tout(LA FOI) mon ami,celle de la bible (NON)!!!celle que tu trouvera si tu la cherche.(LA SPIRITUALITÉ)pas celle qu’on trouve sur le net mais bien celle qui se trouve dans la forêt la nuit (la première connection, seul avec Gaia).L’ego aah!!!booo!!!!!!peut-être celui qui se fait passer pour l’être,je ne sais plus ah oui!!!!l’illusion de!!!Bientôt mon bientôt.

  7. Alain dit :

    Bonjour,

    Voici un autre lien concernant le secret des pyramides suite au premier lien qui avait été donné précédemment.

    Le premier lien:http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=Ftxai2OOgYo

    Le second lien:http://www.wikistrike.com/article-le-3-decembre-2012-3-planetes-seront-parfaitement-alignees-avec-les-3-pyramides-de-gizeh-111214594.html

    Bonne semaine à tous

    Alain

    • acacia dit :

      Je viens de regarder ce second lien – le premier, déjà, m’avait enthousiasmée.
      Tout est décidément dans un ordre et un équilibre parfait.
      Merci Alain !

  8. Relience dit :

    Merci Passeur de ton article.

    Je le ressens exactement comme ça moi aussi :
    Rester dans le moule de l’inconscient collectif en restant au fond du gouffre,
    ou se reléver à la hauteur de ce que l’on est suivant l’évolution entamé jusqu’ici ?
    Car j’en suis effectivement bien là. C’est pile ce que je vis ici et maintenant.

    Je suis entrain de refaire un travaille sur moi-même intense pour rebrousser chemin.
    Et comme je sais ce que je suis, je m’en défi me surpassant sur cette aventure !

    Une foi éveiller, reprendre son souffle et rester fidèle à son intuition.
    Tel est la mission. Donc merci Passeur, ça fait largement écho.

    Jenny

  9. acacia dit :

    Pourquoi dis-tu, Passeur, à propos de cet aiguillage de notre calendrier : « une porte s’ouvre puis va se fermer » ?
    Pourquoi une porte qui s’est ouverte se refermerait-elle ?

    • Salvia dit :

      … puis-je me permettre de dire une ânerie? … la porte se referme pour éviter les courants d’air… 🙂
      Ce n’est peut-être pas à publier, je suis d’humeur facétieuse ce soir …

    • Salvia dit :

      Cette porte se refermera quand tous ceux qui avaient décidé de passer l’ont fait. On ne passe pas d’un monde à l’autre si on n’est pas prêt, je crois que l’air y serait irrespirable. L’ascension d’un 8.000 mètres ne se fait pas sans préparation. C’est du moins ainsi que je comprends cette phrase, qu’en relisant je n’ai pas retrouvée d’ailleurs.

    • Relience dit :

      Bonsoir

      Une porte s’ouvre et se ferme…

      Une foi traverser, d’autres portes seront à ouvrir pour se refermer derrière soi.
      Car retourner en arrière est impossible à moins de tomber dans un précipice.
      D’où l’importance de savoir où on se dirige, de garder sa vigilance.
      Mais si c’est ce cas, il n’y aura plus qu’a escalader pour regagner la surface.

      Plus d’effort, mais surtout, comme ça le mentionne si bien dans l’article,
      rester sur le quai ou prendre son bateau ?
      La mère humaine ? Lot d’émotions véhicule de peur paralysante,
      ou accepter le vaste inconnu de son un connu ?
      Nid douillet à respecter au valeur fonder sur l’étique du « que dira-t-on »…
      Culpabiliser ou laisser enfin derrière soi ses bagage trop lourd ?

      Puisqu’ils sont si lourd, pourquoi les prendre avec soi au risque
      de se rendre plus lourd soi-même de ses propres dépendance
      entretenant frustration, protection, illusion, confort de survie ?

      Ou bien la liberté de remonter à la surface en reprenant
      sa trajectoire car il n’est jamais trop tard. Il n’est même que trop tôt…
      A soi de récupérer ses choix en remaniant sa conscience à l’éveil de son être.

      J’ignore si je répond à la question, mais, ça m’a inspiré….
      C’était donc ma réponse.

      Bien à toi,
      Jenny

    • Le Passeur dit :

      Parce qu’elle ne peut toujours rester ouverte. Elle se referme derrière ceux qui ont choisi de la passer.

      • acacia dit :

        Bonjour à tous !
        Je crois, Passeur, que je ne parlais pas du même genre de porte que toi. S’il est question d’un portail genre vortex d’énergies, alors oui il ne restera ouvert que le temps qui lui est imparti pour remplir son rôle précis. Là il s’agit de ne pas rater la porte …
        Le mot porte m’avait mis en tête l’idée de la porte du cœur… Alors je voyais mal comment on pouvait supposer qu’une telle porte puisse se fermer au nez de personnes même hésitantes à un moment donné. Cette porte-là est intérieure, elle se franchit en nous et jamais ne se referme – sauf par nous-mêmes…. C’est ce que je pense en tout cas.
        Voilà, il semble donc que ma question se basait sur une interprétation erronée de tes mots.

        Ceci dit je suis bien d’accord avec toi, Salvia : on n’accède pas à un haut sommet sans préparation.
        Et je suis d’accord avec toi Relience : faisons-nous le plus léger possible !
        Comme je ne crois pas à une spiritualité prudente je ne crois pas non plus qu’on puisse partir à reculons ou les bras chargés de mille détails encombrants.
        Et puisqu’il est question de départ partons hauts les cœurs, youpi !
        Je rajouterai juste ceci : quand je suis allée sur le site hier et que j’ai vu 192 commentaires ! ouf ! j’en étais restée à une vingtaine… Peu à peu j’ai tout lu. Avec ce même plaisir à vous retrouver et ce contentement grandissant qui me vient à nous voir grandir ensemble.
        Car c’est bien de cela qu’il s’agit, n’est-ce pas – et on grandit forcément d’autant mieux que l’énergie est mise en commun.
        Je souhaite à tous une belle paix lumineuse,
        avec amour,
        Acacia

  10. Saam Enki dit :

    Quand je lis ce texte, une seule chose en ressort pour moi: LE TEMPS
    Ce temps dont on ne sait rien en réalité, ce temps qu’on ne maitrise pas qui s’accélère maintenant. Tout est si rapide , dès que la semaine commence au moment de s’en rendre compte on est déjà à la fin, le mois , l’année, comme si tout n’était qu’illusion, mirage, leurre. c’est pourquoi l’éveil de la conscience et le fait de toujours rester vif et vigilant est primordial.
    Une petite allégorie africaine:
    le temps ou le monde (Biens matériels) : cheval
    l’Homme: caméléon
    la mort: aigle
    le caméléon court après le cheval pour le saisir et l’aigle après le caméléon. c’est clair que nous ne pourrons jamais rattraper le temps et le posséder mais la mort est à notre trousse elle nous aura de toute façon.

    • marie christine dit :

      Sauf que la mort n’aura pas notre conscience de l’immortalité, Sam !
      la mort n’est pas une fin en soi . Elle se traverse .
      Et c’est ça notre dernier défi .

      • Thau dit :

        Pas de temps, pas de mort, pas de conscience immortelle ni de défis ou d’illusions: juste Accepter ce qui Vient pour ETRE.
        Bonne nuit

        • Margelle dit :

          La mort n’est pas à nos trousses. Elle vient à notre rencontre. (..)

          • Patrick dit :

            Le mental sait que l’esprit est immortel mais le corps tremble devant la mort ; lui ne sait pas encore « être » .

          • Marie-Anne dit :

            La Mort, telle que nous la concevons, est une notion appartenant uniquement à la 3D.
            Dans les dimensions « supérieures », elle serait juste un arrêt, consciemment voulu et mené, pour fixer, en quelque sorte, les résultats de l’expérience de vie qui vient de se terminer et préparer celle qu’on veut vivre ensuite.
            Elle serait en fait un passage – conscient et sans dégradation du « véhicule » quitté – un passage vers une renaissance consciemment décidée et vécue.
            En 3D, ce passage est effectué en dehors de notre volonté ( enfin, en principe), après, le plus souvent dégradation de notre corps très malmené à tous les niveaux ; ce passage donnera sur une nouvelle réincarnation dans la matière jusqu’au jour où nous aurons transcendé cette matière( comprenant que celle-ci est pure Lumière , laissant cette Lumière transmuter nos cellules).
            Voilà ma vision des choses; elle est encore approximative.
            Amitié à tous

    • Relience dit :

      La mort à nos trousses ou bien l’homme au trousse de la mort ?

      Les reliques de la mort :
      La cape d’invisibilité, la baguette du pouvoir et la pierre de résurrection…

      Le temps… Prendre son temps, perdre son temps, gagner son temps,
      ne plus sentir le temps…

      Aujourd’hui, l’humain utilise le temps en le fabriquant.
      La peur en est le symptôme.
      Il cultive sa paralysie à se caché de sa liberté en se condamnant
      à une souffrance : la survie…
      Le temps devient alors son chronomètre qui lui laisse que quelques miettes…
      Il oubli ce qu’il est profondément en vérité.
      Il est tellement fatigué que le corps en premier s’use.
      Alors qu’en fait le temps n’existe pas comme son reflet qu’est la mort.
      Seule la vie existe. Et l’homme à peur de ce qu’il ne connait pas.
      Et pourtant, ce n’est qu’en se confrontant à sa force intérieur de conviction profonde conscience, que s’engager vers le risque de l’inconnu lui rappel à quel point ce qu’est d’être vivant, à quel point l’expérience est ce qui le révèle.

      Une interaction, un jet électrique, sa flamme s’illumine…

      Le pouvoir, la force intérieur brille de mille feu lorsqu’on tombe
      pour mieux renaître, mieux se relever….
      On devient invisible/invincible à ce qui est inutile et on s’éveille à l’abondance
      de sa force, de son pouvoir magique existentiel entre la terre et le ciel…
      Soit l’équilibre intérieur de ses propre polarité essentiel des sens
      Ressourcé au cœur de sa source purifié car saisi à chaque instant.
      On rajeunie, on revient à la vie tout en étant en vie d’envie,
      de révélation oxygénant d’inspiration profonde à l’écoute de son fort intérieur,
      soif de transcender, de guérir, de muter, l’écoute de ses leçon aux rendez-vous du bon son entre ici et maintenant, entre ce qui est et ce que l’on est.

      Ainsi, choisir : dormir ou se réveiller ?
      Soit être un être mortel dans sa survie, ou un être immortel dans sa vie ?

      Pour finir, j’aime bien prendre le mot trousse pour une trousse de soin…
      L’homme veut sa mort pour se reposer à mon sens.

      Jenny

      • marie christine dit :

        Marie-Anne, Relience : très belles réflexions !!!

      • pierrot dit :

        La mort physique ou la mort de l’EGO?

      • Saam Enki dit :

        Vous avez tous raison, j’ai abordé ce sujet pour ouvrir le débat. La mort n’existe pas ce n’est qu’une transition. Mais je ne parle pas de la mort comme d’une fatalité ou de la fin absolue mais de la mort du corps, de l’enveloppe charnel. Pour le commun des mortels la vie se résume à la naissance, aux biens matériels et plaisirs acquis puis à la fin qui est la mort. Mais vous et moi savons que ce n’est pas le cas.
        Par rapport à la notion du temps , il ya deux films qui l’illustrent bien à mon avis, il s’agit de « the man from the earth » et « Time out »

        Quelqu’un qui désire sa mort veut se reposer…bien dit Jenny.

        Merci encore Relience et Marie pour votre grande sagesse.

  11. Cécile dit :

    Cher Passeur,
    Il m’aura fallu plusieurs jours de réflexion sur ton très beau texte pour comprendre que ce bateau, c’est en quelque sorte l’Arche de Noé, mais une arche subtile, vibratoire. Nous n’avons pas besoin de partir. Au contraire, nous prenons refuge en notre sanctuaire intérieur, laissons la Transition se faire à son rythme et préparons la suite dans nos cœurs en faisant éclore en nous les germes de ce qui sera.
    Tout s’éclaire…
    Grand merci à toi pour ta lumière.

    • François dit :

      Bonjour Cécile, je te réponds ici, pour aussi, l’autre commentaire plus bas. Si tu es toi-même et que tu fais ton propre chemin sans rien attendre ou le moins possible de retour gratifiant des autres alors tu es l’exemple que tu souhaiterais être pour ton entourage. Et visiblement c’est le cas.
      Je réalise que c’est un Sacré bol de vivre entouré de gens qui considèrent qu’ils ont du bol de vivre. Peu importe finalement d’où et comment vient leur joie de vivre, l’essentiel est qu’ils en aient et que cette joie soit partagée ensemble.
      Merci.

      • Cécile dit :

        Bonsoir François,
        Je ne suis pas certaine d’être toujours un exemple mais merci quand même… Et oui, c’est une chance de vivre avec des gens qui sont heureux de vivre. Moi qui cohabite avec une famille championne olympique de mauvaise humeur et prises de bec, je confirme…
        Blague à part, je sais que nous choisissons nos situations de vie, en particulier familiales et affectives, pour apprendre et progresser, et finalement dépasser les souffrances ainsi créées. C’est par là que nous nous raffinons pour, comme le dit si joliment Marie-Christine, « se présenter le plus nus possible ». C’est ce « raffinage » qui nous donne la légèreté nécessaire pour monter sur le bateau – quelle belle métaphore décidément que ce bateau ! – et laisser venir ce qui vient.
        D’ailleurs, pour désigner la Transition qui se prépare, l’un de mes alliés de l’autre côté du voile a récemment employé ce terme : « la Vague qui vient ». Alors autant ne pas trop alourdir le bateau avec nos souffrances, peurs et autres résistances, faute de quoi elles risquent fort de nous envoyer par le fond.
        Je crois me souvenir que Khalil Gibran, dans Le Prophète, sur le chapitre consacré à l’Amour, dit de très belles choses à ce sujet.

    • pierrot dit :

      Bien, c’est inclusif comme réponse qui n’amène pas une quelconque distance ou action à entreprendre.

  12. Margelle dit :

    Ah, le bateau, le quai et les passagers !! et la petite phrase qui me fait question : » beaucoup plus qu’il n’y paraît se tassent en fond de cale, pour qui vous êtes là en ce présent. »
    Je le sens bien, mais que c’est difficile de savoir qui ils sont, et la différence avec ceux qui restent à quai, absolument, par déni, par mépris.. Est-ce que ce sont ceux qui simplement te disent bonjour, ne te tournent pas le dos, tout en cherchant malgré tout à ne pas être dérangés ? à rester dans la voie qu’ils connaissent bien, sans ouvrir les portes et les fenêtres ? Et que nous essayons d’ouvrir pour qu’ils respirent mieux ?

  13. Jonas 27 dit :

    Entendez-vous les tambours de guerre que ces sauvages font résonner au loin dans l’obscurité de ces forêt noires,les entendez-vous?Ce ne sont pas des tambours de guerre mes frère c’est le coeur de Gaia qui bats .Elle dit ,je vous aime mes enfants ,n’ayer pas peur du noire ,je suis la.Elle a donné la vie et un jour la remis en son saint. Le 31 octobre se sera la fête des morts alors, qu’allons -nous pouvoir écrire sur ces pages . Qu’elle déguisement la peur mettra cette journée la.Allons -nous la prier a genous ,craignant son gourou ou allons-nous comprendre qu’elle que choses d’incroyable sur l’illusion de?Pourquoi parlons -nous du 21 décembre 2012 comme date butoir .Nous y sommes tous depuis longtemps.Je vois l’éveil partout,je rentre dans plein d’église différente et tous porte le même message (l’unité).De l’autre côté du pont il y a (un miroir).Ce que je dis, je le dis conciament même si je sais que cela peut déranger quelque peut .Mon guide me dit de faire (KOUACKKKKKKK!!!!!!!!)et je le fais .tant de miracle se sont passé sous mes yeux mais,j’ai désobéis et suivit mon instinct.J’aimerais entendre de vos histoire face au miracle de l’éveil mais ,ces histoire ce trouve tout au fond et il faut plonger pour les faire ressortir.
    Je n’ai aucune idée ou j,ai pus prendre cela mais une des première phrase que j’ai mis en pratique c’est,(fait tout ce que tu na jamais fais)prend tous les choix que tu n’a jamais pris.Nous sommes tous sur un long fil de fer essayant de garder notre équilibre pour ne pas tomber et se faire tomber mais,l’équilibre n’existe pas .L’équilibre c’est la peur déguiser qui dit (ne bouge pas ,ne bouge pas ,tu vas tomber ou tous nous faire tomber.Avez-vous sentis les choses s’accélérer j’ai plutôt l’impression qu,il ne faut pas bouger alors qu’est-ce que l’accélération dons il parle.L’accélération c’est la multiplication des dons et savoir créé par la fusion dans l’unification des êtres humains.Plus simplement l’ouverture du coeur face a l’autre (les clef et les cadenas).L’explication de la construction des pyramides dans l’unification et c,est pour cela que tant d’être sont venu des quatre coin de l’univers , pour voir (((((L’UNIFICATION))))).Ou seront les étoiles qui nous guides dans la lumière (absolut).OUI!!!l’ombre deviendra lumière mais c’est seulement parce qu’on l’aura accepté sans peur qu’elle perdra son pouvoir illusoire qu’elle n’a pas demandé a avoir et la lumière aussi perdra son pouvoir illusoire du bien (absolut).J’aimerais vous proposer d’aller lire sur les mentaliste et sur leur tecnique utilisé depuis le début des temps pour orienter les choix des hommes.Bonne lecture mes amis.

    • marie christine dit :

      Déverrouillons tous les cadenas, Jonas, dans la confiance et la joie . Et que la Lumière soit ! Plongeons sans peur dans l’inconnu . L’inconnu, c’est la Lumière, pardi !

    • Marie-Anne dit :

      Oui, Jonas: l’ombre deviendra Lumière ( grand L) lorsque nous accepterons cette ombre sans peur; lorsque nous aurons compris son rôle , et que nous l’aurons remerciée, avec Amour, d’avoir tenu ce rôle ingrat; la lumière ( petit  » l « )- qui est un « bien » très relatif et très précaire- rejoindra, avec l’ombre transmutée, la Lumière( avec un grand L) (càd l’Amour, la Lumière absolue, comme tu l’appelles).
      La lumière (pt « l ») et l’ombre ont été nécessaires au Jeu de la dualité, pour aboutir à une expansion de conscience et de créativité qui n’auraient pas été possible sans elles.
      Pour ce qui est des mentalistes, je me renseignerai dès que possible .
      A bientôt, mon ami

      • Jonas 27 dit :

        Ha ha!ok l’ombre et la lumière deviendront (lumiombre) et si ce mot apparait un jour dans le dictionnaire je dirai c,est moi et Marie -Anne qui l’avons inventé par la fusion de nos coeur et la transcendance de nos peurs HAHA!!!!J’essais juste de dire que la nouvelle énergie c’est l’ancienne vue sous un autre angle.merci d,avoir réagis si fort je l’aprécis et surtout n’ésite pas car tout au fond il y a la (lumiombre) HAHAHA!!!et je ne ris pas de toi mais bien de la situation mon amie
        très cher.

  14. CB dit :

    Un reve cette nuit, après un long moment sans rien.
    Quelqu’un frappe à ma porte, j’ouvre et je me vois en face là dehors, qui vient de frapper et à qui j’ai ouvert. Qu’est ce que tu fais là dehors ? ET le moi dehors commence à chanceler, me montrant qu’il ne va pas bien.
    J’ai porté comme mon coeur mon corps chancelant en lui disant des mots d’amour et le confortant de mon indefectible attachement en le faisant entrer.
    C’est le son du réveil qui m’a sorti de ce rêve, peut-être parce que je ne voulais pas connaître la suite ou parce que la suite je la connaissais peut-être.
    Aucune envie d’interpréter ce rêve ne m’est venue et c’est cela qui me va, je vous serais grâce de ne pas me donner la vôtre, c’est la première fois que je me vois en rêve. Cela a ouvert quelque chose devant moi, ou en moi.
    Tous vos commentaires sont une grande richesse même si je ne suis pas en accord avec tout. Ils nous parlent de notre humanité. Je salue aussi du fond du coeur ceux qui viennent et ne disent rien.
    Je vous envoie toute ma joie d’être et ma présente sollicitude.

  15. François dit :

    Intéressant tous ces échanges sur l’ombre et la lumière…. 🙂
    Je m’demandais si on pourrait prétendre que Lucky Luke est une lumière du fait qu’il tire plus vite que son ombre ..? Fau’que voissa en médit…
    bises à tous

    • Marie-Anne dit :

      François, ne commence pas!
      J’ai déjà assez de difficultés à suivre Jonas, alors , Lucky Luke, on s’en occupera après! (Ceci dit, Lucky, c’est un cas facile: il suffit simplement de savoir que son bras et sa main sont plus rapides que la lumière! Facile!

      • Marie-Anne dit :

        Jps: j’ai essayé « alt » 3, et ça n’a pas marché.
        Je réessaie <3

        • Marie-Anne dit :

          Bon, François, après mon 1er commentaire, imagine un ou deux petits coeurs!

          • elba dit :

            Marie-Anne, il faut que tu fasses « alt », que tu laisses ton doigt enfoncé sur cette touche, puis tu fais le 3, et tu lâches tout … Réessaies, tu verras.

            Bisous. ♥♥♥♥♥ 🙂 😉

          • acacia dit :

            Regarde Marie-Anne ! regarde : © et re © et encore © !!!
            Ça fait un moment que je bataillais, moi aussi.
            J’ai un ordi portable et les raccourcis clavier ne semblent pas fonctionner comme indiqué par nos professeurs attentionnés, alors je suis allée sur Word, insertion, caractères spéciaux, insérer… et hop : ©… !
            ….. ???… sauf que là, en copiant-collant le résultat triomphal de ma trouvaille… les coeurs ont disparu , remplacés par de drôles de signes que je ne connais pas ( pourvu que ça n’ait rien d’insultant !).
            Je t’embrasse, on va y arriver – à ça aussi !
            Acacia

          • Marie-Anne dit :

            Merci, les filles (Acacia , Elba et Salvia) de vous intéresser à mes problèmes de coeur ! 🙂 🙂 🙂
            Mon ordinateur est encore un grand inconnu pour moi! (Dire que je disserte sur la Mort, et que je ne sais pas encore où sont les coeurs de mon ordi!)
            Je vous embrasse!

            ps: Pierrot:pas de commentaire! 🙂

          • Salvia dit :

            Marie-Anne,
            sois rassurée: je n’arrive pas à mettre un coeur avec le alt+3, ça ne marche pas! Par contre mon système de « copier/coller » me convient.
            La preuve 🙂 ♥

      • Jonas 27 dit :

        Haha!Crois moi ou pas mais,devine quel personnage il y a sur mon gilet ,oui oui!!!Lucky Luke.N’essais pas de me suivre mon ami ni personne d,autre et fait toi confiance .& milliard de clef et autant de cadenas .

        • Marie-Anne dit :

          Coucou, Jonas,
          Je ne sais pas pourquoi, mais tout s’explique!
          Je me jouais de la vitesse de la lumière dans mon imagination, et je suis arrêtée par un simple clavier d’ordinateur dans la vie dense !
          Je te rends tes clés et tes cadenas; je garde, si tu veux le bien, ton amitié, Lucky Luke!
          A bientôt

          • Marie-Anne dit :

            Lapsus(très révélateur: ): si tu le veux bien!

          • Jonas 27 dit :

            je me suis souvenue d’une image marquante dans Lucky luke(Daysitown).Les cowboy partent a la conquête de l’ouest et c’est très drôle ,j’ai entre 5 et 10 ans .Il bâtissent des ville en 10 minute et puis vont ailleurs et ca recommence et je ris ca me fais mal au ventre tellement la société va vite.Lucky luke est en discution avec un vieux chef indien et on voit la vision des autochtone dans la future société(la place qui occuperons )triste et sans fiertée et bang!je ne ris plus et je comprend ,aussi enfantin que ca puisse paraitre c’est un de mes premiers éveil .

        • Marie-Anne dit :

          Réponse au commentaire de Jonas, de ce 23 octobre:

          Jonas, je comprends ta peine.
          Par mon père, je fais moi-même partie d’un peuple qui a toujours beaucoup souffert et qui est aujourd’hui en proie à de nombreuses difficultés- politiques et économiques, notamment.
          Chaque fois que je vois un film sur le génocide arménien, que je vois, ces hommes pacifiques, malmenés, torturés et tués qui ressemblent à mon père; ces femmes qui souffrent et meurent dignement qui me ressemblent, j’ai le coeur qui se tord.
          Mais je me rappelle qu’il s’agit là de l’ aberration où nous a mené l’enlisement dans le Jeu de la Dualité, et je pardonne.
          Tous, bourreaux et victimes, sommes les acteurs encore fort inconscients de ce Jeu.
          Tous, de par notre multidimensionnalité et de par nos incarnations multiples, nous avons joués les différents rôles.
          Cette dualité exacerbée, qui a provoqué une baisse de plus en plus forte de nos vibrations et qui nous a maintenu dans une densité piégeante, nous devons cesser de l’alimenter à outrance.
          Car la dualité exacerbée se maintient grâce à cet écart entre le »bien » et le « mal », la « victime » et le « bourreau », l »amour » et le « non-amour,….; et elle se nourrit de nos sentiments duels.
          Plus nous jouons son Jeu, plus nous alimentons ses égrégores.
          Nous avons suralimenté l’égrégore artificiel de « non-amour » avec des sentiments comme la haine, le ressentiment, la rancoeur, la peur,etc,etc,…et nous avons terni artificiellement le maigre égrégore »amour » en rendant cet
          Amour très conditionnel et très approximatif.

          Je sais que tu es au milieu d’une tourmente, en ce qui concerne ton peuple, Jonas.
          Alors, voici ce que j’aimerais dire à l’Ami que tu es pour moi:
          Si ton coeur te dicte d’aider les tiens, Jonas, fais-le; mais essaie toujours, avant d’agir, de te poser la question: »que ferait un Maître d’Amour, résolu à aider TOUS les êtres humains à sortir du piège de la dualité, du Jeu incessant de la victime et du bourreau?
          Si tu dois agir, fais-le, comme le ferait un Père vis-à-vis de ses enfants qui se disputent: c’est-à-dire, agis avec Amour et recul;
          avec fermeté, compréhension et justesse vis-à-vis de l’enfant agressif (mais bien sûr, sans haine et sans rancoeur envers cet enfant);
          avec fermeté, compréhension et justesse vis-à-vis de l’enfant agressé ( et en y ajoutant consolation, mais sans le victimiser).

          N’oublie jamais que la rancoeur renforce en profondeur l’injustice que l’on combat.
          Tout ce qu’on peut obtenir alors ,au mieux, c’est d’inverser momentanément les rôles: de victime, on devient bourreau, jusqu’à ce que la nouvelle victime renverse la vapeur, et ainsi de suite, indéfiniment, dans une haine et une rancoeur topujours renouvelées.

          Seul l’Amour fermement intégré peut briser ce cercle vicieux de la Dualité portée à son paroxysme.
          (R.: Bien sûr qu’une certaine dualité ou même pluralité, bien équilibrée, respectueuse du rôle de chacun et de l’Unité du tout, permet le mouvement de la vie dans la Création.
          Dans tout mon commentaire, je parle de la dualité extrême- qui plus est, fortement déséquilibrée, oublieuse de la Lumière qu’elle porte, et qui finit par détruire tout le créé qu’elle touche).
          Voilà, Jonas,; je t’en prie: c’est un peu long, mais lis tout très attentivement, prends ton temps, et dis-moi, si tu le veux bien, ce que tu penses de tout ceci.
          Je t’embrasse, mon ami

          • Jonas 27 dit :

            Bonjour mon ami(e) Marie Anne,
            Premièrement merci de ne pas laisser l’illusion de?triompher ici.Tu sais ,ce que je connais c’est la nature qui me l’enseigne .Les gardien de la terre ne sont plus nombreux et dans un peuple de plus en plus assimilé ,ils sont en vois de disparition .Ce que tu dis je le comprend et je le croyais mais voila,quelque chose se passe ,je le sens ,je le sais .Gaia va nous le montrer bientôt (le grand basculement (l’illusion de?).J’ai été victime et par la suite bourreau .Ce qui sait passé en moi j’essais de l’apporté aux autres.Peut -on pardonner? oui je l’ai fait et je le refais quand dieu me le dit.L’autre jour je pensais a une personne que je ne vois plus depuis longtemps(des abus que j’ai recu).J’étais a l’hopital ,elle était vieille et malade et je me suis dis,c’est ce que tu veux dieu(que je lui dit ,je te pardonne) mais j’ai attendu .Elle est venu dehors quand je fumais car elle fumme aussi .J’ai parlé avec elle de la pluie et du beau temps, simplement je te pardonne sans lui dire et !!!Je me sens bien mais ,je suis aussi bourreau alors c’est ce 0,1%que je veux apporter aux autres.D’après toi quel rôle est le plus difficile la victime ou le bourreau?Je comprend l’ensemble de la situation .Que chacun sache que les erreurs qu’il commet aujourdhui il les a déja commit et ce cycle continuera jusqu’a ce qu’il le transcende .Je veux que tu comprenne que c’est avec le plus grand des respect et tout mon amour que je te dis(l’amour est belle et lumineuse mais comme la nature nous le montre il y a plus que ca.J’adore te lire et je garde tes clefs pour le reste c’est a toi de voir.J’ai écris un petit commentaire en haut si tu veux essayer de comprendre ce que je dis ,peut-être tu va garder une de mes clefs.Je sais que l’équilibre est très importante pour toi mon ami(e)mais crois moi elle n’existe pas .Regarde la nature elle trouve toujours un nouveau chemin.

          • Florence dit :

            Marie-Anne, j’adore tes commentaires ! La façon dont tu expliques les choses est tellement claire et fluide, ce que tu dis vibre profondément en moi et c’est un vrai bonheur de te lire.

            J’ai aussi beaucoup de plaisir à lire les commentaires de chacun, c’est tellement enrichissant ! Un grand merci au Passeur et à vous tous pour ces partages, je vous aime ♥

          • Marie-Anne dit :

            Cher Jonas,
            Ce qui compte, c’est ce que tu es aujourd’hui et ce que tu as retrouvé de ton Moi profond, de ton Moi réel et divin. C’est à ce Moi divin que tu peux offrir toutes tes expériences passées , les bonnes, comme les (beaucoup moins) bonnes: Il saura en retirer toute la quintessence (donc tout ce qu’elles offrent de précieux) et il pourra transmuter le reste ( ce qui ne va pas dans le sens de l’Amour).
            Spirituellement, tu n’as plus à te soucier de ton passé; tu restes juste responsable de ton présent.
            N’oublie pas que ce qui nous entoure est notre propre reflet : change, et ton reflet changera.
            ( Quand je dis « change », je veux dire: ne joue plus le rôle d’un « petit » humain perdu dans un monde terrible , mais redevient l’Être divin et créateur que Tu Es réellement).
            Tu peux changer les règles de ce monde terrible que tu as rencontré jusqu’ici et que tu connais bien .
            Elevons notre conscience, et créons – en étant nous-mêmes Bonté, Justesse, Sagesse , Equilibre, et Paix- un monde bon, juste, sage , équilibré et en paix.
            Mais à chacun sa voie, comme tu l’as déjà dit!
            Je te remercie pour ta générosité et tes Clés, Jonas et je te donne également mes propres Clés, au cas où…
            Et je t’envoie également la Paix de mon Coeur

          • stephanie dit :

            Tes mots me vont droit au cœur mon ami, comme je partage cette affirmation : « les gardiens de la Terre ne sont plus nombreux, ils sont en voie de disparition. »

            Il y a quelques années, je discutais de cela avec ma sœur et je lui disais que tant que ces gardiens vivront il y aura de l’espoir … Le temps est venu car l’horloge cosmique tourne, la Mère Terre a déjà entamé sa régénération et les gardiens ainsi que beaucoup de nos frères animaux sont en train de partir … Ils ont mené leur mission à terme et nous pouvons les en remercier du plus profond de notre coeur …

          • Marie-Anne dit :

            Merci Florence; moi aussi je lis avec beaucoup de plaisir les commentaires des uns et des autres !
            Et merci, encore une fois au Passeur de permettre tout cela!

    • graffitique dit :

      Du calme Joe, du calme 🙂

      • graffitique dit :

        Au prochain article du Passeur j’ai peur que ce soit :
        « Non pas toi Obélix, tu es tombé dedans quand tu étais petit ».
        On n’est pas sortis 🙂

        • Mj auer dit :

          Je prefere Donald. Pour sa naivete, il comprend rien, et fais de son mieux… Oups je parle de moi la… Merci de vos messages commentaires…. Dans le silence je lis je lis je lis. Enorme affection

  16. Tchunka dit :

    Merci pour ce texte que je viens de découvrir avec plaisir. Cette image du navire à quai est très belle, nous sommes sur l’un des ponts, nous avons jeté nos regards sur la vie que nous avons tracée derrière nous, il est temps désormais de nous promener, de découvrir où nous nous trouvons, d’aller repérer les ponts situés face à l’océan, et d’admirer la vue sur cette grande bleue.

    L’attente devient insupportable et fatigante dès que l’on espère qu’un évènement extérieur se produise et si possible rapidement ou à une date précise. Pourquoi éprouvons-nous du mal à assumer nos choix (forme, âge, santé, famille, boulot…) ou à prendre des décisions quant à notre avenir, à faire évoluer notre vision de la vie ? Nombre d’entre vous ont illustré au fil d’articles précédents des chemins de vie et de guérison merveilleux parce qu’ils ont pris et assumé un nouveau choix, confiants, pour vivre de nouvelles vibrations ce qui est très encourageant et d’une immense beauté. Merci pour ces partages spontanés.

    Pourquoi ne pas accepter que nous sommes de merveilleuses poussières divines, à leur place, en suspension ?

    Continuons d’émettre nos propres lumières de vie qui projettent notre amour au-delà de nous. Cet amour sera distribué, bu et apprécié à sa juste valeur, peu importe par qui. Nous n’avons qu’à profiter de cette période si magnifique. Belles et précieuses poussières divines, je vous embrasse.

    • Marie-Anne dit :

      Quel beau message, Tchunka! Je viens juste de le découvrir:

      ‘Continuons d’émettre nos propres lumière de vie qui projettent notre amour au-delà de nous. Cet amour sera distribué, bu et apprécié à sa juste valeur, peu importe par qui. »
      Merci au Coeur que Tu es!
      Je t’embrasse

      • pierrot dit :

        Sauf qu’il n’ y a rien à projeter juste à être.

        • Marie-Anne dit :

          Oui, Pierrot,
          « Rayonner » serait peut-être ici plus précis que  » projeter »; mais je trouve que l’image de la « projection »renforce l’idée d’extériorisation spontanée, puissante , en toute conscience ,non?
          On sent la force du rayonnement et du don.

          La spécialiste des smileys 🙂

          (Je vais retenter le coeur, et si j’y arrive, merci, Elba-merci, de toute façon, Elba)
          Rien à faire 🙂

          • elba dit :

            Mince, alors ! …. Mais peut-être est-ce parce que tu as déjà un grand coeur… tu n’as donc pas besoin des petits… 😉
            (peut-être aussi que ça ne fonctionne pas avec les portables ?…)

            Bah ! Peu importe ! Tout le monde ici a un grand ♥ !!! 🙂

        • Tchunka dit :

          Merci à tous les deux, Pierrot et Anne-Marie. Vous avez tous deux raison. Etre en conscience du rayonnement/de la projection de qui l’on est. ♥

    • François dit :

      Salut Tchunka,
      « Pourquoi ne pas accepter que nous sommes de merveilleuses poussières divines, à leur place, en suspension ? »

      Parce, qu’en autres, ça fait peur…! tout simplement.

      Tu sais, il m’a fallu beaucoup de temps pour constater une chose contradictoire chez moi mais aussi chez beaucoup de personnes que je rencontre au quotidien. C’est qu’on a peur d’oser être l’abondance dans, et sous, quelques formes qu’elle se présente à nous.

      Tout le monde aimerait ‘aller mieux’ ou que ça ‘aille mieux’ ou encore ‘que ça change’, mais peu assume quand ‘les bonheurs se succèdent en quasi permanence’ ou quand ‘tout devient facile et agréable’.

      Je te donne un exemple pour illustrer:
      Imaginons que j’aille au boulot ‘parce qu’il faut bien travailler’, qu’il y ait des tensions dans ma relation et que ‘c’est normal, comme dans tous les couples’, que je vive en ville parce que ‘tout le monde ne peut pas vivre à la campagne’, que je sois malade de temps à autres parce qu ‘on ne peut pas ‘aller bien tout le temps’ , etc…

      Imaginons maintenant que je fasse un travail sur moi qui me sorte de mes croyances et souffrances et qu’ en changeant mes choix de vie (en prenant des risques donc… 😉 ) je transforme tous ces ‘normal’ par une autre pensée qui dirait, en substance, ceci:

      Tu as le droit (le devoir?) de créer ta vie comme tu l’entends. Tu vis aujourd’hui les conséquences des choix que tu as fais hier et si cela ne te conviens pas, alors change de choix . Tu es 100% responsable de ce que tu vis dans l’instant et ,ce, quelque soit ce qui t’arrive. Tu ne peux choisir d’aimer ou d’être heureux, mais tu peux choisir de créer des expériences qui te procureront de telles émotions, sensations ou constats. etc…

      Imaginons donc qu’en quelques semaines ou jours, je subviens à mes besoins dans une activité qui m’éclate, que ma relation de couple permette des ‘Rencontres d’une incroyable richesse’, qu’on m’offre la possibilité de vivre dans un lieu magnifique, que je sois en très bonne santé, etc… et tout ça , à la suite…. un cadeau en amenant un autre et ainsi de suite.

      Imaginons ceci quelques secondes et voyons si c’est aussi « tranquille » que ça dans notre ventre…. Nous avons la possibilité de nous créer notre propre abondance et pourtant …. Assumer, accepter même, cet état de fait , cette puissance, ce pouvoir créateur, fait peur, car alors il n’y a plus rien à « espérer », à « projeter » de comment sera l’avenir, il n’y a plus d’occasion de se mettre en colère, d’en vouloir à qui ou quoi que ce soit, de se poser en « victime », de chercher à être rassuré en voulant tout maîtrisé ou comprendre. Non il n’y a plus rien de tout ça et alors……. qu’est ce qu’il reste à faire?
      Hé bien à le VIVRE au quotidien, tout simplement et , de fait, nous remplissons notre mission. Que souhaiterions nous pour les humains si nous étions Dieu? Qu’ils prennent conscience et mettent en application qu’ils sont des créateurs de vie. (La leur). Qu’ils peuvent s’offrir, par amour, toutes les expériences qu’ils souhaitent. Que soit donné à chacun cette possibilité et de partager avec eux la Joie qui émane de cette prise de conscience. C’est en tout cas mon point de vue.

      Merci Tchunka et bonne route à toi.
      Je t’embrasse.

      • pierrot dit :

        🙂 🙂 🙂

      • Soleil Bleu dit :

        Salut François,

        Je suis en accord avec ta vision à une petite virgule prés, c’est que dans mon cas, cette peur qui m’empêche quelquefois de franchir le pas a pour origine le « doute ». Et ce Doute concerne tout simplement celui de ma foi en ce plan divin et sur lequel abondent pourtant les articles et les commentaires de ce site qu’est devenu mon endroit de villégiature.

        Parfois, le plus souvent, elle est là cette foi, tel un vaisseau stable, tranquille, résistant par sa souplesse et surfant avec confiance aux vents et marées de toute envergure qu’il traverse.
        Et puis d’autres fois, sa présence se fait plus discrète, elle ne m’enveloppe plus, elle se tient auprés de moi, une distance (parfois imperceptible) s’est créée, je prends encore en compte dans mes actes les contours de ce vaisseau que je continue de percevoir, mais je ne suis plus à son bord. A ces moments, ma « foi » s’est transformée et prend pour nom « espérance » ou encore « intention ».

        Ce que j’observe, c’est que ces oscillations, qui durent de quelques heures à quelques jours, ont un effet inversement proportionnel à leur amplitude, en ce sens que, à quelque distance que se trouve le vaisseau, il m’est toujours plus instantané, naturel et facile de me retrouver à son bord pour un voyage qui semble périlleux et risqué aux yeux d’une réalité 3D, que de faire faire une ballade de plaisance à tous les petits tracas quotidiens qui s’agglutinent à un pas de mouche de son pont d’embarquement.

        A l’heure d’aujourd’hui, je ne peux que regarder et accepter que cette part de doute puisse Être, sans la surinvestir d’attention mais plutôt en accueillant sa présence avec l’Amour dont je suis capable en l’instant.

        Je t’embrasse François et Merci du don de ta foi.
        S.L

        • François dit :

          Bonjour Soleil Bleu,

          Comme je te comprends…. 😉

          Tu as écrit récemment en réponse à un commentaire ceci:

          « Pour faire court et revenir à l’essence-ciel « La vie, c’est aussi simple et aussi subtil qu’un éclat de rire ». »

          C’est, pour ma part, une grande vérité que as exprimée là. La vie c’est simple. Que ce soit comme un éclat de rire ou comme dit Marie-Christine à propos de l’état d’esprit de l’enfant, ou comme chacun ici tente de l’expliquer en fonction de son propre vécu, c’est simple.
          Pas facile mais simple.

          Alors, comment ça peut-être aussi simple et qu’on n’y arrive pas facilement ? (mouais… ça m’énerve aussi parfois… hé hé…)
          Ce que je pense c’est que ‘l’empêcheur de rire en rond’ est nourrit par le doute justement. Et le doute est probablement et entre autres lié à l’auto-jugement et/ou à l’identification. Du genre « est ce que je mérite ? » ou encore « mais comment puis je être heureux quand le monde est comme il est ? » ou encore « qui suis je pour ‘bénéficier’ d’une forme de bonheur, alors que tant souffrent ? » et aussi « Je sais que je suis sur le bateau et que d’autres n’y seront probablement pas alors que je les aime « etc….

          Quand on exprime une vérité au monde , c’est comme si on demandait à l’univers de vivre cette déclaration (on créé) et alors la vie va nous montrer à quels endroits en nous il y a encore des résistances à ce que cela se vive ‘facilement’. Le doute est une invitation à aller encore ‘nettoyer’ ce qui le fait naître. (croyances, blocages, etc) afin de vivre notre déclaration. Dire, écrire, partager c’est prendre un risque. Celui de devoir faire place nette afin d’être en accord entre qui l’on est et ce qu’on en fait ou en dit.
          Le doute peut-être un cadeau en ce sens.
          Observe le, regarde ce qu’il te propose, comprends ses peurs, soigne le doute avec ton amour en l’accompagnant vers sa propre transformation et alors ‘l’essence du ciel’ pourra circuler en Toi.
          Je nous le souhaite du fond du cœur et merci à toi et à tous.
          Ha, j’oubliais… 🙂 tout ça n’est qu’une grande pièce de théâtre, alors ne pas trop se prendre le chou non plus…. 🙂 oui, on peut aussi en rire…. ♥
          à bientôt

      • marie christine dit :

        Ton témoignage est touchant, François . Et il remet en cause un aspect très important de nous-mêmes : le fatalisme . Le monde est pétri de ce pessimisme qui est typique du monde mortel, monde de l’ego, monde du calendrier grégorien . Et ces réflexions de la vie de tous les jours sont tellement ancrées dans les cellules du corps qu’on ne se rend même pas compte que nous sommes régis par l’idée de la mort : du temps qui passe, l’éphémère, l’usure …
        Et si on arrêtait de penser à une maladie chaque fois qu’on a un dysfonctionnement de santé ? Et si on arrêtait de penser à un éventuel accident chaque fois qu’on prend sa voiture ? Et si on arrêtait de scruter nos rides, nos cheveux blancs, nos articulations ? Et si on arrêtait de regretter que les choses ne durent pas ? Et si on arrêtait de courir pour profiter au maximum de l’instant présent avant que …? Mais que veut dire profiter ?
        On prendrait tout simplement la vie comme une nouveauté, pas demain, pas un jour peut-être, tout le temps . Comme l’enfant pour qui tout ce qui lui tombe sous la main est prétexte à jouer : un caillou, c’est tout de suite une voiture ; une branche d’arbre, c’est une épée de lumière ; un carton, c’est une maison ; un morceau de tissu, c’est un déguisement … Je me souviens, je jouais avec Dieu et je sentais son souffle sur ma peau . Il jouait avec moi, en moi, et ma joie de jouer était la sienne . Des heures …et je ne voyais pas la nuit tomber . Chaque fois c’est la fessée qui me ramenait à la « réalité » .
        Perpétuelle joie créatrice perpétuellement innovante, répétant à l’infini les mêmes gestes sans être jamais les mêmes, les mêmes jeux sans être jamais les mêmes, les mêmes créations sans être jamais les mêmes ; parce que l’enfant ne « fixe » pas les souvenirs de la veille, ça ne l’intéresse pas, tout est toujours nouveau . Enthousiaste Energie émanée d’un Immuable Amour divin transcendant soutenant Tout .

      • Tchunka dit :

        Salut François 🙂
        Je suis bien consciente que la peur est le piège derrière nos hésitations, nos doutes. Et pourtant si l’on accepte que la vie se créée à notre image comme tu le mentionnes si bien même dans l’enchainement des bonheurs, nous ne devons pas tomber dans la pensée du « Et si ça s’arrêtait » ou « C’est trop beau, ça ne va pas durer ». Bien au contraire, nous sommes tels des artistes face à une toile qui ne demande qu’à être recouverte de notre expression.

        « Que souhaiterions nous pour les humains si nous étions Dieu? » Mais nous sommes « Dieu », tout au moins une particule de lui. Ne penses-tu pas qu’il se régale de nos tribulations, il ne les juge pas, il savoure toutes nos expériences. Il apprécie autant les humains qui se reconnectent à la lumière de manière consciente que ceux qui vivent sur les rails de la société à fond les ballons, sans s’interroger sur quoi que ce soit, que ceux qui vont sur des chemins de traverse. Il EST (la vie/l’amour) à travers nous.

        Je te souhaite beaucoup d’abondance, dans tous les domaines que tu désires vivre et que tes peurs fondent au soleil de ton amour et de ta conscience créatrice.

        A bientôt 🙂

        • pierrot dit :

          Sait-on vraiment ce que l’on désire?
          Dans le désire je ressens une distance entre ce que l’on a et ce que l’on veut avoir.
          Alors comme le dit Krishnamurti pourquoi se préoccuper de ce qui nous arrive?
          Et une fois l’objet du désir atteint, n’ y aura-t-il pas d’autres objets de désir à combler?
          Certains appellent cela évoluer, j’appelle cela relever des défis et soi appelle cela jouer une autre pièce de théâtre.
          Tout dépend si on s’arrête au verbe ou si on veut y mettre un objet, un objectif à atteindre.
          L’objet nous mets dans la manifestation alors que le verbe nous laisse dans la potentialité.
          Il me semble que dans la manifestation on se restreint.

          • marie christine dit :

            Un défi n’est pas un objectif à atteindre . Pour moi, c’est ce que nous présente la vie à chaque instant . Car chaque instant est toujours nouveau .

          • Tchunka dit :

            Pierrot, sincèrement je laisse les mots venir et je vous les livre avec leur énergie spontanée.

            L’amour est dans tous les moments de nos vies, si nous cherchons à découper nos journées et nos actions pour les disséquer et les observer à la loupe, ne vont-ils pas perdre leur potentiel d’origine ?

            Nous venons tous d’horizons divers, chacun est formé ou s’est formé dans un ou plusieurs domaines, nous n’excellons pas tous dans la rhétorique, la philosophie et ne possédons pas tous le sens de la formule. Je pense que peu importe la forme du verbe, ses maladresses de style, d’orthographe… je préfère ressentir et savourer l’intention et l’amour qu’il offre, me laisser porter par sa magie.

            Désir et souhait sont d’importants moteurs de la création de nos vies. Un jour le Dalaï Lama a expliqué pourquoi il arrivait à se sentir serein quelle que soit la situation où il se trouvait alors qu’il mène un parcours diplomatique peu aisé : « Je sais où je suis et je sais où je vais. »

            Bonne semaine à tous ♥

          • pierrot dit :

            Etre en présence tout en ayant un objectif à atteindre est pour moi tout un défi.

        • Cécile dit :

          Tchunka,
          Je te cite : « Il [Dieu] apprécie autant les humains qui se reconnectent à la lumière de manière consciente que ceux qui vivent sur les rails de la société à fond les ballons, sans s’interroger sur quoi que ce soit, que ceux qui vont sur des chemins de traverse. »
          Voilà une des pensées les plus libératrices que j’aie jamais lues. Ca fait du bien…

          Marie-Christine, je te réponds ici.
          Oui, de sacrées énergies – ou : des énergies sacrées, va savoir… Je te cite encore : « Je sens qu’il nous est demandé une plus grande fermeté dans notre foi, une plus grande stabilité dans nos émotions, une plus grande neutralité dans nos pensées, une plus grande lucidité dans notre observation de nous-mêmes et du monde. » Décidément, tu as le sens de la formule… J’essaie de m’y mettre dès ce matin.

          A tous et à toutes,
          C’est toujours une joie de vous lire et de savourer la qualité de vos / nos échanges. Et si c’était – entre autres – ici, sur ce site, qu’on commençait à la faire arriver, cette fameuse transition ?

          Très belle journée à tous.

          • elba dit :

            Cécile, même plaisir pour moi de lire tous les commentaires. 🙂
            La transition, elle est déjà installée. Nous avons seulement à la vivre. Et la crise mondiale (la « crise de l’argent ») actuelle est peut-être là pour que les esprits s’éveillent à l’essentiel ?
            Vivons, partageons. Ne soyons pas impatients. Et regardons que même au travers de nos difficultés, pour certains d’entre nous, cette vie que nous ne comprenons pas vraiment est vraiment une chose magnifique, tant dans sa complexité que dans ses différences.
            Joli jour à toi, ainsi qu’à vous tous qui lisez le Passeur. 🙂

          • marie christine dit :

            Bonjour Cécile, j’aime bien ta simplicité et ta fraîcheur de vue . Et tu poses toujours les bonnes questions, très intuitives …
            Mais c’est Pierrot qui a le sens de la formule ! Ah, ah, j’adhère ! C’est vrai que le but à atteindre est aussi un défi . Il fait partie intégrante de l’instant présent .

            Marie-Anne, j’ai adoré ton développement .
            Si on croit à la Multiplicité dans l’Unité, on croit au Mouvement dans l’Immuable .
            Il m’arrive de penser à l’après … Certains s’inquiètent pour les personnes qui ne prendront pas le bateau (ou l’avion) . Mais il ne peut leur arriver que du bon (après peut-être une phase « d’étourdissement ») . Il ne faut pas se baser sur l’incompréhension actuelle, dûe au fait que beaucoup ne croient pas à « l’invisible » . Impossible de les convaincre . Ils croient aux faits . Mais les faits seront là car tout ce qui sera décidé et réalisé le sera toujours dans la sérénité et la certitude de l’acte juste, et les preuves en seront innombrables .
            Amitié à tous et à toutes . Moi aussi, j’apprécie la qualité croissante de ces échanges .

          • pierrot dit :

            En tout cas papa Soleil nous en envoie de bonnes en ce moment
            http://suivi-soleil.kazeo.com/
            http://www.lmsal.com/solarsoft/latest_events/
            Sachant que par ordre d’importance c’est C puis M et enfin X

          • marie christine dit :

            Opposer l’être et l’avoir, l’être et le faire, c’est certainement absolument nécessaire au début pour développer la discrimination et la conscience de soi .
            Mais dans le monde du Tout, dans le monde de notre divinité réalisée, j’imagine que ces séparations n’ont plus aucun sens car en parfaite synchronicité .
            Les Egyptiens, les Incas, les Mayas … ne construisaient pas des pyramides pour le seul plaisir de faire ou d’avoir . Ils éprouvaient le besoin de matérialiser leur « être » pour réaliser l’union du ciel et de la terre .
            Pour moi, toute oeuvre dédiée à Dieu dans une pure dévotion, ne serait-ce qu’accomplir les gestes de la vie quotidienne en offrande sacrée est un acte « d’être » .
            Toute la vie devient méditation .

  17. Thau dit :

    La métaphore du Paquebot à quai m’a incité à relire le « bateau ivre » d’ Arthur Rimbaud.
    Extraits:

    –  » Comme je descendais des Fleuves impassibles,
    Je ne me sentais plus guidé par les Haleurs,
    Des Peaux-Rouges criards les avaient pris pour cibles,
    Les ayant cloués nus au poteaux de couleurs…. »

    –  » La tempête a béni mes éveils maritimes… »

    –  » L’eau verte pénétra ma coque de sapin…
    Me lava, dispersant gouvernail et grappin »

    – « Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
    de la mer, infusé d’astres, et lactescent,  »

    et pour finir…

    –  » Et j’ai vu quelques fois ce que l’homme à cru voir !
    J’ai vu le soleil bas, taché d’horreurs mystiques »

    Juste pour vous donner l’envie de relire ce texte magnifique et inspiré…
    Je vais en profiter pour relire les  » illuminations « …

    Merci Passeur pour cette incitation !
    Fraternellement

  18. marie christine dit :

    Il a été dit que les forces anti-divines ont juré de faire le plus de dégâts possibles avant de disparaître ou de se convertir . On peut voir ces dégâts partout, même sur nos enfants et nos adolescents pris dans l’engrenage .
    Mais je rejoins Louisetta dans manière de voir les choses : parallèlement, si on observe bien, on peut voir tous les jours des consciences s’éveiller, des coeurs s’ouvrir, des bonnes initiatives se réaliser, de bonnes intentions fleurir …
    Stéphanie, je ne m’inquiète pas trop pour la Terre car elle a une extraordinaire capacité de se régénérer . Si quelqu’un doit disparaître, ce seront les humains ! La Nature, elle, survivra toujours . La Terre-Mère est le Dieu Féminin . Or Dieu est tout puissant . Le féminin de l’être, après des millénaires « d’enfouissement », commence tout juste à pointer le bout de son nez . On n’imagine même pas de quoi il est capable ! Quand il se révélera pleinement au grand jour, quand on n’aura plus peur de lui, on comprendra ce qu’on a gaspillé depuis si longtemps ! Tout au fond des cellules, les hommes ont la peur, le dégoût et le mépris de leur propre féminin et des femmes ; les femmes ont la peur, le dégoût et le mépris de leur propre masculin et des hommes . Il y a des archétypes tenaces, si bien ancrés dans l’inconscient qu’on ne peut même pas y croire si nous le dit . Dans la vie de tous les jours, cela se manifeste par le musèlement des femmes pour certains jusqu’à une espèce de condescendance plus ou moins ironique . Mais à l’origine, c’est la même chose .
    Stéphanie, l’heure est venue pour le féminin de ne plus être l’image de la victime et pour le masculin de ne plus être l’image du bourreau . Ils ont ensemble une oeuvre à réaliser, une nouvelle Création . Le féminin recèle le secret de l’âme, le masculin est l’esprit qui doit lui donner toute sa force en le reconnaissant, en le révélant, en le vénérant, non plus en cherchant à le voler pour le posséder . Le secret de l’âme, c’est l’intuition juste, le lien direct avec la Source . C’est ce que nous avons tous et toutes en nous . Les uns avec plus ou moins de facilité que les autres …
    Jonas, je comprends ton combat . Ce n’est pas facile pour toi . S’il nous reste deux mois (je n’en sais rien), ce n’est pas par hasard . Il n’y a jamais un seul jour inutile dans l’économie de l’univers . Attendre, c’est reculer . Je pense qu’il est plus que jamais nécessaire de rester vigilants, mais sans émotivité, et confiants en la victoire finale . Je sens qu’il nous est demandé une plus grande fermeté dans notre foi, une plus grande stabilité dans nos émotions, une plus grande neutralité dans nos pensées, une plus grande lucidité dans notre observation de nous-mêmes et du monde .
    Je ne me préoccupe pas des noirceurs ni des lumières, pas même de l’Amour car je sais que celui-ci, le vrai, viendra en son temps, automatiquement . La seule chose qui est le seul but de ma vie est la recherche Vérité . Ne rien fuir, ne rien contourner, ne rien éluder, ne se laisser impressionner par aucun mirage, destabiliser par aucune tempête, garder le cap (maintenir l’avion, comme dit Alain), en un mot : rester centré en permanence . Et qui dit centré, dit concentré . Garder une certitude inébranlable, une certitude que rien ni personne ne peut attaquer ni même entacher .
    On parle de dualité, d’ombre et de lumière qui doivent fusionner . Mais elles sont déjà mélangées ! Les ombres contiennent des lumières ici et là . Les lumières contiennent des ombres . Des gens cupides et égoïstes ont des éclairs d’humanité . Des gens bons et généreux ont aussi des pensées mesquines . C’est pourquoi nous nous sentons parfois confus, alors nous préférons rejeter ce monde en bloc . Mais il s’agit d’exercer notre capacité de discrimination .
    C’est la Lumière divine qui, au final, absorbera ce qui doit disparaître et gardera ce qui peut rester . Pour moi, il n’y a pas d’ancien monde, il n’y a que du tri à faire . je n’ai aucune raison de rejeter, Jésus, Socrate, Van Gogh, Mozart, mon armoire en bois, mes livres … Ce qu’il adviendra de l’argent, c’est nous qui le déciderons, en accord avec notre intuition de vérité .
    Nous avons créé ce monde depuis ses origines . Ce monde est donc notre enfant . Nous avons fait de belles choses et aussi d’horribles énormités . Pourquoi sommes-nous devenus victimes de ce monde ? Pourquoi ce sentiment d’impuissance ? Nous SOMMES les créateurs . Pourquoi avons-nous cédé notre rôle, notre place à d’autres plus incompétents ? Pourquoi nous laisser mener comme si nous n’y pouvions rien ? Pourquoi attendre et attendre encore ? Ca fait des centaines d’années que nous avons lâché les rênes ! On nous demande de reprendre le contrôle, et qu’est-ce qu’on fait ? On attend ! On attend quoi ? On s’attend soi-même ? On attend d’avoir le déclic ? Le miracle, c’est nous, personne d’autre . Le 21 décembre, c’est nous, personne d’autre . Si on reste dans l’hésitation et le doute, ça sera le 21 décembre 2060, avec un peu de chance … Tout ce qui nous est demandé est la foi, la conviction, la certitude que ce qui doit être sera. Etre prêts à tous les possibles, dans la sérénité et la paix du coeur .

    • Stéphanie dit :

      Merci Marie Christine pour tes paroles pleines de sagesse et de justesse, elles résonnent profondément en moi. Merci de tout cœur pour cette clarté impeccable que tu nous offres avec autant de générosité … Tu es une très belle lumière que brille dans la nuit …

      • pierrot dit :

        Tu remarqueras qu’il faut qu’il y ait la nuit pour que la lumière brille

        • marie christine dit :

          Justement, Pierrot (et François), cette histoire d’ombre et de lumière me laisse toujours perplexe …
          On oppose souvent les deux comme si elles étaient à égalité, à l’horizontale . Moi je les vois à la verticale : l’ombre en bas, la lumière en haut parce qu’à un niveau de conscience beaucoup plus élevé .
          Je pense que la lumière EST de toute éternité et que, par définition, elle n’a donc n’a pas besoin de l’ombre pour exister .
          En fait, la lumière est partout : c’est la conscience éclairée .
          Mais comme nous avons encore une grande part d’inconscience, nous devons plonger dedans pour la rendre de plus en plus consciente . Et ces plongées sont souvent terriblement douloureuses, mais comme tu dis, il faut y aller avec amour et prière .
          Jusqu’au jour où il n’y aura plus rien à éclairer car il n’y aura plus d’ombre .
          Il n’y aura que lumière . Et elle brillera de tout son éclat .
          Donc, la lumière peut parfaitement briller sans la nuit !!!

          • Stéphanie dit :

            Formidable Marie Christine tes deux dernières phrases :

            « Il n’y aura que lumière. Et elle brillera de tout son éclat.
            Donc la lumière peut parfaitement briller sans la nuit !!! »

            C’est exactement ce que je pressens moi aussi, même si Pierrot a raison que dire que pour l’instant ici la Lumière n’existe pas sans l’ombre.

          • François dit :

            Bonjour Marie-Christine et merci.
            Je n’ai pas d’attente que l’ombre devienne lumière ou inversement.J’accepte les deux par défaut de choix car je suis bien incapable de les définir. 🙂 Alors à quoi bon savoir si c’est en haut , en bas ou tout mélangé ? C’est et puis c’est tout !
            Je tâche à essayer de vivre simplement ma vie d’homme qui souhaite avancer vers cette inconnue qui fait peur mais qu’une voix ou voie aussi d’ailleurs, m’invite à accueillir en me faisant pré-sentir très amoureusement que c’est le plus cadeau que je peux me faire. Alors une main sur le cœur et l’autre au fond du calfute j’y vais à mon rythme. Et quand l’expérience se présente càd souvent j’essaie à ce moment là de sentir qui je suis dans cette situation et quel sont mes choix surtout « est ce que je suis heureux de vivre ce que je vis maintenant ou pas? »
            Je t’embrasse

          • Cent Nom dit :

            Justement Marie Christine, je me détache de plus en plus du terme « Lumière ».
            Je vois plus la Lumière comme étant fondement et je dirai Céleste(Ciel) pour remplacer ladite « Lumière ».
            Parce que je trouve qu’il y a trop souvent un jeu de lumière avec l’ombre et que c’est perturbant.

            Je comprends néanmoins ton explication et je la rapprocherait plus d’une élévation spirituelle.
            Qui au plus s’élève en vibration au plus se détache de la dualité qui permet justement ce jeu d’ombre et de lumière. c’est pour la partie verticale.
            L’augmentation vibratoire est tout à fait différentes des énergies qui anime cette évolution.

            Pour la partie horizontale c’est toujours ce fameux bien(lumière) et mal(noirceur) qui se font face, qui disparaissent justement quand l’être augmente vibratoirement.

            Je t’embrasse
            Porte toi bien

          • pierrot dit :

            Juste une petite question Marie-Christine,
            a-t-on avis le soleil brille ou est brillé?

          • pierrot dit :

            je suis toujours bon en orthographe lorsque je me relis.
            Marrante cette tournure a-t-on.
            Parfois j’oublie carrément des mots.

        • Stéphanie dit :

          En effet, merci.

          • marie christine dit :

            Salut François,
            Je crois que finalement la lumière est peut-être quelque chose de tout à fait personnel, en tout cas la manière d’y arriver . Certains ont surtout besoin de ressentir l’amour en soi et envers les autres . Certains ont surtout besoin de se comprendre et de comprendre les autres . Ne serait-ce pas juste des chemins différents qui ont une même origine et un même but : on a besoin d’aimer l’autre parce qu’on veut le comprendre, et on a besoin de comprendre l’autre parce qu’on veut l’aimer . Et je crois que c’est ce que nous essayons de faire sur ce site en « ramant » depuis des mois : expliquer chacun sa manière d’aborder les choses . Et plus ça va, plus on sent des points communs, plus on s’aime et plus on se comprend parce que l’espace entre nous tous se réduit au fur et à mesure qu’on se rapproche du but .
            Oh, oh, Pierrot, tu me poses une colle ! Je ne suis pas encore assez évoluée pour y répondre . Je crois que c’est une chose qui a déjà été expliquée (en physique quantique, peut-être, non ?) . Mais tant que je n’en ai pas eu l’expérience …
            Cent Nom, c’est tout à fait ce que je voulais dire .
            Il y a un bien et un mal dans le monde ordinaire . Ce qu’on pourrait qualifier de moral et d’immoral . C’est bien d’aider, de faire la charité, d’être poli, gentil, etc … C’est mal de tuer, d’agresser, d’insulter, de voler … Alors le monde se débat sans cesse entre ces deux polarités . On se blesse, on ne se comprend pas … Ce sont les petites ombres et les petites lumières de la vie de tous les jours …
            Et puis il y a LA LUMIERE …

    • graffitique dit :

      Bonjour,
      Je suis bien d’accord avec cela. Et corrélativement avec le message de Louisetta qui suit.

    • Cent Nom dit :

      Wow C’est beau, quel beau moment de conviction Marie Christine.
      Je suis de tout cœur avec toi.
      Tout ce que tu dis, c’est tout ce que je pense.
      J’utilise d’autres mots, mais tu l’exprimes tellement bien.
      Merci à toi.
      C’est un moment rayonnant que tu nous offres.

      Porte toi bien

    • Jonas 27 dit :

      Merci Marie- christine pour ce merveilleux texte qui porte pour moi la nouvelle énergie .Je trouve syncro le discours que tu tien et le nom que tu porte (marie(la mère) et (Christ)ine le fils.

    • pierrot dit :

      J’ai bien aimé que tu mettes en relation le masculin et le féminin. C’est pour cela qu’il faut dépasser le clivage sexuel et parler des valeurs féminines et des valeurs masculines.
      J’ajouterais, ne pas combattre et aimer aimer aimer.
      Et si on y arrive pas et bien s’aimer s’aimer s’aimer.
      Et si on y arrive pas et bien demander de l’aide et prier prier prier.
      Et la clef est dans le pardon.

    • Pascale dit :

      merci Marie christine pour ce beau témoignage,à vouloir trop bien faire, nous nous éloignons de la vérité, seul le centre est important.

  19. Pascale dit :

    Passeur, merci pour votre façon de disséquer la situation dans laquelle nous nous trouvons actuellement, de mettre des mots justes sur ce que nous vivons , en revanche à la lecture des commentaires je me sens mal à l’aise , tout le monde dit avoir compris à peu près l’attitude qu’il nous faut adopter , mais combien l’appliquent dans le quotidien! car c’est là que tout se joue,  » je veux bien que le changement vienne me cueillir,mais ne me demandez pas de LACHER MES ACQUIS!!!!! ils sont à moi, or nous devons y aller avec comme seul bagage l’humilité et ça beaucoup ne savent pas ce que ça représente comme investissement.
    encore merci

    • Salvia dit :

      Pascale,
      est-ce que tu connais la vie de ceux qui écrivent des commentaires? … 🙂

    • Marie-Anne dit :

      Bonjour, Pascale,
      Je suis d’accord avec toi: comprendre est une chose, mais l’appliquer en est une autre!
      Mais lorsque tu dis « Ne me demandez pas de lâcher mes acquis!!!!! », de quels acquis parles-tu?
      – Si tu parles des acquis matériels ou professionnels, il ne nous est pas demandé de lâcher, le plus vite possible nos maisons, nos voitures, notre télévision, nos divers biens matériels ni notre métier, mais :
      D’abord, de ne pas les surinvestir (ex. de surinvestissement: « je ne peux pas vivre sans mon portable; j’ai besoin des derniers bijoux high tech ou de ma BM(W) pour sentir ou prouver ma valeur; en dehors de mon métier d’avocate-médecin-professeur-gérante-…, je ne suis rien, etc… »);
      Ensuite, il nous est recommandé de ne pas nous accrocher – avec nostalgie ou avec la peur de manquer, à tous nos biens matériels ou à notre métier, le jour où ceux-ci ne seront plus du tout nécessaires-bien au contraire (tu imagines un jeune adulte qui refuserait de lâcher son vieux hochet de bébé au cas où, et qui refuserait de s’intéresser à autre chose?);
      Il nous est aussi conseillé d’être prêts à remettre en question nos acquis professionnels et nos connaissances variées ( y compris spirituelles et y compris celles qui nous sont suggérées sur ce site, par ex.); et d’être prêts à les réorienter et à les expanser grâce à un discernement plus subtil.
      – Au niveau relationnel: idem: se détacher ne signifie pas « être indifférent » ou « cesser d’aimer(???) », mais au contraire: acquérir assez de recul et d’amour pour comprendre que nous sommes Un et jamais séparés; que chacun de nous, ici(aux environs de la 3D), est une part unique et originale du UN, et que chaque part a son chemin à suivre pour son plus grand bien (et pour celui de tous) et qu’il ne faut pas l’entraver ,et , enfin, que nous pourrons, si nous le désirons, nous retrouver sur d’autres niveaux, dans d’autres dimensions!
      – Si tu nous parles, Pascale, de tes acquis spirituels, alors là, je suis tout à fait d’accord avec toi.
      Les sagesses, la nouvelle conscience, et les nouveaux points de vue que nous avons acquis, grâce à notre passage dans la Matière, sont imprimés en notre Âme, et rien ni personne ne nous demande de les  » lâcher ».
      Bien au contraire: nous sommes venus surtout pour cela: retirer « la substantifique moëlle » de l’expérience de la matière, pour expanser la Création, et grandir nous-mêmes par la même occasion.
      Nous n’allons rien perdre, Pascale, mais tout gagner !
      Très amicalement

      • alain thomas dit :

        Bonjour Marie-Anne,

        Quand tu dis :
        « Ensuite, il nous est recommandé de ne pas nous accrocher »
        ou bien :
        « Il nous est aussi conseillé »

        De qui veux-tu parler s’il te plaît ?

        • Marie-Anne dit :

          Bonjour, Alain Thomas,
          J’étais sûre qu’on me poserait cette question! 🙂
          J’ai utilisé exprès un impersonnel, car « ce qui nous recommande, nous conseille, nous invite à, etc… », dans mon commentaire, c’est « ce » qui « parle » à mon Coeur et qui est traduit de son mieux par mon mental.
          C’est « Ce » qui m’incite- mais seulement si je suis d’accord et si cela résonne juste en moi – à transmettre ce que je ressens profondément; à inspirer ou , éventuellement, à aider qui le veut; à donner ce que j’ai reçu de façon très variée ( y compris, « simplement » en vivant; y compris par les échanges ici, avec vous et avec Le Passeur);…
          C’est « Ce » que j’appelle « Dieu Que Je Suis en Moi » ( et Que Nous Sommes tous).
          Je n’oblige, bien sûr, personne à me croire ( et je le dis régulièrement ) – d’ailleurs, il ne manquerait plus que ça!
          A chacun de prendre ce qui résonne en lui, en restant conscient que, ce que je dis, passe par le filtre de ma propre personnalité qui, malgré tous mes efforts de neutralité, teinte mon ressenti et la façon que j’ai de l’exprimer.
          J’aimerais ajouter que ce n’est pas parce que je sais ou que je sens tout ce que je vous ai exprimé, que je l’applique nécessairement bien ou très facilement!
          Je fais de mon mieux et j’ouvre ma conscience de plus en plus , même si je ressens les mêmes peurs, doutes, énervements ou lassitudes que toi (probablement), Alain Thomas (mais il est vrai que je ne les appréhende plus de la même façon qu’avant, et que je les ressens moins souvent qu’avant -entre autres)
          En tout cas, cela n’empêche pas qu’il y a quelque chose de définitif qui m’anime (et que j’aime partager avec qui le veut): la détermination à suivre mon Coeur, quelles soient les « bêtises » que je fais ou les trébuchements que je connais encore;
          J’aime et je le sais.
          J’espère que j’ai suffisamment répondu à tes interrogations , Alain Thomas.
          Très amicalement à tous, et dans la Joie du Coeur, M-A

          • pierrot dit :

            Tu aurais pu dire soi a conseillé … =)

          • Marie-Anne dit :

            Oui, Pierrot, j’aurais pu 🙂 , mais je pense qu’on m’aurait de toute façon demandé ce que j’entendais par là ( et c’aurait été aussi très bien, merci, Alain Thomas)!

          • alain thomas dit :

            La dualité est en nous, naturellement.
            Elle est inversement paradoxale avec notre vraie nature lorsque nous excluons le mental dans un instant donné.
            Il ne nous est rien demandé, juste vivre et être.
            Si nous acceptons le principe que nous n’existons pas et que nous sommes « rien », alors tout devient possible. C’est le point de départ de la créativité et de la co-créativité.
            Nous sautons dans le vide à chaque situation. Nous entrons dans le Nouveau.
            Si nous sommes armés de l’UNIQUE CERTITUDE, nous pouvons nous lancer après avoir cesser de chercher.
            Le mental se meurt, la mémoire aussi.
            Il reste la joie, l’émerveillement, l’amour pour tout ce qui est et se vit.
            Les pensées négatives résiduelles se dissolvent dans la nature de l’esprit, il n’y a plus d’auto-jugement, tout est accueilli avec bienveillance.
            L’autre prend toute la place, il devient notre mission naturelle, celle pour laquelle nous sommes investis.
            Tout est alors possible parce que nous sommes devenus libres, nous avons dénoué les liens, les noeuds, nous acceptons la souffrance quand elle émerge, même si elle n’est pas nécessaire.
            Les événements quels qu’ils soient sont les bienvenus parce que ce sont eux qui nous délivrent de nos vieux vêtements et nous permettent de sauter nus dans l’Inconnu.
            Les karmas se dissolvent, les peurs résiduelles s’obstinent, nous n’y pouvons rien, il suffit de s’en remettre à l’UNIQUE CERTITUDE.

            L’énorme chance que nous avons en participant à ce jeu est sa forme spiralaire. Depuis le big bang, l’Univers ne cesse de progresser dans le désordre. Sa construction nécessite une suite ininterrompue de nouvelles pensées transformatrices.
            Personne ne sait comment ce monde évolue sinon qu’il évolue sans cesse.
            Il n’existe aucune entité créatrice qui soit indépendante.
            Nous sommes partie d’un Tout qui n’est qu’Amour et Lumière et pour lequel chacun tient sa place et sa mission.
            Il n’y a rien à attendre de cette période particulièrement charnière de notre Humanité sinon cette formidable opportunité de co-création.
            Celui qui pense que quelque chose d’exceptionnel va survenir n’a aucune preuve à donner sinon sa propre expérience de vie qu’il ne peut en aucun cas imposer.
            Il y a autant de rêves que d’individus, autant de vérités que de contre-vérités.
            Tous les doutes sont permis si nous possédons l’UNIQUE CERTITUDE.

            Bien à toi Marie-Anne

      • Salvia dit :

        Marie-Anne et Pascale,
        je préciserais qu’avant de pouvoir appliquer il faut comprendre, et le chemin entre les deux peut être long.
        Et si justement il n’y avait plus rien à comprendre, ou à vouloir comprendre? On en revient toujours à la même chose: ETRE, simplement ETRE.

        • Marie-Anne dit :

          Oui, Salvia, je suis d’accord,
          mais la plupart d’entre-nous doit souvent d’abord passer par un questionnement qui est un début de prise de conscience; puis par une recherche de réponses; puis par la compréhension que les réponses sont essentiellement à l’intérieur de soi( même si l’extérieur peut servir de déclic); puis par le désir d’appliquer au quotidien ce que l’on a compris( tout en restant gentiment vigilant car les vieilles habitudes ont « la peau » dure); pour enfin saisir ,tout naturellement, qu’il n’y a rien d’autre à « faire » que d’être!
          Rares sont ceux qui ont cette sagesse d’emblée .
          Mais merci de nous rappeler « d’Être, simplement d’Être »!
          Avec toute mon amitié

          • Salvia dit :

            Marie-Anne,
            entièrement d’accord avec toi.
            Tu dis « Rares sont ceux qui ont cette sagesse d’emblée . » Cela me paraît évident, puisque nous nous sommes incarnés dans la densité et que nous allons vers la Lumière. Dans mon propos il n’y avait aucun jugement, seulement un constat. Je vais chaque jour à l’école pour apprendre à seulement Etre, et de temps en temps j’y arrive un petit peu… Mais, comme nous tous, je suis là pour apprendre, pas vrai? ♥
            … pour le ♥ j’avais le même problème que toi! En fait il suffit d’en faire un « copié-collé » d’un autre commentaire ♥♥♥

        • elba dit :

          « L’autre prend toute la place, il devient notre mission naturelle, celle pour laquelle nous sommes investis. »

          Comme j’aime cette phrase de ton commentaire, Alain ! Même si tout le reste est également très pertinent.
          Merci ♥

      • François dit :

        Merci de tout cœur Marie-Anne, je suis heureux que tu commentes , saches que j’apprends beaucoup de toi.♥

        • Marie-Anne dit :

          Merci de tout coeur à toi aussi, François!
          Toi aussi , tu m’apportes beaucoup, encore merci (là, je t’envoie un dessin de petit coeur, mais je ne sais pas comment on fait ! 🙂 )
          Je t’embrasse

      • Pascale dit :

        merci Marie Anne d’avoir pris la peine de répondre à mon post, oui effectivement je ne parle pas d’acquis matériels mais de ce que nous croyons détenir comme étant des vérités, nos vérités, intellectuelles,dogmatiques etc…. de tout cela nous devons nous dévêtir et ce n’est pas une chose facile, cela demande attention,vigilance et discernement.
        belle journée à toi

      • Marie-Anne dit :

        Ps: Pascale, je me rends compte que tu connais la nécessité de lâcher nos acquis et que tu déplores que beaucoup le disent, mais que peu soient prêts , en réalité, à le faire.
        Enormément de gens dans mon entourage ne comprennent même pas pourquoi ils devraient lâcher ce qu’ils ont si durement acquis.
        J’ai profité de ton commentaire pour leur répondre car le « Ne me demandez pas de lâcher mes acquis » est un leitmotiv que j’entends trop.
        Ne prend donc pas ma réponse pour toi, mais pour eux( et pour moi), catalysée par toi; car de toute façon, je voulais en parler, que ce soit suite à ton commentaire ou pas.
        Amicalement, M-A

        • elba dit :

          Coucou, Marie-Anne,

          Je n’ai pas encore lu tous les commentaires, mais le tien me fait « tilt » à propos des ‘acquis’ :
          sachons tous que rien n’est jamais acquis en cette vie terrestre. Et sachons aussi remercier la vie pour ce qu’elle nous donne provisoirement.
          Les personnes qui ont des difficultés à lâcher ‘leurs acquis’ le feront un jour si la vie les y oblige. Parfois, celle-ci nous donne de très bonnes leçon d’humilité et de relativité. Certaines choses nous arrivent à point, que nous nommons parfois des « embûches » (maladies, séparations, revirements de situation professionnelle…) et ce sont elles qui nous font réfléchir, la plupart du temps.

          Alors ne demandons rien aux autres : tout se fera en temps voulu pour eux. N’est-ce-pas ? Chacun d’entre nous évolue à son rythme, et nous ne pouvons que laissser faire.
          Bisou pour toi. ♥

          • Marie-Anne dit :

            Tout à fait en accord avec toi, Elba!
            Tu verras que les autres commentaires sur le sujet( ceux de Pascale, Salvia, Alain Thomas,…) sur le sujet sont très intéressants.
            A bientôt!
            (J’aimerais t’envoyer un petit coeur aussi, mais malgré les explications de François, je n’y arrive pas! Je vais essayer le « truc » de Salvia(que j’embrasse au passage); mais là aussi , je dois apprendre à maîtriser la technique du « copier/coller!
            Reçois donc, en attendant un petit coeur via ton 3ème oeil !
            Je t’embrasse

    • Cent Nom dit :

      Salvia a raison Pascale.
      Surtout que personne ne demande à ce que tu lâches quoi que ce soit.
      Au départ on pensait qu’il ne fallait pas être riche, on s’est mis le doigt dans l’œil.
      Ce n’est pas de cette richesse dont parlait les écritures.
      Il est demandé de prendre tellement de recul que les choses ne peuvent plus nous atteindre et réclamer un jugement de notre part. C’est tout.
      Tant que toi tu sais ce que représente l’humilité comme investissement alors tu dois savoir aussi comme c’est rentable.Non?
      De plus la réponse que tu as trouvé sert l’humanité toute entière.
      Donc merci des réponses que tu as trouvé.
      Bon courage dans ta détermination à aller au delà.

      Porte toi bien

    • Soleil Bleu dit :

      Bonjour Pascale,

      Je pense que les « acquis » ne concernent, hélas ou heureusement, pas forcément les biens matériels, et que chacun a le droit, car le choix, d’assumer les attachements qui sont les siens. C’est sans doute moins la nature des acquis eux-mêmes qui sont à regarder et à évaluer, que l’attachement qu’on leur porte et qui tendent à nous maintenir dans une direction sans laisser la possibilité à la vie de s’exprimer dans toute sa créativité.

      Mais prudence ! ou plutôt sachons rire de soi-même au travers de ce que l’on observe chez l’autre, car cet enfermement concerne également et sans distinction certaines valeurs portées aux nues en cette période, valeurs délestées de leur essence et assénées tel un joug qui ne fait au final qu’en remplacer un autre .
      Et l’humilité, eh oui, fait partie du lot, en ce sens que lorsqu’elle est véritablement vécue, lorsqu’on parvient à « Etre » et non plus penser cette humilité, il n’est plus possible d’en évaluer la présence ou pas chez les autres. Son principe exprimé en Soi fait qu’elle s’annihile tout simplement.
      La rechercher est donc vain, nous ne pouvons l’appréhender que lorsqu’elle est là et goûtons ainsi son parfum qui émeut au plus profond de Soi.

      Il me semble que nous percevons cette humilité, salvatrice de nos maux, à l’instant même où nous ne ressentons plus d’inconfort à accepter les autres dans toutes leurs dimensions, lorsque le « vouloir » quoi que ce soit de l’égo, cède la place à « l’acceptation » reconnaissante de l’Âme pour l’expression de ce qui Est.
      Là ! à cet endroit, il me semble que le mot « Amour » commence à prendre ses véritables couleurs et nous laisse entrevoir nos plus belles dimensions.

      Je n’en ai pour ma part vécu que des instants, mais leur saveur apaisante et confiante ne peut se confondre avec celle de quelque obligation ou exigence que ce soit, aussi « spirituel » que puisse « paraître » le but recherché.

      Je te souhaite une belle nuit Pascale.
      Amitié
      S.B

      • elba dit :

        Mince alors ! Soleil bleu, j’aurais mieux fait de lire ton commentaire avant de poster le mien il y a quelques minutes 🙂 : tu dis encore mieux que moi ce que je pense.
        Ah, que j’aime vous lire tous et toutes ! 🙂 ♥

        • Soleil Bleu dit :

          Toi aussi Elba tu le dis mieux que moi, car tes mots laissent une empreinte de sincérité confiante et bienveillante dans laquelle se reflête toute l’authenticité et la générosité de Qui tu Es ♥
          Merci à toi d’être ce rayon de lune (c’est dans, et grace à, l’obscurité de la nuit que sa lumière est si précieuse)
          S.B

        • Marie-Anne dit :

          Oui, Elba, d’accord avec toi: moi non plus, je n’avais pas lu les commentaires de Soleil Bleu et de Cent Nom, sinon je te les aurais chaudement recommandés, eux-aussi!
          Merci à eux et amitiés à tous

          • Marie-Anne dit :

            Elba, je suis d’accord avec toi quant au fait que les commentaires ci-dessus sont très intéressants, mais je comprends le tiens dedans.
            Je t’embrasse à nouveau

          • Soleil Bleu dit :

            Et une étreinte fraternelle (je sais pas comment on fait mais j’ai dû en garder la mémoire quelque part puisque ça m’est soufflé) pour ta belle Âme Marie-anne.
            Avec ma re-connaissance de Qui je suis à travers Qui tu es.
            S.B

  20. Nada dit :

    Ne nous mentons pas, car quelque part si nous nous sommes retrouvés dans les univers de la culture « spirituelle », c’est bien pour réaliser un autre monde. Et selon des propos divers de le vivre dans cette vie.
    « I have a dream », »Yes, we can », Liberté Egalité Fraternité, par exemples, sont des mots que nous voudrions réaliser…maintenant. Encouragés par tous les channels. Par l’impatience des dates, dont 2012.
    Cette impatience existe donc.
    Et, cette patience également. Pouvons pas faire autrement!

    JE DIS: »Faisons comme LE renard avec LE petit prince. Apprivoisons la nouvelle terre, le nouveau monde, les nouvelles relations. Un peu, chaque jour, rapprochons-nous d’elles. »

    Ce navire, ce train selon d’autres est à quai. J’oubliais, pour certains…la flotte galactique.

    Mais, croyez-vous que le navire puisse réellement quitter le quai, tant que les passagers montés à bord sont même à 0,99% attirés par la vieille terre?
    C’est-à-dire, par les relations karmiques et dharmiques.
    Je ne parle pas des personnes, je signifie les relations duelles avec elles.
    Tantôt, une relation très avancée sur la route, perdue de vue, s’était de nouveau manifestée. Elle m’a dit, étonnée car certaine de ne vivre maintenant que des relations d’amour: »Donc, le fil n’est pas coupé! »

    Ces fils ne peuvent jamais être coupés, puisque « les autres ne sont pas ailleurs qu’en moi-même. »
    Par contre, ce qui peut être neutralisé de fait est la relation duelle à 100% du temps incarné.
    Cette fameuse polarité yin yang, estimée inexistante chez un maître!
    Qu’est-ce qu’un maître, si ce n’est exister sans relations duelles, si ce n’est exister en relation du parfait amour?
    Ce qui définirait, en moi, le nouveau monde de l’incarnation terrestre. Cette ère du verseau.

    Pour info.
    Le film sur le secret de l’eau ( site nous-les-dieux): un scientifique affirme que la teneur en eau de la femme est plus importante que chez l’homme, du fait du besoin en eau du foetus. Cf, les problèmes de rétention d’eau chez les femmes.

    J’en conclus que c’est la femme qui révélera le mystère de la polarité yin yang, car expérimentant l’eau ( source de la vie sur terre) plus intensément.

    Sorya des Pleïades parlait de l’interdiction à l’humain de manipuler la molécule de l’eau.

    Le navire quittera le quai avec les êtres prêts à devenir des maîtres ( homme & femme ), et revenir pour emmener les suivants.

  21. marie christine dit :

    Où ai-je vu qu’il s’agissait d’un texte d’Alain ? Confusion …
    Je suis d’accord avec toi, Passeur : surtout pas d’impatience . L’impatience empêche d’être attentif à ce qui se passe . On a certainement encore des choses à vivre … D’ailleurs on a toujours des choses à vivre ! Ne serait-ce qu’une période de « vidage de sac », comme un ballon de baudruche rempli de mémoires qui se dégonflerait lentement, progressivement, à son rythme …

  22. Frederique dit :

    Merci à toi Le Passeur pour toutes ces belles connexions et ces partages. Merci à vous autres de vos témoignages.
    Un texte que j’ai écrit il y quelques décennies et envie de le partager avec vous

    On sait que la vie est un éternel changement
    Et ses phases de transition
    Ressemblent aux 4 saisons
    Pour mieux atteindre notre firmament

    L’été est le cycle de la plénitude
    L’automne celle de la lassitude
    Quant à l’hiver on pratique l’introspection
    Pour qu’au printemps on pratique l’exploration

    Ne regardons plus notre vie dans le rétroviseur
    Notre destin nous appartient, soyons créateur
    Le passé est déjà aboli et nos lendemains sont pleins d’espoirs
    Ils se présentent à nous, remplis de messages de pouvoir

    Visualiser notre chemin de vie, nous y verrons un arc-en-ciel
    Colorer de mille teintes
    Qui nous projettent plein d’images peintes
    A qui c’est construire sa destinée connaîtra l’existentiel

    Ainsi nous pourrons écrire nos chapitres de vie
    Dans le plus grand plaisir d’avoir mener sa vie

    Bonne plume et belles transformations

  23. Louisetta dit :

    Chers tous,

    Je m’aperçois en lisant certains commentaires, à la fois étonnants d’humilité et épuisants par l’inquiétude mentale qui s’en dégage, que beaucoup se demandent comment tout va se dérouler exactement. Je me rends compte de la grande chance d’avoir une nature profondément confiante, légère et enfantine dans l’accueil.

    Ni moi même ni personne ne pouvons concevoir l’ampleur du renouveau actuel. Cette réaction à se poser mille questions revient a entrer dans un immense parc dont ne nous ne pouvons imaginer la taille et la variété de plantes et de merveilles luxuriantes, et, à peine à ses portes, de chercher à en savoir tout.

    Et si nous nous promenions un peu, tranquillement, au rythme de nos guérisons, de nos rêves nouveaux et de nos aspirations profondes…?

    Je vous avoue sans honte et sans regrets, chers lecteurs de ce site, qu’au delà de toute dépendance profonde, et même lorsque les fils égotiques les plus encombrants se détachent:
    Je suis profondément amoureuse de ces liens d’âmes qui se créent au fil des vies et dans la mienne actuelle, peu importe le degrés d’éveil de ceux qui me touchent!

    Je suis amoureuse des vielles battisses sur cette terre, qui expriment dans un art élégant et noble ce que l’humanité a offert de plus somptueux.

    Je suis amoureuse de ces situations dans lesquelles je redécouvre des lumineux et intelligents derrières des gens de ma famille ou de mon quotidien que j’avais confortablement et présomptueusement étiqueté comme « non spirituel »!

    Je suis amoureuse de tout ce que le corps humain peut créer en beauté dans la danse, le chant ou dans toute autre expression de soi.

    Et peu m’importe dans quelle dimension ces éléments se situent! C’est leur esprit que j’aime et qui me portent au delà des diverses fréquences.

    Et vous? Qu’est-ce qui vous anime particulièrement?

    Je vous en prie, si questions il y a en nous, qu’elles soient de cet ordre créatif!

    Aimons avec la chaleur du cœur, avec l’affection de l’ego, avec la poésie du mental, avec l’entièreté du divin, et avec toutes les formes possibles et diverses de l’amour,
    le nouveau, l’ancien, autant que l’à-venir…

  24. jeanne dit :

    merci pour ce tres beau texte qui resonne et dans lequel je retrouve les memes mots que j’utilise; c’est « troublant ». En meme temps une lassitude de cette « dualité » du monde et le pressentiment d’un moment de « bascule » imminent..que toutes les epreuves vecues et integrées ont préparé ….depuis si longtemps!!

  25. mesnet dit :

    Nous sommes déjà dans cet autre monde.

    Je lisais ceci « la planète a déjà atteint son niveau, votre boulot est terminé. Nous savons maintenant qu’être spirituel se manifeste tout naturellement à chaque instant ».
    Et puis l’auteur parle de tenir « boutique », c’est à dire une guidance à l’autre, un « lieu » à la lisière des deux mondes, seul contact que nous ayons encore avec la 3D.
    Ce que « je » suis aujourd’hui ne « fait » plus rien, n’a même plus aucun désir de création. Il y a Création. La Création EST. Le désir est signe de manque, rien ne peut être crée à partir du manque. Nous créons déjà. Avec des limites certes, j’en parle plus bas, mais nous créons.
    Et ma « boutique », seul « lieu » encore lié au vieux monde attire mes frères. Ils me demandent juste la direction du quai de façon à embarquer.
    Je ne sais comment c’est possible et ce qui arrive ne ressemble en rien à ce que j’avais imaginé. Je ne comprends pas, je n’explique rien, mais tout est pareil et pourtant tout est tellement different !
    Comme le dit l’auteur dont je parle (Karen, je crois), lorsque nous vivons cela, tous les lieux que nous côtoyons ont de hautes fréquences ainsi que tous les êtres.
    En prenant ce navire si bellement exprimé ici, je me suis aperçu qu’il ne me menait nul part, juste là ou tout est pareil mais tellement different….
    C’est une paix absolue, un abandon total et la vie se dessine autour de cela.
    Je terminerais pas une belle expérience, une aide donnée par ceux de l’autre côté.
    Fermant les yeux, acceptant la mort du « moi », demandant à ce que « JE » soit intégré à l’esprit en tout conscience, j’ai vu l’esprit justement. Une image, pas une réalité…un symbole puisque le symbole est communication divine. L’esprit est donc venu vers moi, impressionnant car n’exprimant aucune émotion humaine, puis il a tourné le dos et est reparti.
    Je ne suis pas tout à fait prête m’a dit ce symbole.
    Et puis d’autres images : deux oiseaux mais comme un dessin informatique, juste deux formes en mouvement. Et là, on m’a dit « crée les oiseaux ». Nous n’étions plus dans le symbole mais réellement dans la création. Et je n’ai pas su. Affolement. Les oiseaux mangeraient-ils ? Et quoi ? Et quel monde mettrais-je autour ?
    Je ne suis pas prête non plus à créer à ce point le nouveau monde….
    Mais cela vient, pour nous tous. Et la co-création sera naturelle.