A la croisée des chemins

Remedios VaroVous aurez remarqué que je publie moins ces derniers temps. Nous sommes dans un sas et dans ce sas nous ne pouvons rien faire de mieux que nous adapter et nous préparer sereinement à l’ouverture de la porte. Je pense avoir déjà passé l’essentiel de ce que j’avais à transmettre quant à cette préparation et je remarque, pour continuer à veiller pour vous de la même manière sur ce qui se dit ailleurs, que tous ceux qui avaient vraiment quelque chose à dire n’ajoutent à présent que quelques détails afin de paufiner le message, là ou d’autres continuent à bercer copieusement l’illusion.

En attendant d’avoir une parole à donner qui me semblera utile, voici un petit conte qui par ces temps ramène à l’essentiel…

Le Passeur.

Mboté à tous,

Il était une fois un vieil homme assis à l’entrée d’une ville du Moyen-Orient.

Un jeune homme s’approcha et lui dit :

– Je ne suis jamais venu ici; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?

Le vieil homme lui répondit par une question :

– Comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ?

– Égoïstes et méchants. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle j’étais bien content de partir, dit le jeune homme.

Le vieillard répondit :

– Tu trouveras les mêmes gens ici.

Un peu plus tard, un autre jeune homme s’approcha et lui posa exactement la même question.

– Je viens d’arriver dans la région; comment sont les gens qui vivent dans cette ville ?

Le vieille homme répondit de même :

– Dis-moi, mon garçon, comment étaient les gens dans la ville d’où tu viens ?

– Ils étaient bons et accueillants, honnêtes; j’y avais de bons amis; j’ai eu beaucoup de mal à la quitter, répondit le jeune homme.

– Tu trouveras les mêmes ici, répondit le vieil homme.

Un marchand qui faisait boire ses chameaux non loin de là avait entendu les deux conversations. Dès que le deuxième jeune homme se fut éloigné, il s’adressa au vieillard sur un ton de reproche :

– Comment peux-tu donner deux réponses complètement différentes à la même question posée par deux personnes ?

– Celui qui ouvre son cœur change aussi son regard sur les autres, répondit le vieillard. Chacun porte son univers dans son cœur.

Un anonyme.

Source originale. Vu sur La Presse Galactique.

Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)

A propos Le Passeur

Nomade sur le chemin...
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213 réponses à A la croisée des chemins

  1. Lunesoleil23 dit :

    Excellent conte que je ne connaissais pas , Je viens de rejoindre la grand famille Urantia Gaïa , Uranus Terra … 🙂

  2. François dit :

    Le sas…..
    ça me donne l’image de ces étudiants qui attendent , fébriles, nerveux, agités de lire leur nom sur la liste des reçus à l’examen. Les peurs, les doutes se réveillent comme toujours lors de ce genre de période. Les questions, incertitudes fusent. Et pourtant…. je, et la plupart d’entre nous sommes fins prêts, c’est une évidence.

    Bien sûr nous connaissons toutes et tous encore quelques remous qui peuvent être déstabilisants, qui peuvent nous faire douter et générer de la peur. C’est sans véritable fondement. Le ‘travail de préparation’ est fait, fini, terminé. Ce qui reste ce ne sont que des ultimes et illusoires résistances de notre ego qui essaie désespérément de nous faire croire que nous sommes encore dans l’ancienne vibration. Nous n’y sommes plus.!
    Mais comme nous (enfin à part celles et ceux qui y sont déjà) ne sommes pas encore de l’autre côté, comme nous n’avons pas encore, pour la plupart, franchi la porte de sortie du sas, c’est un peu le ‘cul entre deux chaise’ qui nous est proposé. C’est, certes, assez inconfortable. Cet inconfort est principalement lié à notre impatience, liée elle-même à nos doutes de savoir si nous sommes prêts. Et comme la réponse est oui, Nous sommes prêts, alors s’inquiéter de quoi finalement?
    Pourquoi ne pas se détendre comme on le fait au cinéma ou devant un spectacle auquel nous allons assister car c’est bien de cela qu’il s’agit. Nous avons la chance inouïe d’assister en live a la déconstruction d’un vieux monde et à la reconstruction d’un nouveau. Quel Cadeau magnifique! Le plus grand spectacle de tous les temps offert à l’humanité. La découverte de son potentiel d’amour, de partage, de joie.
    De mon point de vue, pour qui y a mit un minimum de conscience ces derniers mois ou semaines le passage est en cours. Je pense qu’il n’y avait rien d’autre de demandé par le ‘Ciel’ que notre participation à faire un choix. Le choix d’aller en soi guérir de nos vieilles et douloureuses blessures. Le reste n’est pas de notre domaine et nous n’avons aucune idée de ce qui se passera. C’est l’Ultime et Divine épreuve. Je suis heureux de la vivre. Je vous le souhaite aussi.
    Je ne sais pas si tout le monde passera par le sas ni quand. Et tant mieux parce que franchement je ne serais pas capable de gérer ça. Ce que je sais c’est que ce ‘passage collectif’ est avant tout un passage individuel et là c’est chacun sa destinée et ses choix. Tout est juste.
    Je vous embrasse mes sœurs et frères d’ascension.
    Et le dernier arrivé au quai paie sa tournée…:-) ♥

    • Acacia dit :

      Oh oui, François, je partage absolument ton point de vue ! 🙂
      Ni inquiétude ni doute, à quoi bon ? puisque tout est dans un ordre et un équilibre parfait.
      Rendez-vous au Bar de la Nouvelle Ere, chic !
      Je t’embrasse, je vous embrasse tous ♥♥♥

    • Cécile dit :

      François,
      Un grand merci à toi pour ce texte magnifique. Tu y résumes tout ce dont j’ai l’intuition sans bien savoir le formuler. Et tu me rends confiance, alors que je doute souvent. Merci pour ce beau cadeau en ce début de journée, après cette nuit d’éclipse à la fois si déstabilisante et si transformatrice…
      Je t’embrasse aussi. Et à bientôt, de l’autre côté ? Tchin !

    • pierrot dit :

      Oh non pas ça, pas le dernier je suis plutôt du style pousseur que tireur.
      Mais bon comme tu l’as dit c’est individuel alors je vais retrouver ma bien aimée, la nature. Ça je sais bien faire partir seul en forêt. Et quand la nature est ton guide tu n’as plus besoin de te poser les questions du style est-ce que c’est bien prudent de lui faire confiance … Il n’ y a plus de personne dans ce que tu vois, entend, ressent, et tu te rends compte que tu continues de t’en poser car tout est projection. Et que celui qui se les pose c’est nous-même et que si tu creuses tu te rends compte que le fond est vide et que nous-même est encore une projection et là tu te retrouves sans repère plus rien à quoi te raccrocher.
      Cela m’est arrivé et je n’ai pas su franchir ce seuil, j’étais adolescent à l’époque.
      Mais attention, faut être prudent n’y aller pas seul. Je taquine désolé.

    • Marie-Anne dit :

      Oh! François, je n’avais pas vu ce commentaire-ci!
      Heureusement que mes amies Acacia et Cécile ont l’Oeil!
      Donc , je peux me joindre à elles pour te remercier pour cette belle synthèse de la situation et pour ce rappel très encourageant!
      Cela m’a (je cherche mon mot) soulevée, oui soulevée, avec reconnaissance et
      re-connaissance lorsque j’ai lu:
      « Je vous embrasse mes soeurs et mes frères d’ascension »!
      Mais oui, c’est vrai, c’est ce que nous sommes (aussi) !
      Alors, regarde bien:
      Nous t’embrassons aussi, notre frère d’ascension !
      (et tous nos autres frères et soeurs aussi, puisque nous ascensionnerons tous un jour ou l’autre! Et le dernier arrivé aura un fabuleux comité d’accueil ! )

  3. Louisetta dit :

    Puisqu’il semblerait que c’est la période des remerciements en cette période ou nous passons une nouvelle porte, je tiens à dire à tous les intervenants que je lis chaque jour, un puissant merci. Merci, car malgré les diverses maladresses de chacun, il se tient ici un véritable dialogue permanent sur les dernières questions du mental, mais de sujets très nobles, dans la recherche de les transcender ensemble.

    Depuis l’enfance, je vis déjà dans une réalité que je souhaite voir éclore du plus profond de moi. En ce moment est une période particulièrement éprouvante, car en plus de me confronter comme tous à mon manque d’amour basé sur l’illusion, je perçois la misère autour de moi, que j’ai toujours contourné avec un optimisme qui a toujours surpris et porté mon entourage, et qui était sans doute nécessaire jusqu’ici.
    Je ne suis absolument pas habituée à regarder certaines choses, mais c’est comme un passage obligé. Et tant de choses alors me répugnent, me touchent ou m’attristent, qu’il me faut beaucoup de temps seule pour retrouver mon énergie propre, m’élever au dessus de cela. Guérir ce que j’ai sentie comme un reflet d’une ancienne blessure, ou bien me détacher avec bienveillance de ce qui est si loin de moi et m’horrifie littéralement.
    Parfois, je quitte littéralement un diner, un repas, une émission, un lieu, pour aller pleurer tout mon saoul et me ressourcer.
    C’est à la fois très libérateur, et en même temps, j’avoue être impatiente de retrouver mon énergie d’innocence, de douceur, de beauté et de grâce qui est chez moi depuis toujours et qui m’a toujours consciemment portée.
    Alors, merci, car vos interventions sur des sujets si nobles m’aident à me retrouver, comme un quai de gare ami ou l’on peut retrouver le train de ses rêves parmi une multitudes d’autres beaux rêves prêts à éclore.

    Et merci à vous, ô lecteurs silencieux qui n’interviennent jamais, mais qui lisent en silence les articles ainsi que tous les commentaires qui suivent. Votre réceptivité est un don en soi.

    Avec toute ma tendresse.

    • Lucie dit :

      Merci Louisetta de penser aux lecteurs silencieux…
      Quand on a rien à dire, on se tait et on écoute.
      D’autres diraient:
      « Ce n’est pas parcequ’on a rien à dire qu’il faut se taire. »

      Avec vous tous, pour le 21 novembre…
      Si Dieu le veut.
      Toutefois, n’oublions pas tous ces êtres qui oeuvrent. Chaque instants de leurs vies, chaque jours de leurs existences est un 21 novembre.

    • Stéphanie dit :

      Bonjour Louisetta,

      Merci pour ce vibrant témoignage, je suis de tout cœur avec toi dans ce passage difficile. Ne crains rien et garde la foi en ce qui vient, car comme tu le dis si justement ton énergie est celle de l’innocence, de la douceur, de la beauté et de la grâce. C’est l’énergie qui arrive … merci d’être ici pour le passage.

      Je t’embrasse tendrement.

    • Marie-Anne dit :

      Courage, Louisetta,
      Nous passons tous par ces « nuits noires »; elles sont, comme tu l’as bien remarqué, un passage obligé: tu as déjà très bien compris ce qui se passait.
      Recentre-toi en ton Coeur et n’oublie pas de voir au-delà de l’illusion ; garde confiance en toi et en tout évènement qui t’atteint et qui porte sa sagesse.
      Je t’embrasse

  4. marie christine dit :

    Un mot en passant … Communique-t-on avec son prochain pour se rassurer ? Quelle drôle d’idée !
    Le but essentiel n’est-il pas de se dépasser soi-même et de se dépasser ensemble dans le coeur et dans la connaissance ?

    • Cent Nom dit :

      Je dirais qu’au début c’est pour nous rassurer.
      Parce que nous n’avons pas l’environnement adéquat dans lequel nous exprimer.
      On voit qu’il y a des gens qui pensent différemment de la ligne conductrice.
      Parce qu’au départ nous sommes faibles et que l’on a besoin de se sentir rassuré.
      Après, normalement on assume ce qu’on pense et on devient de plus en plus fort.
      Et cette force nous sert à aimer l’autre et soi même.
      Dans un même temps, nous touchons du doigt nos limites et nous cherchons à les dépasser. Du coup l’échange qui au départ se voulait rassurant tourne dans le sens du dépassement de soi par les infos que possède l’autre.

      Un parfum agréable m’enivre
      Comme le soleil qui me fait vivre
      dépose en moi cette douce énergie
      qui au delà de moi te sourit

      Porte toi bien Marie Christine

      • marie christine dit :

        Cent Nom, je te réponds ici .
        Jolie poésie pleine de douceur …! Et belle réponse .
        En ce qui concerne ton expérience sur les voleurs d’amour ou de lumière, c’est tout à fait juste pour qui a le même parcours .
        Il y a le style vampire et le style qui se laisse bouffer .
        Il s’ensuit un jeu de Barbapapa, tu sais ces personnages qui changent de forme: je t’enfonce, je me laisse enfoncer jusqu’à la moelle (l’avantage, c’est que tu connais la personne à fond mais l’inconvénient c’est que ça fait beaucoup souffrir) …
        Puis arrive un moment où celui qui se laissait enfoncer décide d’arrêter le jeu et mettre la limite au centre de lui-même : stop ! On arrête là ! On ne va pas plus loin .
        Et ton centre commence à te parler . Il te dit que finalement tout est question de conscience et d’inconscience . La méchanceté est inconscience, la mesquinerie est inconscience, l’égoïsme est inconscience … Alors tu ne peux pas reprocher à quelqu’un son inconscience !
        Qu’est-ce qui fait souffrir ? Ton amour de la vérité . Tu souffres de voir que les autres n’ont pas ce même amour . Tu leur veux du bien, tu leur fais du bien et tu voudrais qu’il le reconnaissent . Mais la vérité est cruelle . La lumière est cruelle . L’amour est cruel . La bonté est cruelle . La beauté est cruelle .
        Quand tu as découvert en toi une vérité, tu es obligé de la dévoiler . Dieu t’y oblige quelles que soient les conséquences douloureuses . Mais tu ne peux pas attendre des résultats . Les résultats suivent un processus qu’on ne connaît pas encore, une maturation qui portera ses fruits en temps voulu . On nous demande de semer, c’est tout . Et on a accompli pleinement sa mission .
        Ton centre te dit aussi que ce ne sont pas les émotions qui te dominent mais que c’est toi qui en es le maître . C’est toi qui les contrôles, les diriges, les réfrènes ou les laisses s’exprimer . Parce que ton centre te rassemble, te concentre, te maintient ferme . C’est le trône de ton royaume intérieur et tu en es le souverain . Rien ni personne ne peut te destabiliser parce c’est ton être unique, ta parcelle divine unique, tout comme chaque être est unique dans sa relation privilégiée avec son Origine .
        Tu ne peux plus te disperser, ni te perdre, ni te laisser balader comme une plume au vent . Ton mental s’apaise . Il n’y a plus de lutte, seulement de la vigilance . Elle est à ton service . Elle veille sur toi en permanence et agit à ta place . Tu es en sécurité .
        Enfin, quand je dis « tu », ce n’est pas forcément toi . Je n’ai pas la prétention de te connaître à ce point . Je me parle un peu à moi-même, ou en général …
        Je t’embrasse affectueusement .

        • Cent Nom dit :

          Belle journée Marie Christine,

          C’est marrant. J’ai lu ton commentaire hier et il n’avait pas du tout la même saveur que maintenant.
          Hier, lorsque j’ai lu ton message, je l’ai senti déconstruit et déstructuré. Il n’avait aucun sens pour moi.
          Je me suis même demandé si tu ne t’étais pas forcé pour m’écrire.

          Et là je le relis : miracle.
          Ta réponse est un bijoux.
          Il n’est plus déstructuré ou incohérent.
          Il est parfait.
          Je suis heureux de ne pas t’avoir répondu hier.
          J’aurai surement écris n’importe quoi.
          Je me demande si je n’était pas en miette, en quelque sorte.
          Je suis très heureux de ta réponse.

          Je vais savourer ton commentaire, comme on savoure un bon plat.
          Bon appétit!

          Le Soleil brille,
          il fait jour,
          dans mon cœur,
          ce Ciel où c’est envolé l’Aigle Royal,
          Le soleil brille,
          il fait noir,
          dans mon cœur,
          cette caverne d’où m’observe le jaguar.

          🙂
          d’agréables moments
          Porte toi bien

    • Marlyse dit :

      Bon, je crois que je ne suis pas encore partie … la table est trop bonne, sans doute et le vin coule à flots !

      La réponse à ta question est dans la dernière phrase du conte « Chacun porte son univers dans son coeur ». D’un certain point de vue, c’est absolument et totalement égoiste, égotique, égocentré. L’Univers, tout ce qui le compose (humains, animaux, végétaux) n’est qu’à l’image des projections à l’extérieur de ce que nous sommes à l’intérieur, de la manière dont nous nous ressentons (bon ou mauvais, clair ou obscur, triste ou heureux, intelligent ou bête, coléreux ou pacifique, etc, etc… etc …).

      A l’extérieur, tu ne rencontres finalement que toi-même, dans la multiplicité de tes différentes facettes que d’autres interprètent, incarnent pour toi comme toi, tu le fais pour les autres … d’où la nécessité de la règle de l’Amour « Aimer son prochain comme soi-même » en sachant que charité bien ordonnée commence par soi-même.

      Nous sommes des miroirs qui nous reflétons à l’infini, nous sommes des miroirs les uns pour les autres. Alors, communique-t-on avec son prochain pour se rassurer ? Non, on communique avec son prochain pour retrouver ce que nous sommes et nous rassembler (pour rassembler tous les morceaux éclatés de la totalité que nous sommes après les avoir reconnus en l’autre) et cette totalité est une des cellules du Corps Divin, de l’Univers. Et, c’est ainsi que l’on peut comprendre la parole de Jésus « ce que tu as fait au plus petit des miens, c’est à moi que tu l’as fait », sachant que le plus petit des miens, c’est la cellule que « Je Suis » (un microcosme) ; si j’agis sur ce que « Je Suis » alors j’agis sur l’ensemble de la Création (le macrocosme).

      Tchin, à la tienne !
      Marlyse

      • marie christine dit :

        J’adore ta réponse, Marlyse .
        Mais ce n’est pas du vin ! C’est du nectar !
        Tchin !

      • François dit :

        C’est dur de partir d’ici hein….!! 🙂 ha ha ha … moi aussi j’avais essayé et pô pu… 😉

        Perso Marlyse j’aime bien te lire, c’est comme un voyage pour moi. Comme un orchestre qui joue et dont certaines notes subtiles entrent discrètement à l’intérieur. Elles ne révèlent pas de suite leur tonalité, elles arrivent à la conscience quand elles doivent arriver.
        Merci d’être juste sortie prendre un verre… tchin! ♫

        • Marlyse dit :

          Bonjour François,

          Ce que tu dis me touche profondément et va me permettre de rendre hommage aux auteurs qui m’ont enseignée : Etienne Perrot, Christian Charrière, Marie-Louise von Franz, etc … tous des Alchimistes dans l’Ame, qui, parlant du travail de transmutation des métaux, l’appelait, tout comme leurs prédécesseurs, « l’art de musique » où l’on parle la langue des oiseaux.

          Sache que j’aime te lire également.

          Finalement, je n’ai pas eu d’autre choix que de rentrer de nouveau, dehors on se les gelait de trop. Alors, OK pour un bon grog.

          En toute amitié,
          Marlyse

  5. Dioex dit :

    Pardon, le bon lien pour le troisième exemple sur les comètes, le 13 octobre 2012

    http://www.youtube.com/watch?v=75iuxxSee5M

    by

  6. Dioex dit :

    Salut Passeur,
    Je vais profiter du sas pour préciser des notions sur des sujets que la dernière période m’a inspiré sur lesquels j’ai déjà écrit.
    Premièrement les femmes, c’est grâce à vous mesdames,par votre exemple,par le pouvoir du calme et de la sérénité qui aime et écoute la nature et ses besoins avant tout que le monde peut être sauvé. Et aux hommes qui suivent et défendent cette voie. Pas celle de la guerre et de l’amplification de la destruction des écosystèmes à travers le monde par notre mode de vie irresponsable.

    Le paradigme change et le pouvoir du féminin sac