L’Hymne Cathare « Lo boièr »

Le château de Peyrepertuse © totobrPour le plaisir et la nourriture de l’âme, sans prosélytisme aucun, « l’hymne » cathare, chant spirituel en occitan, recomposé et chanté par un ami, Hans-André Stamm.

 

L’hymne cathare « Lo Boièr » (Le Bouvier) – Hans-André Stamm – 5mn 24″

Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source).

A propos Le Passeur

Nomade sur le chemin...
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49 réponses à L’Hymne Cathare « Lo boièr »

  1. casquel dit :

    Bonjour,
    Que represente le  » se canto »
    Cordialement

  2. Pierre Samuel rioux dit :

    Wow ! c’est très jolie
    Je suis du Québec, cela ressemble a des chansons de notre folklore
    nous les Québecois somme d’origine Bretone et de La Normandie
    Moi mes ancêtre vienne de Plujean près de Morlaix.
    J’ai visiter la région du Pays des Cathares pendant 2 semaines et j’ai lu le livre sur l’histoire
    Belibaste.

  3. CHRISTEL dit :

    Merci Passeur pour ce bel hymne Cathares ! Un vrai bonheur d’écoute !
    J’aime beaucoup cette région âpre , simple et remplie de l’Âme de tous ces gens humbles et qui ont souffert pour leur FOI EN L’AMOUR ! Gratitude pour tout cela !

  4. marie christine dit :

    Ah merci les filles, je craignais un peu d’être seule à ressentir les choses comme ça !

    Acacia, on est lauréates et on vient de rater les Jeux Olympiques . C’est ballot !

    • marie christine dit :

      Ah, le voilà ! Mes excuses : ce message ci-dessus n’a rien à faire ici . Je le cherchais partout en vain, et il était venu se réfugier dans les harmonies des sons cathares … Bizarre .

  5. Marie-Anne dit :

    Bonjour Passeur, et bonjour à tous les amateurs de symboles et de puzzles,

    Lo Boièr- Le Bouvier- Un hymne cathare…

    Par un détour amusant comme seule, la vie, peut nous en concocter, je viens d’apprendre, de fil en aiguille et en approfondissant un texte sur Le Bateleur du Tarot de Marseille, que le plan du château de Montségur est calqué sur la constellation du…Bouvier – l’étoile première de cette constellation, Arcturus, correspondant au donjon du château!

    Arcturus est également désignée par la lettre alpha (Alpha du Bouvier): alpha, première lettre de l’alphabet, représentant (comme les « A » égyptiens, sumériens, phéniciens, hébreux, et autres jusqu’à notre propre « A ») …une tête de bœuf!

    L’Aleph hébraïque signifie donc le Bœuf (ou le Taureau) et symbolise aussi, le Roi/Reine, le Un; il offrirait le rayonnement de la rose épanouie rouge foncé et or et il correspond aux notions de commencement, d’unité parfaite, de silence, de prise de conscience de notre royauté, etc, etc,…
    Première des lettres, il les contient toutes; il est notre splendeur, notre couronne; le Début du Chemin, mais aussi le Chemin lui-même!

    Le Un est la divinité contenant le tout et d’où tout découle: à partir du Un peut jaillir l’Univers.

    Quant au Bateleur, la carte du Tarot portant le numéro 1 et correspondant à l’aleph, il évoque, notamment et à un niveau plus profond … le Bouvier! ( cf. Sa baguette pouvant symboliser l’aiguillon du bouvier; et cf. Son chapeau, en forme d’infini, mais évoquant aussi les cornes du taureau!).

    J’aime beaucoup ses liens qui vont d’un hymne puissant, tendre et beau, au Principe par excellence, en passant par un château hautement symbolique, le développement d’une lettre au cours des civilisations ou la contemplation d’une carte du Tarot!
    (Sans compter le mythe du Bouvier gardien de la Grande, puis aussi, de la Petite Ourse! Etc, etc,…)

    (R.: j’ai perdu les références sur l’aleph, mais elles devraient être faciles à retrouver – avec d’autres tout aussi intéressantes- via son moteur de recherche);
    Quant à Monségur, voici:

    http://t3m.voila.net/doc_cathares.htm

    Et concernant la lettre « A »:

    http://fr.wikipedia.org/wiki/A_(lettre)

    🙂

  6. acacia dit :

    Certains chants populaires anciens réveillent en moi une émotion un peu douloureuse… à cause de la dignité de l’homme qui veut vivre debout – Debout ! et libre de sa marche.
    Comme le dit Tchunka, ils sont tous un chant de l’âme et ils remontent à la nuit des temps.
    Je ne sais pas si aujourd’hui de nouveaux chants puissants sont nés. L’époque se prêterait bien, il me semble, à des levées de voix pour chanter l’espérance d’un monde autre…

    • ∞ Véronique ∞ dit :

      L’Hegoak basque, une pure merveille, est un chant récemment composé.

      http://www.youtube.com/watch?v=aHYOm4WjzLE (je ne sais comment le laisser en lien, désolée, il faudra copier-coller)

      Voici les paroles :

      Hegoak ebaki banizkio
      Neria izango zen
      Ez zuen aldegingo.

      Bainan horrela
      Ez zen gehiago txoria izango.

      Eta nik,
      Txoria nuen maite.

      Traduction

      Si je lui avais coupé les ailes
      Il aurait été à moi
      Il ne serait pas parti

      Mais alors
      Il n’aurait plus été un oiseau

      Et moi,
      C’est l’oiseau que j’aimais

      • acacia dit :

        Ah les chants basques… !
        Il court ici un souffle qui traverse tout, et les chants naissent spontanément dans la gorge de tout basque, à tout moment, seul ou en groupe. Je n’ai vu ça que dans ce pays.

        Une écoute de l’un, dont je ne me lasse pas -et en plus vous aurez un petit aperçu d’un peu de ces montagnes basques dans lesquelles j’aime tant marcher !

        http://www.youtube.com/watch?v=3HnIpcAoEUQ

        Et sa traduction.

        Xalbadorren Heriotzean :

        « C’était un ami

        sensible en tout

        que les ailes de la poésie

        et les vers sentimentaux

        transfiguraient

        Chanteur sur les places,
        pétri de solitude,
        il tissait les fils des mots
        Issus de son fond intérieur
        et appris dans la douleur

        Où es-tu ? Dans quels pâturages ?
        Berger de Urepel
        volant au dessus des montagnes,
        tu as fui dans le futur
        qu’est le souvenir

        En ouvrant les barrières
        Tu as libéré le chant
        Tu as voulu te détacher
        de toutes les chaînes
        et les limites du corps.

        Ton dernier souffle
        a été ton bertso le plus profond
        le cri le plus violent
        de ces vérités cachées
        qui ne peuvent se dire

        Où es-tu ?…  »

        Les bertsolari sont des poêtes-chanteurs-improvisateurs, une coutume qui perdure – plus au pays basque Sud ,« espagnol », qu’ici.

      • Margelle dit :

        « On dit » qu’on ne connait toujours pas l’origine du basque, comme du finlandais et du ligure (je crois, selon ma mémoire passoire)… ce qui nous transporte dans les origines oubliées… mais toujours là… qui se rappellent à nous… ces voix qui vibrent si bien et si haut…

  7. Tchunka dit :

    MERCI, quel plaisir à écouter ce chant.
    Je ne compte plus le nombre d’écoutes tant il me transporte dans des énergies cosmopolites qui se rejoignent à l’unisson de cette voix masculine sublime.

    Naturellement je me retrouve bercée par les chants de mon enfance, en Breton, qui lui font écho, mais aussi par ceux d’autres nations dont je ne parlais pas la langue, en Europe et au-delà et qui déjà résonnaient en moi comme une forme de pureté, de sagesse à respecter et à décrypter.

    Ce qui m’interpelle ce soir est leur point commun, ils sont tous un chant de l’âme, ils utilisent la même fréquence pour se verser dans la conscience collective hors du temps, ils m’élèvent et me transportent en pleine communion avec la nature et toutes les formes de vie qui nous entourent. Ces chants remontent à la nuit des temps, et ils s’unissent comme autant de petits cours d’eau qui finissent par donner une grande rivière.

    Avez-vous remarqué que ces chants ont été écartés de nos cultures, alors même qu’ils étaient entonnés aux quatre coins de la planète, naturellement composés par ceux qui étaient proches de la nature, comme si invariablement ils nous pointaient du doigt où porter notre regard tout en nous berçant de leur amour.

    Je suis heureuse d’avoir l’occasion à travers ce chant d’en prendre conscience et de réaliser que le laurier refleurit.

    Une pure merveille, mon corps est parcouru de frissons qui ont taquiné chacune de mes cellules tant la sensation physique était puissante, ensuite ces frissons se sont transformés en vibrations et cela dure depuis près d’une heure. Je me réjouis de savoir que l’amour est plus fort que tout, il se ressent dans cette voix et dans celles qui m’ont émue quand bien même je ne comprenais pas les paroles. Ce qui montre à quel point, seule l’énergie compte, peu importe le phrasé, peu importe le lieu, peu importe le temps. Nous n’avons plus qu’à nous unir à cette rivière, création universelle qui ne demande qu’à nous abreuver.

    Ces images que je ne découvre que maintenant m’évoquent le Machu Picchu, curieux ! J’avais ressenti les mêmes sensations en écoutant une musique en boucle tout en regardant le panorama depuis les hauteurs.

    Habitant face à l’océan, cet écho montagnard s’entend désormais entre les îles et les mégalithes, mais aussi les quelques très vieux et vénérables arbres qui sourient de nous voir ouvrir les yeux sur ce qui nous entoure depuis toujours.

    Encore merci pour cette très belle découverte, qui me vient droit au cœur.
    Bonne soirée à tous !

  8. Thau dit :

    Les paroles suivies d’une petite traduction….

    Quand lo boièr ven de laurar (bis)
    Planta son agulhada
    A, e, i, ò, u !
    Planta son agulhada.

    Trapa (Tròba) sa femna al pè del fuòc (bis)
    Trista e (Tota) desconsolada…

    Se sias (Se n’es) malauta digas-o (bis)
    Te farai un potatge (una alhada).

    Amb una raba, amb un caulet (bis)
    Una lauseta magra.

    Quand serai mòrta enterratz-me (rebomb-me) (bis)
    Al pus fons (Al prigond) de la cròta (cava)

    Los pés virats (Met-me los pès) a la paret (bis)
    La tèsta a la rajada (Lo cap jos la canela)

    Los pelegrins (E los romius) que passarán (bis)
    Prendrán d’aiga senhada.

    E dirán « Qual es mòrt aicí ? » (bis)
    Aquò es la paura Joana.

    Se n’es anada al paradís (bis)
    Al cèl ambe sas cabras.

    Quand le bouvier revient de labourer (bis)
    Il plante le soc de sa charrue (l’aiguille) / ou son aiguillon
    A, e, i, o, ou !
    Il plante le soc de sa charrue.

    Il trouve sa femme auprès du feu (bis)
    Triste et affligée…

    Si tu es malade dis-le moi (bis)
    Je te ferai un potage.

    Avec une rave, avec un chou (bis)
    Une tranche de lard ( ‘lauseta’ veut également dire ‘alouette’ ) maigre.

    Quand je serai morte enterrez-moi (bis)
    Au plus profond de la cave

    Les pieds tournés vers le mur (bis)
    La tête sous le robinet

    Quand les pèlerins passeront (bis)
    Ils prendront de l’eau bénite.

    Et diront « Qui est mort ici ? » (bis)
    C’est la pauvre Jeanne.

    Elle est allée au paradis (bis)
    Au ciel avec ses chèvres.

  9. Ambre dit :

    MERCI………

  10. François dit :

    Merci Hans-André et merci Passeur,

    Hier soir j’écoute une première fois les yeux et l’esprit ouverts , tranquillement , puis je sens qu’une vibration intérieure commence à naître en moi. Je relance donc la lecture et cette fois ferme les yeux , ouvre totalement le reste et … pars …

    Je marche sur la crête d’une montagne à la roche gris clair. Je suis précédé et suivi par des « consciences » qui m’accompagnent sur ce chemin. Ce n’est pas notre époque actuelle, d’emblée je sais qu’il s’agit d’un retour dans le temps. Quelques pas plus loin nous entrons dans une forêt et devant nous il y a un groupe de femmes et d’hommes , assis en cercle. Chacun se tient à un mètre environ de son voisin. Les consciences me soufflent d’observer en silence, je m’exécute donc et constate en premier lieu qu’il se dégage une très grande énergie de ce cercle. Il y a de la joie et de l’amour. Il m’est montré qu’il s’agit d’une façon agréable de se soigner, de refaire le plein. Je suis invité à rejoindre le cercle, je m’assois parmi et me sens appelé (aspiré) immédiatement en mon intérieur. En une fraction de seconde il n’y a plus ni groupe, ni montagne , n’y a plus rien… il n’y a que la conscience d’être en moi au milieu d’une ‘absence vibrante’ au centre de mon cœur énergétique. Après quelques instants de cet état, je suis de nouveau appelé à revenir en observation sur ce qui se passe d’un point de vue énergie. Je prends conscience à ce moment que la conséquence qui résulte de cet ensemble de connections individuelles forme une « centralisation » de l’énergie de chacun au centre du cercle. Si personne ne « veut » quoique ce soit , ne dirige rien nulle part et se laisse complétement absorber en confiance dans une rencontre à Soi, alors une magie opère au niveau du groupe. Cette magie est manifestée par un ‘retour’ (renvoi) de toutes ces énergies individuelles accumulées vers chacune et chacun. Elle est démultipliée et profite d’une manière extrêmement bienfaisante à tous. Je comprends également que ce type de rencontre a lieu de manière régulière et que si cela se passe en forêt ce n’est pas pour se cacher mais pour profiter , ajouter devrais dire , l’énergie du lieu, tellurique et cosmique.

    Voilà… comme la conséquence qu’un Passeur ait fait passer la vibration d’Hans-André m’a permis un voyage aussi surprenant, qu’enrichissant et nourrissant, je vous partage avec gratitude mon vécu de l’instant…

    • Bergelle dit :

      Et je reçois avec gratitude ton partage…

    • Margelle dit :

      ☼☼ Et je reçois avec gratitude ton partage ☼☼

    • Marie-Anne dit :

      Merci, François, de partager ton beau voyage sur les ailes de ce chant: je n’osais pas parler de mon voyage à moi, lorsque j’ai écouté ce chant! Grâce à toi, peut-être à la magie que tu as provoquée, je vais le faire!

      Passeur, merci; merci à ton ami Hans-André Stamm, et merci au pays cathare pour son message!

      Voici donc, ce que, pour ma part, j’ai reçu, d’abord interpellée par le titre « Le Bouvier »- titre apparemment banal dans le contexte géographique et temporel de ce chant beau, fort, triste et lancinant:

      Je me suis placée dans mon cœur et j’ai entendu l’appel du Père, le Bouvier, demandant à tous les fils et à toutes les filles de la terre ployant sous le joug monumental de leur souffrance et de leur nostalgie, s’ils étaient prêts à lever ce joug sacrificiel…et s’ils voulaient bien le remplacer par celui, sans poids, de l’Amour.

      Puis, j’ai entendu les Fils et les Filles- en train de chanter, pour la millième fois, leur joug douloureux et pesant- je les ai entendus, ceux-là, épuisés et étonnés, répéter doucement l’appel du Bouvier en levant leur nuque à moitié brisée et leurs yeux presque vitreux vers cet appel:

      « L’heure n’est plus au Taureau sacrificiel ; l’heure est au Taureau ailé (!!) », faisait l’Appel;

      « A É I O OU…. Homme de la Terre, laisse-moi enlever ton joug, laisse-moi réparer ta nuque et tes yeux; aide-moi à régénérer cette terre, cette terre qui a tant souffert;
      Et fais résonner mon appel à travers toute contrée afin que La Joie remplace la nostalgie et la peine; afin que tout Vive et non plus meure ou survive! »

      Et les Fils et les Filles, plus réveillés et plus déterminés, de commencer à répéter l’Appel plus fort….
      Voilà!

      Quelle richesse, dans un seul chant, quand il passe par nos âmes!
      François, tu as capté une part de cette richesse, moi une autre, et chacun d’entre-nous, une autre, encore! Quel kaléidoscope!

      • Marie-Anne dit :

        ( petit oubli – lapsus?: à la fin de ma  » vision », l’ordre des voyelles n’était plus le même, mais lequel était-ce? On verra si cela me revient, en méditation, p.ex.)

        • Soleil Bleu dit :

          Merci à vous deux François et Marie-Anne de votre partage ☼

        • ∞ Véronique ∞ dit :

          bonsoir Marie-Anne

          je ne sais si tu as eu l’occasion de te replonger dans cette aventure des voyelles chantées.

          Pour ma part, c’est I-A-OU-é

          Je suis retournée à la fontaine il y a quelques jours, j’ai enlevé une bonne part de la terre qui l’obstruait, j’ai rechanté, re-magie des échos et des harmoniques en réponse, et aujourd’hui, l’eau est claire, LA VIE est revenue. Un triton, des vers d’eau, des petites mouches à la surface, des bulles et des siphons. Des lumières magiques, un pétillement dans l’air. Wouaou, gracias a la vida !

          • acacia dit :

            Que c’est beau ! cette vie d’une eau qui renaît à l’écoute d’un chant d’amour…
            Merci Véronique ♥♥♥

          • Marie-Anne dit :

            Bonjour, Véronique,
            Je ne pourrais toujours pas dire quelles étaient ces voyelles ni l’ordre dans lequel elles me sont venues!

            Cela me reviendra peut-être, spontanément un jour, comme c’est venu spontanément pour toi, au bord de cette fontaine, dans cet élan d’Amour, de Joie, de Confiance et de Gratitude que tu nous as rapporté ici.
            Merci à toi 🙂 <3

          • Margelle dit :

            Pour moi je chante les voyelles telles qu’elles m’ont été donné par la kabbale : O-A-E-I-ou
            chaque voyelle correspondant à un organe-fonction : coeur-poumon-thyroïde-tête-entrailles…

      • pierrot dit :

        Ça tombe bien je suis Taureau ascendant Taureau 🙂

      • François dit :

        Merci Marie-Anne (et à tous) ,

        une expérience plutôt enrichissante 🙂 et oui la somme des expériences est effectivement un grandiose kaléidoscope… dont nous pouvons toutes et tous profiter à loisir puisque inscrit dans la grande bibliothèque !

        PS: bon je ne vais pas commencer à manquer à qui je suis (sic) alors ça c’est spécialement pour toi ….. parce que plus y’a de fous plus on….. 🙂
        http://www.youtube.com/watch?v=OqhJFvOh_KA

        • Marie-Anne dit :

          🙂 🙂 Merci, je te reconnais bien là, François! 🙂

          …tout de même, quel beau clip que celui que tu m’as envoyé:
          couleurs mauves et or, « parfum envoûtant, goût puissant, sens les plus intenses, le parfum des grands riz « ,…et puis, beautés orientales, arabesques, etc, etc,…!

          Il est assez prometteur, ce Taureau Ailé, non?
          Presqu’autant que celui de ma méditation! 🙂

          Tu sais quoi? Ce simple clip m’a évoqué ce que j’avais lu concernant le riz, sur le site « Passions et partage »( et que je suis allée rechercher exprès pour toi! ):

          Symbolique du riz:

           » Don du Ciel, le riz témoigne de la sollicitude d’En – Haut et il est réputé pour avoir poussé dans les temps premiers, remplissant même perpétuellement les greniers.
          Tant qu’il fut inépuisable, ce fut l’âge d’or. »

          Et donc, lorsqu’il fallut se donner beaucoup de peine pour le cultiver et le récolter, l’Homme se trouva sous le joug des âges noirs!
          Quel beau retour à ce joug que Le Bouvier, dans ma vision, propose de lever enfin, si nous le voulons bien!

          Oui, plus il y a de fous, plus on 🙂 et merci à toi

    • pierrot dit :

      Merci François!

  11. Katerina dit :

    Au delà des différences , des intérêts, des idéologies , des pouvoirs , des ages , des origines , ce chant est un appel à la fraternité et à l amitié .
    Sa pureté résonne dans mon cœur .

  12. Lisa dit :

    C’est très beau et cristallin…La signification du chant est tout aussi puissante, touchante et émouvante…
    http://www.occitanie-cathare.eu/rencontre-spirituelle-avec-lo-boier
    La photo superbe…

    Je n’ai pas trouvé de version mp3, j’ai cru comprendre qu’il y aurait possibilité de l’extraire de la vidéo pour un usage privé.

    Merci Passeur et Merci Hans-André

  13. marie christine dit :

    C’est très apaisant .
    Mon ressenti : une grande sincérité de coeur et une belle harmonie des énergies masculines et féminines .

  14. ∞ Véronique ∞ dit :

    Merci pour ce partage

    Très belle résonance en moi, le son comme les images.

    Il y a quelques jours, je suis allée près d’une fontaine entourée de pierres de granit taillées abandonnée depuis cinquante ans au milieu des ronces et des orties, j’ai commencé à la nettoyer et j’ai chanté, d’abord pour elle, puis avec elle, car alors que j’étais inspirée à enchaîner des voyelles, tout comme dans cet hymne cathare mélodieux, l’écho et l’harmonique issus des profondeurs de la source ont peu à peu répondu à chaque son que j’émettais, m’émerveillant et me plongeant au cœur d’un espace nouveau et sublime. Instant magique de communion et d’harmonie…

    et je goûte d’autant plus cet « écho » sur ce site que j’apprécie car je ressens sa profondeur et son authenticité, même si je me sens encore un peu novice sur certains débats… MERCI

    • pierrot dit :

      Justement le zen c’est l’esprit du débutant 🙂
      Les premières fois sont toujours exitantes et c’est quand on s’habitue qu’on perd notre vigilance.

  15. Quintus dit :

    Bonjour,
    Puissant et porteur d’histoire, je reconnais en moi ce type de chant.
    Si je puis me permettre j’ai remarqué ces 6 derniers mois que les médias tout confondus et que plusieurs personnes posent des questions sur le sujet, parlent ou reparlent des croisades, des templiers, des cathares, même les musulmans chez eux et entre eux au travers des documentaires dans leur vie quotidienne que je peux voir.
    C’est curieux qu’elle est cette signification? Que se passe t-il?

    • Le Passeur dit :

      Comme prophétisé par Bélibaste sur le dernier bûcher, 700 après, le laurier refleurit.

      • guitoo dit :

        Bjr,
        Quand tu auras deux minute Passeur, j’aimerais que tu développe ou que tu donne un lien car je ne connais rien à cette prophétie et ca à l’air intéressant.
        Merci d’avance & bonne soirée Urantia 🙂

        • Le Passeur dit :

          Originaire de la Haute-Vallée de l’Aude, Bélibaste a été retenu par l’histoire comme le dernier « Parfait » cathare, à la vie plutôt tumultueuse, capturé et brûlé sur les bûchers du Vatican. On lui prête d’avoir prophétisé que « Al cap des sei cens ans verdegeo le laurel » (Au cap de sept cents ans, le laurier reverdira). Le laurier symbolisant l’immortalité devenu on ne sait trop quand celui du catharisme.

  16. Margelle dit :

    Magnifique… merci Passeur pour ces si belles voix, qui résonnent si profondes…
    J’y sens les voix du monde… celui qu’on habite si on le veut… profond et sensible…

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