Il y a quelques temps j’ai décider de remettre mon petit nez dans certains articles plus anciens qu’il y a ici et je n’avais pas remarquer les commentaires que vous aviez laisser, alors même si ça date d’il y a un an, merci ! Mieux vaut tard que jamais n’est ce pas 😉

Je me souviens comme si c’était hier la période où j’ai lus cet article de toutes ses choses étranges et familières qui ont pu interférer dans ma vie. Quoi qu’il en soit je vous écris pour vous remercier car dans cette période, printemps 2014, je passais ce fameux Brevet des Métiers d’Art, préparer depuis 4ans… contre vent et marées…

Et bien je l’ai eu ! A ma grande stupéfaction ! Avec en prime une mention ! 😀
« Assez bien », c’est déjà ça hahaha et je m’en suis sorti grâce aux art appliqués où j’ai lié le Macrocosme et le Microcosme avec l’Horlogerie et l’Astronomie.
Je me souviendrais toujours, alors que j’étais entrain de faire mes aiguilles, inspirées des hélices de la Galaxie, ses « somnolences » mes camarades qui me soutenaient et cette atmosphère… la lumière du soleil, le vent qui agitait la cime des arbres tout en caressant la peaux avec sensualité… Se soutiens, cette structure, vous, nous… J’imagine que sans avoir eu le courage de m’exprimer je n’aurais pas senti ça et par conséquent … raté mon année et pris une autre trajectoire.
Avec un coeur emplis de Gratitude d’avoir retrouver des artefacts grisés en l’ayant débloqué pour y faire passer la Lumière comme dans un cristal Merci à tout le monde encore et encore ! Grace au Passeur, qui ouvre l’opportunité de rassembler tellement de choses, on éclaire nos vies, et ainsi le monde, nous mêmes, enfin vous voyez.
Aujourd’hui je suis en sculpture sur bois et c’est beau, comme des vacances à l’école, celui là de paradoxe je l’attendais pas hahaha !
Merci 🙂

Finalement la dureté a son utilité.

Ta façon de prendre la vie me fait repenser à un livre qui m’a bcp touché, « feuilles odorantes de palmier » de Thich Nhât Hanh, c’est une sorte de biographie d’où ressort sa vision poétique autant que pragmatique de son parcours.

Tout comme ce livre c’est rafraîchissant, rassérénant.

🙂

Merci SPOT!

Ps: j’ai rechigné à cliquer sur le lien car il n’y avait aucune indication et j’ai même failli ne pas aller voir du tout…

♥

La légèreté ou la lourdeur face à ce que nous appelons
« recherche spirituelle » (donc recherche de l’Esprit, recherche de nous-mêmes), dépend, je pense, de notre degré de résistance face à l’ouverture de notre coeur, de notre degré de lâcher-prise face à nos certitudes; ainsi que de la simplicité et de la fluidité de notre accueil face à ce que nous ressentons comme étant juste; et aussi,je dirais, de notre confiance envers ce qu’est notre discernement, lorsque nous sommes authentiquement, dans le coeur, avec Nous-mêmes.

Merci , François pour cette trouvaille amusante!

Tiens, on pourrait faire ce genre de petit film avec toutes nos petites défenses névrotiques habituelles, style:  » vous ne voulez pas voir vos petits défauts égoïstes? Pas de problème! Victim Express vous aide à les projeter sur quelqu’un d’autre et bon débarras! »…ou  » Pas de problème, Victim Express vous aide à vous renforcer dans le déni! »,… etc, etc,… 🙂
Ce serait peut-être plus efficace qu’un traité de développement personnel? 🙂

De mon cœur à ton cœur.

‘C’est pourquoi nous voulons savoir si l’esprit, comme aux origines, peut atteindre à cette extraordinaire faculté de vision, de perception, pas en partant de la périphérie, de l’extérieur, des lisières – mais en une rencontre qui soit spontanée. Ne pas solliciter cette rencontre est le seul moyen de la faire. Parce que dans cette rencontre inopinée il n’y a pas d’effort, pas de quête, pas d’expérience ; mais il y a rejet total de toutes les pratiques normalement mises en oeuvre pour accéder à ce centre, pour connaître cette éclosion. Ainsi l’esprit est aiguisé, éveillé à l’extrême, et ne dépend plus d’aucune expérience pour rester en éveil.
Lorsqu’on se pose à soi-même la question, on peut en rester au niveau verbal ; et pour la plupart d’entre nous, c’est forcément le seul niveau possible. Mais il faut bien comprendre que le mot n’est pas la chose – le mot arbre, par exemple, n’est pas l’arbre, il n’est pas la réalité de l’arbre. La réalité, c’est lorsqu’on touche l’arbre, pas à travers le mot, mais en ayant avec lui un contact réel. Il y a alors une réalité effective – ce qui veut dire que le mot a perdu son pouvoir hypnotique. Par exemple, le mot Dieu est si lourdement chargé de sens et a hypnotisé les gens à un tel point qu’ils sont prêts à l’accepter ou à le rejeter, et à se comporter comme des écureuils en cage ! Il faut donc laisser ce côté le mot et le symbole.’
Krishnamurti – Le livre de la Méditation et de la Vie