NB : Pour plus de clarté dans la chronologie des commentaires, il serait peut être judicieux de mettre les plus anciens en haut de la liste.

Cette vidéo impacte quelque chose en nous,, de la même façon qu’une pensée me semble-t-il n’est qu’une ébauche d’infinitude, et puis cette jeune femme irradie un reflet d’humanité que l’on n’a pas encore atteint, mais que l’on frôle peut être inconsciemment, merci à toi, et à vous tous, sans oublier le Passss^^qui nous permet tous ces bavardages innocents qui font du bien.

Le silence guérit par Yolande Duran-Serrano
Cette certitude, c’est une perception, une vision ?…
C’est plus qu’une vision : c’est une évidence, un sentiment profond, quelque chose de tellement fort que, même si dans l’instant je ne vois que ce qui est là, comme tout le monde – un canapé, une table, une personne en face de moi –, cette vision profonde est là « avant ». Et c’est tellement puissant que cela prend le pas sur ce que « disent » les yeux et tous les autres sens. La vision des yeux, l’audition des oreilles, le toucher de la peau… tout ça ne sert plus à définir le réel. Parce que, profondément, avant tout et à chaque instant, cette « chose » est là, tout le temps. Elle est avant les phénomènes, avant les expériences qui autrefois constituaient l’existence. Ou, si j’essaie de le dire autrement : les phénomènes sont vus « depuis » cette chose qui est au premier plan ; et tout ce que je vois, entends, sens, apparaît au second. Même ce que je vois les yeux fermés, qui est tellement plus réel que le réel habituel…

Ce que tu vois les yeux fermés ? !
Oui. Quand je m’allonge, que je ferme les yeux et relaxe, je tombe dans un état différent. Ça ne ressemble ni à l’état de veille ni au rêve ni au sommeil profond. Je suis parfaitement consciente ; en même temps, j’ai perdu la conscience de mon corps : j’ai l’impression de n’être plus que vision, vision avec les yeux fermés. Là, des phénomènes apparaissent. Des visages, des paysages, des présences fugaces et intenses, des choses chargées d’une telle réalité que, de retour dans l’état de veille, les mots « voir » ou « réel » prennent un tout autre sens.
Mais, sans même parler de ces phénomènes : rien que dans la vie de tous les jours, « voir » a pris un autre sens, une autre saveur. Parce que ce silence t’empêche de te recréer à chaque instant, t’empêchent d’interférer, de penser, de projeter, de sécréter ce filtre du mental, la réalité t’apparaît bien plus vive, bien plus réelle.

Par Yolande Duran Serrano

C’est notre libre arbitre et notre liberté de créer qui a permis cela.

Alors surveillons nos pensées et transmutons nos réactions, c’est cela être vigilant.

Je présume que tu connais déjà ce lien qui est de la même veine:

http://www.youtube.com/watch?v=jiy-RobPpbI

Je ne sais pas ce qui peut se passer dans la tête d’un enfant de 9 ans à la vue de ces images mais si le parent se sens offusqué, l’enfant va lui aussi se sentir offusqué et associera alors le sexe à quelque chose de sale.

En Inde on voit des coîts en sculpture sur les temples hindous mais on est ici dans une autre culture.

En tout cas quand j’ai montré la photo de mon Grand-Père mort à ma fille de 7 ans elle ne m’a pas paru être choquée.

Les enfants de cet âge n’ont pas encore beaucoup de concept mais ils sont sensible au ressenti de leur entourage.

Mais ce serait à mon avis mieux que cet partie ce soit les parents qui l’abordent et non l’école qui devrait plutôt s’occuper de l’instruction que de l’éducation.

Dans les semaines qui viennent, des milliers d’élèves vont être emmenés par leur école à l’exposition du « Zizi sexuel », à la Cité des Sciences à Paris.

Cette exposition, qui présente de multiples scènes de coït explicites, s’adresse aux enfants dès 8-9 ans sous prétexte que « les ados sont taraudés par le sexe ».

Vous avez peut-être comme moi un enfant de 9 ans dans votre entourage. Franchement, avez-vous l’impression qu’il soit déjà « ado » et « taraudé par le sexe » ?

Si c’est le cas, et que vous voulez l’encourager, alors ne signez surtout pas cette pétition.

Mais ma nièce, elle, joue à la corde à sauter avec ses copines, dessine des princesses, fait du vélo, joue à l’élastique, à chat, et à la marelle (oui, certains jeux sont indémodables). D’accord, elle a aussi une console de jeux.

Quand même… où donc vont-ils trouver ces enfants de 9 ans « taraudés par le sexe » ?

Peut-on espérer la trouver en évacuant l’essentiel:la merveille naturelle:l’enfance?

http://www.youtube.com/embed/fdSVp9GFeS4

Quelle joie de lire, relire et relire M. Brown … je suis juste en train d’expérimenter pour la 3ème fois le « Processus de la Présence » jour après jour, permettre à toute émotion d’être là, quelle qu’elle soit , rester avec même si on voudrait parfois la ré enfouir sous 1 tonne d’occupations diverses … respirer, ressentir, intégrer

Accepter de ne pas me sentir bien pour mieux savoir sentir

Par expérience c’est source d’une profonde joie, d’un sentiment de liberté aussi; la joie aussi de redevenir le maitre de sa maison en ne s’appuyant que sur ses ressentis: quelle magnifique guidance!

merci à toi Passeur !

Pour ma part, je perçois qu’il n’y a rien de plus difficile que de parler du ressenti à travers des mots et a fortiori sur un forum de discussion et c’est bien ce que tu exprimes aussi Pierrot;
C’est pourquoi je ressens parfois dans le corps de la peur avant d’écrire sur un site ou dans un mail craignant de blesser quelqu’un en m’exprimant trop spontanément, sans trop réfléchir, ce que je crois être sincère et authentique .
Se faire comprendre de façon précise est quasi impossible ( à part sans doute pour le milliard d’humains interconnectés en marche) tant l’émetteur et le récepteur vibrent chacun de leur côté, de façon unique et particulière.
La frustration que l’on peut ressentir et exprimer au niveau de cette apparente incompréhension ( que l’on nomme parfois non authenticité, non intégrité, non simplicité, mensonge « spirituel »…) peut néanmoins trouver une issue, enfin c’est mon humble avis peut-être un peu naïf, dans l’ attention particulière, le regard, de chacun à se reconnaître non séparé de ce qui l’entoure au plus proche de son propre corps.Ressentir que l’on est plongé dans un bain .
Je voudrais illustrer ce que je veux dire par des images enfantines même si les images ne sont, intrinsèquement, qu’illusions: voilà ce qui me vient à l’esprit modestement et simplement:

Je ne suis pas séparée de Sa Majesté le Chat qui pose sa patte dans ma main après sa virée nocturne et je ne suis pas séparée de ce cousin ( le faux moustique qui est une araignée) qui vibrait hier soir dans cette même main (l’enfermant pour quelques instants pour le libérer)…nous résonnons.
Je ne suis séparée de Rien de ce qui entoure l’âme qui s’exprime ici (qui se croit particulière en ce corps, mais qui n’est qu’une partie infime de l’Ame du Monde) et pourtant je vis seule, éloignée de mes frères et soeurs humains, depuis presque une année. Ma famille aimante la plus proche (enfants) est loin géographiquement parlant et les groupes me « coupent » de mes sensations fines ( l’éponge a, sans doute, encore trop peur d’être absorbée).
Mais je me sens intimement reliée à ce monde énergétique qui est le nôtre car je ne peux pas Etre séparée.De l’infiniment petit sur cette planète aux êtres invisibles venus d’ailleurs, nous sommes UN.

Ce sentiment de séparation, d’isolement, d’abandon, de blessure impardonnable et de solitude est peut-être ce que veut dire en filigrane Marie-Christine quand elle évoque la blessure originale (originelle ?)ressentie par chaque être humain au plus profond de lui, quand naît dans la plus tendre enfance l’ego protecteur.

J’ai observé que lorsque je choisis l’instant présent (vibration) je ne choisis pas l’instant pensant (mémoire) et dans cette vibration je ressens la jubilation d’être en vie. Le passé, le présent, le futur, point unique du présent dans la vibration, Est légèreté, gratitude profonde.

Bien-sûr ce sont des moments encore trop rares à mon goût car le hamster sorti de la roue du mental retourne vite faire des petits tours dans sa cage( la mémoire émotionnelle), qu’il connait bien.Dans cette cage sa perception est limitée, ses sens sont grossiers, sa vue est trouble…il le sait, il accepte cette anesthésie du Vivant pour ce qui Est puis il retourne dans l’herbe verte, juste , tout juste à côté de lui, le Présent, là maintenant sur le clavier.

Cela me ramène immédiatement vers Vous, dans le cœur!

♥

C’est comme ça que l’on comprend le rôle essentiel de l’état de nos intestins (et donc de l’alimentation) sur les émotions, et donc sur le processus d’éveil. Car 90% de la sérotonine, hormone qui aide la régulation de l’humeur est produite dans les intestins…

Le corps émotionnel a un impact sur le corps physique mais il me semble aussi que le corps physique a un impact sur le corps émotionnel. Si je souris même si j’en n’ai pas envie, rien que le fait de le faire cela va déclencher des réactions biologiques qui vont me sentir bien.
Et dans le fait de bouger on peut aussi libérer nos émotions, donc je vois ici le corps physique comme un outil de délivrance émotionnelle et non pas comme une conséquence du travail émotionnel en amont, pour ma part les deux sont imbriqués mais il est vrai que si côté émotionnel ce n’est pas mis en conscience, le travail corporel ne sert qu’à mettre un pansement sur la plaie.

Si on agit à l’inverse de nos habitudes ou de nos croyances, cela ne va -t-il pas nous reprogrammer ?
Genre quelqu’un qui se sent pauvre et qui donne de bon coeur de l’argent ne va-t-il pas arrêter de se sentir pauvre ?

Pour le ‘que suis-je’ cela s’adresse à l’objet alors que le ‘qui suis-je’ s’adresse au sujet.
Donc sommes nous objet ou sujet ?
Parce que si notre être ne peut être caractérisé de quel objet parle-t-on ?
La réponse est dans la question alors restons y car dans le ressenti point besoin de nommer.

Bravo pour la démarche authentique et autonome, j’insiste sur le mot autonome car nous vivons dans une ère où les guides sont légion alors ne les idolâtrons pas, ce n’est pas rendre service ni à nous ni à eux.
Est-ce pour cela que Jésus a quitté ses disciples ?

Que nos corps travaillent en synergie dans la joie du ressenti et ayons l’humilité de reconnaître nos maladresses, c’est en tombant que nous avons appris à marcher.