Voir l’œil qui nous regarde

Il est à mon sens utile à ce jour d’éclairer celles et ceux qui ne peuvent croire qu’un agenda malveillant se dissimule (à peine) derrière la pandémie. L’enjeu est l’éveil. C’est pourquoi certaines informations du plan horizontal, comme celles qui suivent, ont pertinence à circuler afin de percevoir que ce qui est dénoncé n’est pas le fruit d’esprits paranoïaques, mais bel et bien une réalité clairement affichée depuis de nombreuses années et aujourd’hui plus que jamais, par les élites sociales des pays dominants.

C’est au prix d’une telle prise de conscience, certes inconfortable, qu’un monde responsable, bienveillant et respectueux du Vivant sous toutes ses formes, pourra s’établir malgré les velléités d’un nouvel ordre mondial tyrannique, qui n’est, rappelons-le, que l’exact et très juste reflet du niveau de conscience actuel de l’humanité.

Celle-ci est à son tournant le plus important d’un très long cycle. Un tournant unique. Il y a des signes positifs observables et un nombre grandissant se positionne avec justesse, mais les temps s’accélèrent. Ceux qui veulent prendre la porte d’un autre futur potentiel que celui que maintiennent pour elle quelques individus en résonance avec l’apathie générale, ont désormais très peu de temps pour se mettre au diapason de ce potentiel. Le dormeur doit s’éveiller.

Par Brandon Smith. (Traduction)

« En 2014, lors de l’alerte Ebola aux Etats-Unis, j’ai publié un article mettant en garde contre la façon dont une pandémie mondiale pourrait être utilisée par les élites comme couverture pour la mise en œuvre d’un effondrement économique ainsi que des mesures de loi martiale dans les pays occidentaux. Ma préoccupation immédiate était la manière dont une épidémie virale pourrait être conçue ou exploitée pour justifier un niveau de contrôle social que le public n’accepterait jamais dans des circonstances normales. Et cela pouvait être N’IMPORTE QUELLE épidémie virale, pas seulement Ebola. Il s’agit de créer un « ennemi invisible » que la population ne peut quantifier et contre lequel elle ne peut se défendre sans une surveillance constante du gouvernement.

J’ai noté en particulier comment le gouvernement a refusé d’appliquer des restrictions de voyage aérien en 2014 aux nations où l’épidémie s’était installée alors qu’il aurait pu arrêter la propagation sur sa lancée. C’est ce qui s’est produit de nouveau en 2020, lorsque l’OMS des Nations unies et les gouvernements, dont le nôtre aux Etats-Unis, ont refusé d’interdire les voyages aériens en provenance de Chine, en prétendant que ce n’était pas une zone « hot » et qu’il ne fallait pas craindre le virus.

Cette attitude de nonchalance sert un but. L’establishment a besoin que la pandémie se propage, car il a alors une raison de contrôler strictement les activités et les mouvements du public. C’est l’objectif final. Ils ne se soucient aucunement de la santé ou de la sécurité publiques. Le but final est d’acquérir du pouvoir, pas de sauver des vies. En fait, ils pourraient préférer un nombre de décès plus élevé au début, car cela inciterait le public à demander plus de restrictions au nom de la sécurité.

Les autorités sont passées de la minimisation de l’épidémie et de l’interdiction de se préoccuper des préparatifs, comme l’achat de masques N95, à un mode de crise totale quelques semaines plus tard. En janvier, Trump a d’abord affirmé qu’il « faisait confiance » aux données provenant de Chine et a déclaré que « tout était sous contrôle » ; comme d’habitude, quelques mois plus tard seulement, Trump a fait volte-face sur ces deux affirmations. L’Organisation mondiale de la santé a même refusé de qualifier cette épidémie de « pandémie » tant que le virus ne s’était pas implanté dans le monde entier. La question que les gens se poseront est la suivante : tout cela était-il dû à l’incompétence ou à l’ingénierie sociale ?

Le virus Ebola d’il y a six ans semble avoir été une répétition de ce qui se passe aujourd’hui. Je pense que c’est entièrement délibéré, et j’expliquerai pourquoi dans cet article, mais de toute façon, les gouvernements ont prouvé qu’on ne peut pas leur faire confiance pour gérer la crise de la pandémie, ni pour protéger les gens et leurs libertés.

Dans le même temps, la pandémie elle-même est étroitement liée à l’effondrement économique. Les deux événements se nourrissent l’un l’autre. La pandémie constitue une couverture parfaite pour l’effondrement de l’énorme bulle d’endettement que les banques centrales et les banques internationales ont créée au fil des ans. J’ai constaté en février que l’économie mondiale s’effondrait bien avant que le coronavirus n’apparaisse. En même temps, le chaos économique aggrave la tiers-mondisation dans chaque pays, ce qui signifie une mauvaise alimentation et des options de soins de santé qui provoquent plus de maladies et plus de décès dus au virus.

Comme je l’ai indiqué en 2014 : « Qui remettrait en question l’éventualité d’un effondrement économique à la suite d’un cauchemar imprégné d’Ebola ? Qui voudrait acheter ou vendre ? Qui voudrait entrer en contact avec des étrangers pour générer une transaction ? Qui quitterait même sa maison ? Le traitement de l’Ebola  dans les pays du monde riche présente les avantages de la finance et d’un environnement sanitaire global plus propre, mais que se passerait-il si le ralentissement économique se produisait simultanément ? L’Amérique pourrait très vite se retrouver dans le tiers-monde et, avec elle, toutes les conditions d’insalubrité qui entraînent un taux de mortalité exponentiel dû à l’Ebola ».

Au milieu d’un scénario viral, même modéré ou contrôlé, les actions et les obligations s’effondreront sans aucun doute, un effondrement qui allait se produire de toute façon. Les banques internationales qui ont créé le désordre s’en tirent sans encourir de reproche, tandis que le virus Ebola (épidémie virale), un acte de la nature, devient le bouc-émissaire ultime de chaque catastrophe qui s’ensuit.

Alors que la double menace d’effondrement financier et de pandémie virale s’accélère, la peur se répand pour ceux qui ne se sont jamais préparés à l’avance (et nous parlons de millions de personnes). Lorsque les gens ont peur, ils ont tendance à sacrifier leurs libertés à toute personne qui leur offre une promesse de sécurité, aussi vide soit-elle. Pour l’instant, le public est convaincu de supposer que les confinements et les restrictions sont temporaires, mais c’est un mensonge. Les élites doivent maintenir et augmenter les restrictions chaque mois afin d’empêcher toute rébellion jusqu’à ce qu’elles soient prêtes à appliquer les mesures de la loi martiale.

Vous voyez, l’establishment est en rupture avec cet événement, et à cause de cela, il y a un potentiel pour qu’ils fassent face à des conséquences désastreuses. La façade s’évapore rapidement; les collectivistes et les mondialistes risquent de s’exposer et d’exposer leurs marionnettes politiques afin de construire un système totalitaire avec une rapidité extrême. L’establishment doit maintenir la pression pour l’instant, car si l’on laisse le public respirer un instant, il risque de regarder autour de lui et de s’éveiller au programme plus vaste. Le public doit être forcé de mendier l’aide des autorités ; ce n’est qu’alors que la pression sera levée pour un court instant. Le public doit croire que la grille de contrôle était LEUR idée.

Un nouveau processus de conditionnement de masse est sur le point d’être mis en route, utilisant des « vagues » de panique puis des vagues de libération et de calme. Après avoir étudié les traits comportementaux et les méthodes des sociopathes narcissiques (psychopathes) pendant de nombreuses années, je peux vous dire que cette forme de conditionnement est très familière. C’est exactement ce qu’ils font toujours, à l’échelle mondiale : ils créent une atmosphère de crise pour maintenir les gens autour d’eux en déséquilibre et à cran, puis « relâchent la pression » par intermittence pour que ces mêmes personnes se détendent et que leur colère se dégonfle pendant un certain temps. Ensuite, le processus recommence…

Ce conditionnement piège les victimes des narcopathes dans un état constant de flux et d’incertitude, et les moments de calme deviennent un placebo qui empêche leur rébellion contre lui. Il peut alors se nourrir à loisir de ses victimes comme un vampire psychologique, et souvent ces victimes verront le narcopathe comme leur seul moyen de soutien. Elles sont convaincues que toutes les menaces viennent de l’extérieur ; elles ne réalisent pas que la source des menaces est la personne qui se trouve juste à côté d’elles.

Le modèle de vagues de conditionnement et de contrôle commence à apparaître partout, et il est particulièrement flagrant dans la « solution » présentée par les élites de l’establishment en réponse à l’épidémie de coronavirus. Comme l’a souligné Truthstream Media dans son excellente vidéo « We Are Living In 12 Monkeys », le MIT a récemment publié un article rédigé par son rédacteur en chef mondialiste Gideon Lichfield, intitulé « We’re Not Going Back To Normal », qui admet assez effrontément la façon dont les élites entendent utiliser cette crise à leur avantage.

Lichfield établit une sorte de calendrier de programmation pour la population, basé sur des vagues d’épidémies d’infections virales, des vagues de restrictions sociales strictes, suivies de vagues d’activité économique limitée et de calme limité au cours des 18 prochains mois. Comme le suggère Lichfield :

« Pour arrêter le coronavirus, nous devrons changer radicalement presque tout ce que nous faisons : notre façon de travailler, de faire de l’exercice, de fréquenter les gens, de faire des courses, de gérer notre santé, d’éduquer nos enfants, de prendre soin des membres de notre famille.

Nous voulons tous que les choses reviennent rapidement à la normale. Mais ce que la plupart d’entre nous n’ont probablement pas encore réalisé – et ne tarderont pas à faire – c’est que les choses ne reviendront pas à la normale après quelques semaines, voire quelques mois. Certaines choses ne reviendront jamais ».

Il continue :

« Tant que quelqu’un dans le monde aura le virus, les épidémies peuvent se reproduire et se reproduiront si des contrôles stricts ne sont pas effectués pour les contenir. Dans un rapport publié hier, des chercheurs de l’Imperial College de Londres ont proposé un moyen d’y parvenir : imposer des mesures de distanciation sociale plus extrêmes chaque fois que les admissions dans les unités de soins intensifs (USI) commencent à augmenter, et les assouplir chaque fois que les admissions diminuent… ».

Comprendre qu’il y a 7 milliards d’habitants sur la planète et que ce processus de contrôle pourrait durer des années en attendant que chaque personne surmonte le virus ou en meure. La seule façon pour le public d’échapper à ce purgatoire (selon Lichfield) est de se soumettre à une grille de données biométriques. Ils doivent se porter volontaires (ou être obligés) pour participer à un suivi 24h/24 et 7j/7 grâce à leurs téléphones portables et à une surveillance de masse. Pour pouvoir fonctionner en société, un individu doit avoir le marqueur numérique adéquat qui indique aux autorités qu’il est « propre » et exempt d’infection.

L’œil de Sauron dans le Seigneur des Anneaux

Ce système, actuellement utilisé en Chine, permet de réaliser un certain nombre de choses. Tout comme le système de crédit social que la Chine utilise depuis quelques années, le public est obligé de rassurer constamment l’œil caché, mais qui voit tout, du gouvernement. Tout ce qu’ils font est surveillé par des algorithmes et des moyens de surveillance. Toute déviation pourrait déclencher une surveillance et une perte des libertés simples de se déplacer ou de participer à une interaction humaine normale.

Lichfield argumente : « En fin de compte, cependant, je prédis que nous allons rétablir la capacité de fréquenter les autres en toute sécurité en développant des moyens plus sophistiqués pour identifier qui est à risque de maladie et qui ne l’est pas, et en discriminant – légalement – ceux qui le sont.

(…) On peut imaginer un monde dans lequel, pour prendre un vol, il faudra peut-être être abonné à un service qui suit vos déplacements via votre téléphone. La compagnie aérienne ne pourrait pas voir où vous êtes allé, mais elle recevrait une alerte si vous étiez à proximité de personnes infectées connues ou de points chauds de la maladie. Les mêmes exigences s’appliquent à l’entrée des grandes salles de spectacles, des bâtiments gouvernementaux ou des centres de transport public. Il y aurait des scanners de température partout, et votre lieu de travail pourrait exiger que vous portiez un moniteur qui surveille votre température ou d’autres signes vitaux. Si les boîtes de nuit demandent une preuve d’âge, elles pourraient à l’avenir exiger une preuve d’immunité – une carte d’identité ou une sorte de vérification numérique via votre téléphone, montrant que vous avez déjà récupéré ou été vacciné contre les dernières souches de virus ».

Et voilà, vous l’avez. La grille de contrôle social et biométrique que les mondialistes ont mis en place depuis des années a le parfait catalyseur – une pandémie virale qui pourrait se propager indéfiniment ; il suffirait de libérer tous les deux ans un virus de synthèse qui renouvelle la peur du public. La population devient de plus en plus dépendante du gouvernement pour tout, car sa survie même dépend de sa capacité à fonctionner dans la nouvelle économie, et sans une marque spéciale accordée par le gouvernement disant que vous n’êtes pas un risque d’infection, vous pourriez être écarté de tout commerce et de toute participation.

Vous refusez de vous faire vacciner pour des raisons de santé ? Vous êtes exclu de l’économie. Scolariser vos enfants à la maison ? Ils n’ont pas été suivis et constituent donc un risque d’infection, et toute votre famille est mise à la porte de l’économie. Vous avez des opinions politiques contraires au mondialisme ? Peut-être êtes-vous répertorié comme un danger pour le système et étiqueté à tort comme infecté en guise de punition ; et vous êtes alors mis à la porte de l’économie. L’establishment peut utiliser la menace d’une expulsion économique pour conditionner de nombreuses personnes à la complaisance ou à l’esclavage.

Le rédacteur en chef du MIT poursuit son argumentation de manière assez arrogante :

« Nous nous adapterons à de telles mesures et les accepterons, tout comme nous nous sommes adaptés aux contrôles de sécurité de plus en plus stricts dans les aéroports à la suite d’attaques terroristes. La surveillance intrusive sera considérée comme un petit prix à payer pour la liberté fondamentale d’être avec d’autres personnes ».

Au-delà de l’effort visant à transformer la « distanciation sociale » en une nouvelle norme culturelle appliquée par la loi, un autre programme est tranquillement mis en place : la société sans argent liquide. De plus en plus d’entreprises commencent à refuser les paiements en espèces, sous prétexte que l’argent papier propage le virus. Curieusement, elles acceptent encore les cartes de débit avec des claviers à touches, qui sont beaucoup plus susceptibles que l’argent liquide de propager la maladie.

Cela peut obliger le public à garder son argent dans les banques malgré la menace d’un gel du crédit ou d’un bank holiday. Que se passe-t-il si vous retirez de l’argent de vos comptes mais que vous ne pouvez le dépenser nulle part ? Ils finiront par interdire les transactions par carte de débit et de crédit dans les magasins également, et les remplaceront par un système de paiement non interactif. Au début, cela se fera probablement par le biais de votre téléphone portable à l’aide d’une application de scan. À la fin, ils utiliseront vos données biométriques pour toutes les transactions monétaires.

Cela oblige une fois de plus le public à avoir un téléphone portable sur lui partout pour sa survie. Le réseau de traçage du virus ainsi que le nouveau système de paiement rendent ce dispositif indispensable. Si vous voulez participer à la société, vous n’aurez pas d’autre choix que d’être suivi et repéré à tout moment.

À moins, bien sûr, que vous ne construisiez votre propre système de commerce et d’interaction.

La solution à la tyrannie médicale et à la société sans argent liquide est de ne pas avoir besoin du système du tout pour votre propre survie. Cela signifie que les gens devront construire leur propre économie basée sur le troc et la monnaie locale. Ils devront se débarrasser de leurs téléphones portables et s’appuyer sur d’autres formes de communication comme la radio, ou établir un système de communication numérique séparé et indépendant du système d’établissement. Ils devront devenir des producteurs et parvenir à une plus grande autonomie. Ils devront se libérer du réseau, et cela doit commencer dès maintenant.

Bien sûr, l’establishment prétendra que ces personnes indépendantes sont une menace pour tous les autres simplement parce qu’elles existent. Ils perpétueront le mensonge de « l’immunité collective » et prétendront que les indépendants « répandront le virus », même à ceux qui sont censés être protégés par la vaccination. Et finalement, ils essaieront d’empêcher les communautés découplées et localisées d’exister en recourant à la force. À ce moment-là, nous entrons simplement en guerre avec les élites, comme nous devrons toujours le faire de toute façon. L’alternative est l’esclavage au nom du « bien supérieur », mais il n’y a pas de bien supérieur sans liberté, et il n’y a pas de société sans individualité. Que la pandémie soit damnée ».

Brandon Smith – Alt-Market, le 1er avril 2020 – Traduction Olivier Demeulenaere (avec DeepL.com) – Source originale.

Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)

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11 réponses à Voir l’œil qui nous regarde

  1. Marc dit :

    Bonjour,

    Pour avoir bien baigné dans la spiritualité, qui va de paire avec le new âge, même quand nous n’en n’avons pas conscience, je connais ces croyances concernant le mental qu’il faut à tout prix faire taire.
    Le mental dont il est question ici est plus précisément l’intellect, le système cognitif, indispensable pour une incarcération dans la matrice, tout comme l’égo.

    Ce n’est pas le mental qui nous induit en erreur mais les programmes/programmations, mémoires, implants, incrustés au niveau de l’âme et celle-ci manipule l’égo.

    La prédation n’a pas accès au noyau de notre âme sauf si nous pactisons.
    C’est ce qui permet une possibilité de nous réveiller suffisamment pour renouer avec notre Esprit.

    Lorsque nous parvenons à lâcher suffisamment de croyances, identifier suffisamment de programmes, et parvenir à les désactiver, alors nous retrouvons une connexion plus abondante et plus fluide avec notre Esprit et passons d’un fonctionnement psychologique à un fonctionnement psychique, la Conscience s’ouvre alors et l’Intelligence Créative est accessible.
    Bernard de Montréal nomme cet posture intérieure « l’état supramental ».
    La spiritualité distingue le mental inférieur (l’intellect) et le mental supérieur (connexion avec l’Être scient, notre double qui vit hors matrice dont nous sommes séparés, pour certain.e.s, presque totalement.
    Tout n’est pas que mensonge dans la spiritualité comme dans toutes religions il y a, loi de polarité oblige, un mélange de vérité-mensonge.

    Le savoir n’est pas transmissible, il est personnel et individuel, il peut éclairer autrui.
    La connaissance vient invariablement de l’extérieur et est soumise à la loi matricielle de polarité, donc toujours en compagnie de l’inséparable duo « vérité-mensonge ».

    Il est temps de lâcher toutes croyances et retrouver le Savoir qui participe de notre essence.

    Paix et Respect.
    M

    • Soleil Bleu dit :

      Bonjour Marc,

      On pourrait aussi se dire : Et si l’intellect, l’égo, l’esprit, l’âme, le corps, participaient aussi de cette splendide illusion qu’est l’existence humaine ? Alors y aurait pas de porte de sortie. Sinon à user de l’illusion pour sortir de l’illusion. C’est kafkaïen !

      Peut-on par une action volontaire humaine (qu’elle soit mentale ou spirituelle) sortir de cette illusion humaine ? C’est pas vraiment sûr que l’égo ou l’esprit laissent advenir la réalisation de cette aspiration qui signerait au final leur anéantissement. L’égo, très habile à réapparaître sous toutes les formes et en s’accordant une autre réalité plus acceptable pour son hôte, aura vite fait de créer la parade recréant ainsi une autre forme d’illusion, plus discrète et du coup beaucoup plus trompeuse celle-là.

      Ne serait-on pas dans une réalité temporaire recréant en permanence de nouvelles croyances ? Les unes après les autres jugées erronées à un instant T de notre histoire personnelle, sitôt remplacées par d’autres jugées à leur tour plus sérieuses ou plus « vraies » selon ses aspirations et ses besoins, participeraient ainsi de ce mouvement perpétuel de la Vie ?

      Ce n’est pas leur existence qui pose problème, ce sont les conclusions qu’on en tire et qui s’érigent en « vérité absolue » créant toujours plus de séparation entre « moi qui sait », les autres, et le reste, nous éloignant ainsi et sans qu’on s’en rende compte de cette Union avec Tout.

      Si tel est le cas, alors ça veut dire qu’on ne peut qu’Accepter les règles du jeu des apparences, et Regarder ces croyances pour ce qu’elles sont : Des croyances, créatrices d’un univers virtuel qui s’auto-réalise à travers elles, cela devrait suffire à ne plus être leur jouet. Il ne s’agit plus de les juger, juste de les accueillir, les regarder et Accepter qu’elles Soient. Les Voir, c’est seulement les mettre au jour de notre conscience bienveillante et tranquille, à la lumière de laquelle elles se dissolvent d’elles-mêmes de leur charge lourde et douloureuse. À cet endroit, l’humain est dans le non-agir, c’est de la Conscience qui S’agit

      Mais tout ça c’est mes croyances 🙂

  2. Marc dit :

    Bonjour,
    nous chargeons le mental de beaucoup de méfaits.
    Pour avoir bien baigné dans la spiritualité, qui va de paire avec le new âge, même quand nous n’en n’avons pas conscience, je connais ces croyances concernant le mental qu’il faut à tout prix faire taire.
    Le mental dont il est question ici est plus précisément l’intellect, le système cognitif, indispensable pour une incarcération dans la matrice, tout comme l’égo.
    Ce n’est pas le mental qui nous induit en erreur mais les programmes/programmations, mémoires, implants, incrustés au niveau de l’âme et celle-ci manipule l’égo.
    Lorsque nous parvenons à lâcher suffisamment de croyances, identifier suffisamment de programmes, et parvenir à les désactiver, alors nous retrouvons une connexion plus abondante et plus fluide avec notre Esprit et passons d’un fonctionnement psychologique à un fonctionnement psychique, la Conscience s’ouvre alors et l’Intelligence Créative est accessible.
    Bernard de Montréal nommé cet posture intérieure « le supramental ».
    La spiritualité distingue le mental inférieur (l’intellect) et le mental supérieur (connexion avec l’Être scient, notre double qui vit hors matrice dont nous sommes séparés, pour certain.e.s, presque totalement.
    Il est temps de lâcher toutes croyances et retrouver le Savoir qui participe de notre essence.

    Paix et Respect.
    M

  3. jean dit :

    Bonjour ,

    Pardonnez moi mais je ne saisis pas vraiment le sens que l’on veut donner içi au mot « eveil » ?
    En particulier dans l’introduction  » L’enjeu est l’éveil « .
    De quel éveil parles t on ?

    Définissez vous l’éveil comme suit : (je cite)
    « C’est au prix d’une telle prise de conscience, certes inconfortable, qu’un monde responsable, bienveillant et respectueux du Vivant sous toutes ses formes, pourra s’établir malgré les velléités d’un nouvel ordre mondial tyrannique, qui n’est, rappelons-le, que l’exact et très juste reflet du niveau de conscience actuel de l’humanité. »

    Merci pour la précision.
    Amicalement Jean

  4. Zarathoustra dit :

    Quel que soit la nature des vagues dans la tempête
    Tenez bon votre gouvernail en direction de la Lumière du phare à l horizon
    Même si cette Lumière est infime , ne rien lâcher
    C est elle qui vous appelle
    Vous possédez un outil de prédilection
    Votre Intuition
    Pour cela , faites Silence
    Car le Mental ce grand Diviseur
    N aime qu une seule chose
    Être congratulations
    Zarathoustra

    • jean dit :

      Bonjour ,
      De quel livre tirez vous ces citations Zarathoustra SVP ?
      Car elles résument bien le danger du mental peu importe ce qu’il y entre.
      Merci

      • Zarathoustra dit :

        Bonjour Jean ; très heureux
        Toutes mes citations viennent de mon jardin secret; étant musicien autodidacte ( organiste baroque , Bach , buxtehude ect ) je transforme mes pensées en poésie. La Poésie Amoureuse de la Musique donne naissance à l’Enfant Errant. Ecrire avec son sang, c’est l’ ouverture du Coeur. Ne lire que les livres où vous percevez une Reconnaissance de Vous mème. ( c’est biologique ), bien entendu Je Suis le plus petit des plus petit; trouver la perle et ne plus la perdre. Je vous citerez quelques livres bien entendu. Bien à vous
        Le signataire
        EXPL;
        Il advint un temps où Zarathoustra se promenait parmi les contrées désertiques.
        Sur le sommet d’une montagne de lumière se dressait une petite église dont le clocher en piteux état définissait une plainte accablante et nostalgique. S’approchant de l’édifice une petite voix lui murmura :
         «  Entre ; assied Toi ; reste tranquille et sache que Je Suis. »
         Surprit , il constata que la voûte de pierre avait disparue et il pouvait contempler le ciel d’azur de ce matin frais de Mai. Dehors les abeilles butinaient quelques coquelicots sauvages. Ces abeilles précédaient toujours l’Enfant, veillant à lui pourvoir cette seule nourriture. Dans ce temps les hommes religieux avaient déserté l’édifice , pas assez clinquant à leur goût.
         Zarathoustra  se souvenait du temps jadis où les pierres étaient façonnées par des mains religieuses. Chaque sculpture , chaque message inscrit dans la pierre témoignait de leur Foi vive. Leur actes de sculpteur précédait toujours leurs paroles car ils œuvraient dans le Silence.
         Mais aujourd’hui les hommes religieux pétris de savoir et de rationalisme avaient mis tout leurs zèle au service de l’irrationnel. Maintenant ils étaient devenus cultivés , intelligents mais fous.
         Leur religion ne protégeait plus la Foi des Humbles , des doux , des pacifiques , des vrais guerriers.
         De leur pouvoir , de leur puissance , de leur orgueil tout laissait transparaître leur faiblesse.
         Ils exigeaient maintenant la Foi au service de leur religion et malheur à celui qui voulait protéger son jardin secret. Car ils avait préparé l’humain en lui disant : «  tout doit être transparent pour la plus grande gloire de Dieux car ainsi vous deviendrez libres  »
         Oui le Cœur de Zarathoustra  saigne non pas d’être prostré dans une solitude subie et accablante mais d’une solitude choisie où il devait à tout prix protéger l’Enfant Divin qui l’habitait.
         Ses larmes n’étaient pas des larmes de détresse mais plutôt des larmes chaudes d’une Joie que ces hommes religieux ne pouvaient comprendre.
         Plus le monde basculait dans la misère et plus la richesse spirituelle de l’Enfant  grandissait malgré sa pauvreté choisie.
         Prostré dans un coin de l’édifice en ruine il écoutait le Son du silence. Cette musique du Silence traduisait la tristesse des dieux penchés sur cette petite église ; impuissants , déversant des perles sonores  pour essayer de ranimer ce témoignage des temps jadis.
        L’enfant divin  n’espérait plus mais attendait patiemment que l’Aurore façonne l’Azur de ses petits doigts roses.
         Était ‘il dans un rêve , était ‘ il dans la réalité ? Seule la Source pouvait lui offrir cette connaissance.
         Mais si l’Enfant divin volait sur les sommets les plus vertigineux , il plongeait aussi dans les abîmes les plus ténébreux. Mais prévenu par la Source bienveillante il savait que tout cela n’était qu’illusion. 
         Alors lentement avec acquiescement il subissait cette métamorphose de la chrysalide vers le papillon.
        Zarathoustra

      • Zarathoustra dit :

        Ce que je vis depuis l’âge de 11 ans ;
        Mon « moi » n’est pas illusoire , il est temporaire. La Maya n’est pas illusoire , elle est temporaire.
        Il y a toujours eu Zarathoustra et l’Autre ( la petite voix )
        En conscience l’être humain sait et voit ce que je parais être à l’extérieur , ce qui est tout à fait normal puisque l’on fait normalement ses humanités avec ses semblables.

        Mais inconsciemment le semblable sent que JE SUIS aussi au CENTRE , d’où l’expérience de mes inhumanités. ( particulièrement avec les représentants de toutes autorités religieuses, sociales, politiques…) sans avoir jamais parlé de ma situation que je protège comme un diamant . ( Ils me reniflent sans savoir pourquoi , donc ils préfèrent m’ignorer ).
        Ce n’est pas Zarathoustra que l’on n’aime pas, c’est sa liberté sociale , religieuse, métaphysique…

        Mais il faut la vision de l’Aigle et la ruse du serpent pour ne pas risquer de tomber ou d’entraîner certains humains à renier leur personnalité , perdre leur caractère propre , leur émotions , tomber dans un grand néant pour finir aux mains de gouroux à l’EGO surdimensionné. ( sites new age );)

        « Ce que je croyais être » est en fusion avec « Ce que je Suis » ( la petite voix).
        Je vis à la fois dans le corps sans être dans ce corps ( dans le monde sans être du monde )

        Au fond de nous même ; ce que nous recherchons tous c’est le Bonheur , c’est à dire ;

        «Être tout simplement »

        Être naturel n’implique en aucun cas de renier son apparence humaine , de même avec votre mental . Le mental est un outil utile pour le discernement , par contre il est nécessaire qu’il reste à sa place. Il s’agit bien là de chevaucher le tigre , de tenir les rennes et de ne pas tomber. Tout Cela avec douceur et fermeté.
        Ne jamais renier ses émotions, ses sentiments, ses passions, sa sexualité, son désir car tous les chemins mènent au but recherché.
        Car c’est cela la Voie , la Conscience, l’état Naturel ; le tout dans la conscience que j’en ai chaque matin au réveil.
        C’est ce que j ‘appelle «  surfer sur les vagues de la Conscience » et se fixer comme but ; «  Le Bonheur » ou l’état naturel.

        Le Vouloir ; Amoureux de l’Intuition créent la Synchronicité. C’est à dire ; trouver sa bonne étoile

        La Poésie ; Amoureuse de la Musique donne naissance à l’Enfant Errant. Écrire avec son sang, c’est l’ ouverture du Cœur.

        Sinon ;
        Nous vivons à partir de l’apparence, à partir d’une image ; pure création du mental devenu le Maître. nous devenons alors décentré, excentré; nous sommes projetés à la périphérie de nous mêmes et nous oublions le Centre, le vrai Moi … »
        Les mots créent l’illusion, mais c’est avec les mots que l’on s’extrait de l’illusion.
        Ainsi l’erreur est elle nécessaire.
        Être naturel et parfaitement vivant c’est constater cette erreur et l’accepter.
        Ce péché originel détourné par les religions culpabilisantes.
        Cette chute dans la dualité incontournable.
        Six milliards d’être humains , six milliards d’interprétations du monde en constant changements à chaque secondes qui passe et ce qui est difficile à admettre c’est que ; si Je ne Suis pas , le monde n’est pas.
        C’est cela qui donne le vertige.

        A l’occasion d’une rencontre de Jean Sébastien Bach à la cour de Frédéric II de Prusse  :

        Cette question de Frédéric II à Jean Sébastien Bach à propos de sa virtuosité en posant ses mains sur les claviers d’orgue , JSB lui répondit ; 
        « Il suffit de poser le bon doigt sur la bonne touche au bon moment ( çà c’est du Zen ) mais surtout un peu de talent et beaucoup de travail. »

        Là est la clé ;
        Inlassablement se remettre cent fois sur le travail et corriger ses erreurs.
        Ce n’est pas la partition ( les évènements ) qui pose problème mais le regard que vous déposez sur la partition ( les évènements.)
        La partition est bien réelle mais c’est votre représentation de la partition qui est illusoire.
        Sculpter dans le granit brut du mental pour en extraire la perle d’Or d’une interprétation respectant la partition.
        Le réel recule toujours ; aussi , en avoir conscience à chaque instant.
        Pour cela ; devenir humble , travailler avec beaucoup de rigueur , de fermeté et surtout de douceur ;
        Il en va de mème pour les évènements de la vie.

        La Douceur et la Bienveillance sont les plus belles armes du Guerrier.
        Alors vous vivrez constamment dans la Grande Ivresse ; l’émerveillement chaque matin à l’aube.
        (plus besoin d’alcool, de drogue ou de films porno ). (rire )

        Si notre vraie nature est au-delà des pensées et des émotions. Il ne faut pas tomber dans le « ICI et MAINTENANT » ; tarte à la crème new age car vous finirez par vivre sans tête et tomberez dans le grand vide suicidaire des bouddhistes et des inquisiteurs du moyen âge ( les religions ont toujours glorifié l’Ego) . Oui , les religions possèdent autant de vices que de vertus.
        Car l’Ego lui ne lâche rien. Le « Ici et maintenant » reste qu’une expérience sur le chemin menant au «  JE SUIS »
        Dans le « le JE SUIS , dans l’état naturel , (dans la Conscience , le SOI , Dieux.).. il n’y a pas d’espace et de temps , le « ICI et MAINTENANT » n’existe pas , il n’y a que la PRÉSENCE que l’on ne peu formuler avec des concepts car tout concepts impliquent la notion de ICI et MAINTENANT. (Le concept du Dieux des religions).
        ​Tous les enseignements utilisent bien sûr les mots et font appel à notre compréhension, mais les mots (la Vacuité, la Conscience, l’Espace…) ne sont pas encore l’expérience, même s’ils pointent vers elle ; ils sont insuffisants pour nous ramener chez nous, vers notre Vraie Nature 
        Oui , les mots , le mental sont des outils précieux pour le discernement. Ils ne sont pas encore l’expérience.

        Mais l’expérience n’est pas encore notre VRAIE NATURE…

        Si l’Ego ne vous lâche pas, vous serez toujours dans dans le film , vous n’êtes pas encore devenu l’écran sur lequel se projette le film de votre Vie.
        Les livres , oui c’est bien ; aussi, définir avec notre pauvre langage ; Ce que l’on expérimente , c’est mieux.

        La probité et la sincérité ; c’est un mur de granit qu’il est nécessaire de polir pour en extraire la perle rare. Zarathoustra a souvent été abusé parce qu’il s’est lui mème laissé abusé et ce qui est incroyable ( la ruse du diable ) est qu’il le faisait toujours en conscience. Surtout ne croyez pas Zarathoustra ( encore la ruse du diable ) éprouvez Le .

        Oui trancher sa tête, la poser sur son épaule gauche pour ne plus entendre la grande faucheuse ricaner et ainsi redevenir Vierge , ce n’est pas impossible ; mais inimaginable pour le Mental. Il ne lâchera rien jusqu’au bout et préférera le suicide.
        Mais alors , alors ….

        Descartes a dit «  Je pense donc je suis »

        Mais Zarathoustra dit ;

        C’est lorsque Je ne pense pas que « Je Suis » car ce n’est que bien après que Cela pense.

        Étonnant non ?
        Zut !! Splat !!
        Zarathoustra

        • Soleil Bleu dit :

          Gratitude et étonnement sans nom me tiennent là après avoir lu tes mots Zarathoustra. « Je/je » s’est totalement re-connu dans ce miroir qui m’offre une figure cohérente de Toutes les parties agissantes, sur des plans différents, que j’appréhende de manière intuitive mais qu’il m’est difficile de mettre en mots aussi clairement. Ta dernière phrase m’a littéralement skotchée tant elle a résonné en moi, « C’est lorsque Je ne pense pas que « Je Suis » car ce n’est que bien après que Cela pense. » Elle contient à elle seule tout le dilemme que je vis de vivre les réponses avant que les questions n’apparaissent. C’est difficile d’articuler cette forme de causalité inversée avec l’autre plus commune dans les échanges inter-humains, Cela demande de la mettre sous silence et de jouer le jeu des humanités (ce que je fais) mais j’avoue qu’Être en pleine conscience dans ce jeu de dupe n’a rien de vraiment attrayant, même si Cela a une bonne raison d’Être.
          En tous les cas Merci infiniment de cette rencontre aussi inattendue que nourrissante Zarathoustra, et Reconnaissance sans pareil au Passeur de l’avoir permise grâce à son site. Décidément, ce lieu n’est pas banal !

          • Zarathoustra dit :

            De la synchronicité ;

            « Soleil Bleu- le Passeur-Zarathoustra »

            Bien à vous Soleil Bleu
            Relisez tranquillement ; « Je est un Autre « , et « Ce que Je vis.. ».

            « Le vouloir ; amoureux de l’Intuition donne naissance à la Synchronicité. C’est à dire ; trouver sa bonne étoile ( ou son désir ) »

            Dans la dualité ; (Descartes ) ; le Maître
            « je pense » donc je pose des questions ;
            Ce petit enfant de 11 ans dans son innocence assis sur sa chaise d’école et levant sa main, l’index haut vers le ciel face à son Maître qu’il vénère.
            Puis «  je suis »
            Ce petit enfant dans son innocence lèvres béates ; attentant une réponse de ce Maître vénéré.
            Va devoir acquérir une « connaissance ignorante » et construire son identité supposée d’adulte, ce qui est bien normal pour faire ses humanités et structurer son égo. Surtout ne rien lui enlever mais l’accompagner. Dans son univers « scolaire » ( espace ) ; ainsi il commence à réfléchir (temps ).

            Dans la conscience ; (Zarathoustra) ; le Serviteur
            « Je Suis » juste avant la chute du petit enfant dans son innocence ( la dualité) ;
             C’est lorsque Je ne pense pas que « Je Suis » car ce n’est que bien après que Cela pense. 
            La réponse de la dualité se trouve déjà dans la question de la dualité, elles fusionnent dans l’outil « Ici et Maintenant »  le temps et l’espace fusionnent dans la Présence.
            Votre phrase ;
            « Elle contient à elle seule tout le dilemme que je vis de vivre les réponses avant que les questions n’apparaissent. C’est difficile d’articuler cette forme de causalité inversée avec l’autre… »

            Il n’y a pas de causalité inversée ( dualité ) mais fusion dans la Conscience ; dans la Présence ;
            Et aussi ;  « plus commune dans les échanges inter-humains, Cela demande de la mettre sous silence et de jouer le jeu des humanités (ce que je fais) mais j’avoue qu’Être en pleine conscience dans ce jeu de dupe n’a rien de vraiment attrayant, même si Cela a une bonne raison d’Être. »

            Je pleure des larmes chaudes sur ces mots que vous venez de prononcer…
            Vous avez non seulement compris (dualité ) mais intégré et fusionné Ce qui était déjà là au plus profond de votre Coeur depuis des myriades d’années.

            Maintenant petit Soleil Bleu ; Ce Soleil brille au fond de votre Coeur et vous ne pourrez plus vous empêcher de rayonner non seulement l’amour dualité qui structure notre petit Moi mais surtout L’Amour Conscience que vous apportera chaque seconde d’émerveillement…
            Mais attention prenez votre temps et gardez ce Secret bien enfoui en vous car votre Lumière risque de rendre aveugle votre entourage.

            Armez vous de la vision de l’Aigle; de la ruse et de la prudence du Serpent.

            Comme le dit bien :Graf ci présent sur ce site ;
            « Un vrai souverain ne craint ni la vie ni la mort.Un vrai souverain ne domine pas et ne conquiert pas..Le vrai souverain sert le peuple, sert la vie et respecte la souveraineté de tous les peuples…

            Je ne peux parcourir le chemin à votre place ; si vous comprenez bien vous trouverez…
            Car en vous citant des livres je deviendrai Maître Es enseignement ; ce que je ne suis pas avec le risque de vous influencer et devenir un gourou à l’Ego surdimensionné.Faites confiance à votre intuition, c’est notre Mère souveraine.

            Je ne suis pas un Maître ; Je porte témoignage , cela me suffit. N’essayez pas de me saisir , je suis; fils et
            fille du vent , partout et nulle part, insaisissable.

            Il n’y a pas de Guide, pas de Gourou , pas de Maître car vous êtes votre propre Guide…

            Je Suis votre serviteur , Je m ‘inclinerai devant Vous pour vous laver les pieds et me relèverai pour parfumer votre chevelure d’un parfum des plus inestimable.
            Entrez dans votre chambre pour évoquer votre prière ; la Vie
            C’est un Don inestimable que vous a offert la « Source »

            Un grand Merçi pour votre attention ainsi qu’au Passeur et tout les intervenants sur ce cite.
            Car sans Vous Je ne serai pas.

            Zut !!!! Splat !!!

            Zarathoustra

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