L’acceptation de soi

Un discours clair sur la voie de la conscience de notre interaction avec toute chose. Vers ce chas de l’aiguille qui nécessite l’acceptation de soi pour nous ouvrir la création consciente.

Et de quelle manière possible d’y parvenir.

 

 

Franck Lopvet – L’acceptation de soi – 52mn51′

Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)

 

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Nomade sur le chemin...
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7 réponses à L’acceptation de soi

  1. Zarathoustra dit :

    Du mythe et des achetypes
    Du déséquilibre de la civilisation et de la notion d Ego
    De la volonté de puissance et de la corruption
    De la négation impérative du # Il Faut et Tu Dois #
    Ces deux injonctions prononcées avec bonne conscience et ancrée dans votre mémoire depuis des millénaires nos mènent tout droit à la catastrophe
    N’avez vous pas remarqué que;
    Le costume cravate de l’homme d’affaire, le costume militaire avec galon, le costume du prêtre, du sheikh, de l’ Iman cache une identification démesurée d’un sujet Ego devenu objet
    Si vous menacez simplement avec la parole leurs positions ,ils voueront une haine implacable à votre encontre
    À chaque instant prendre conscience de notre attitude mentale , prendre du retrait, posséder une vigilance
    C’ est la condition de survie
    Le guerrier Apache n’attaque jamais de front le psychopathe
    Il se met en retrait et élabore sa stratégie pour l’ APRÈS
    Il observe le Silence des abysses et la Conscience fait le reste
    Tout lui sera donné
    Observez les oiseaux et les lys des champs , ils vivent dans l’ instant et ne se préoccupent pas du lendemain
    Ayez le regard de l’ aigle et la ruse du serpent
    Ils sont naturels et spontanés car ils sont Conscience
    Zut Splat !!!
    Zarathoustra

  2. Atmosphère... dit :

    L’atmosphère que l’on crée

    On porte avec soi, autour de soi, en soi, l’atmosphère produite par ses actions, et si ce que vous faites est beau et harmonieux et bon, votre atmosphère est belle, harmonieuse et bonne ; tandis que si vous vivez dans l’égoïsme sordide et l’intérêt sans scrupule, la mauvaise volonté sans pitié, c’est cela que vous respirez à chaque minute de votre existence, et cela, c’est la misère, c’est le malaise perpétuel, c’est la laideur désespérée d’être laide.

    En étant bon, en étant généreux, noble, désintéressé, en étant bienveillant on crée une certaine atmosphère en soi autour de soi, et cette atmosphère est comme une détente lumineuse. On respire, on s’épanouit comme la fleur au soleil, on n’a pas de repli sur soi douloureux, d’aigreurs, de révoltes, de misères ; c’est spontanément, naturellement que l’atmosphère s’illumine et que l’air qu’on respire et un air heureux. Et cet air-là c’est l’air qu’on respire dans son corps, et aussi hors de son corps, dans l’état de veille et dans l’état de sommeil, dans la vie et dans le passage hors de la vie – hors de la vie terrestre jusqu’à une vie nouvelle.

    Tout acte mauvais produit sur la conscience l’effet d’un vent qui dessèche, ou d’un froid qui gèle, ou de flammes brûlantes qui vous consument.

    Toute action bonne et bienveillante donne la lumière, le repos, la joie, le soleil dans lequel les fleurs s’épanouissent.

    Par exemple, si au lieu de lire n’importe quoi, et de bavarder, et de faire n’importe quoi, si vous lisez seulement ce qui vous aide à suivre le chemin, si vous n’agissez que conformément à ce qui peut vous mener vers la réalisation divine, si vous abolissez en vous tous les désirs et toutes les impulsions tournés vers les choses extérieures, si vous calmez votre mental, si vous apaisez votre être vital, si vous vous fermez aux suggestions du dehors, et que vous deveniez insensible à l’action des gens qui vous entourent, vous créez une atmosphère spirituelle telle que rien ne peut y toucher, et que cela ne dépend plus du tout des circonstances, ni avec qui vous vivez, parce que vous êtes enfermé dans votre propre atmosphère spirituelle. Et c’est comme cela qu’on l’obtient.

    Mais naturellement, si vous ouvrez toutes les portes, que vous écoutez ce que les gens vous disent, que vous suivez les avis de celui-là et les inspirations de celui-ci, et que vous êtes plein de désirs pour les choses du dehors, vous ne pouvez pas vous créer une atmosphère spirituelle. Vous aurez une atmosphère ordinaire comme tout le monde….
    La Mère ou Mère (Voir ses Agendas par Satprem)

    • John. dit :

      Je commente un peu trop dernièrement. Mais comment pouvez vous savoir que quelque chose est bien ou mal? En émettant un jugement,ce qui est définitivement la mauvaise route. Nous ne sommes responsables que de nous même, en ce sens nous pouvons nous sentir bien ou mal, notre seule responsabilité est de nous sentir bien, et cela aura évidemment un impact autour de nous.

    • François dit :

      C’est purement une illusion…de croire qu’on a pleinement le contrôle sur nos vies, même de l’image qu’on a de soi. Ça s’inscrit bien tôt dans nos vies, par notre entourage, la société, etc. Et qu’est-ce que le bien et le mal? Encore ici, tout dépendra de votre éducation, vos enseignements. Pour ma part, j’ai été tout pour les autres, ventre à terre comme on dit, et je me suis retrouvé le plus pauvre chez moi, avec une image personnelle plutôt faible…Bref, j’ai suivi la voie de la religion Catholique, le dons de soi…bien ceci m’a fait sombrer dans la dépression! Alors, ce que vous exprimez est purement un concept sans fondement. Nous sommes dirigés par une poignée de milliardaires psychopathes, qui je suis sûr, se la coulent douce et se foute bien des plus démunies, et finiront dans les éloges! Il n’y a pas de justice sur cette terre, c’est juste entre nos deux oreilles…

  3. Untel dit :

    Liberté et soumission

    C’est ça qui est remarquable : c’est que lorsqu’on est parfaitement soumis au Divin, on est parfaitement libre ; et c’est ça la condition absolue de la liberté : c’est de n’appartenir qu’au Divin – vous êtes libre du monde tout entier parce que vous n’appartenez qu’à Lui. Et cette soumission-là c’est la suprême libération ; vous êtes libre aussi de votre petit égo personnel, et ça c’est de toutes les choses la plus difficile – et la plus heureuse aussi, la seule qui puisse vous donner une paix constante, une joie ininterrompue, et le sentiment d’une in.fi.nie liberté de tout ce qui vous afflige, vous rapetisse, vous amoindrit, vous appauvrit, et de tout ce qui peut créer en vous la moindre anxiété, la moindre frayeur. vous n’avez plus peur de rien, vous ne craignez plus rien, vous êtes le maître suprême de votre destinée, parce que c’est le Divin qui veut en vous et qui guide tout. Mais ça ne se fait pas du jour au lendemain : un peu de temps et beaucoup d’ardeur dans la volonté, ne pas avoir peur de l’effort et ne pas se décourager quand on ne réussit pas, savoir que la victoire est certaine et qu’il faut durer jusqu’à ce qu’elle vienne. – La Mère.

  4. Untel dit :

    Rien n’est fait à moins que tout ne soit fait.

    Dans la vielle tradition chaldéenne, il y avait une image que l’on donnait très souvent aux jeunes novices quand on les revêtait de la robe blanche ; on leur disait : « N’essayez pas d’enlever toutes les taches une à une, il faut que la robe tout entière soit purifiée ». N’essayer pas de guérir vos défauts un par un, de surmonter vos faiblesses une à une, cela ne mène pas très loin. C’est la conscience tout entière qui doit changer, c’est un renversement de la conscience qu’il faut obtenir, c’est surgir de l’état dans lequel on est vers un état supérieur d’où l’on domine toutes les faiblesses que l’on veut guérir, et d’où l’on a une vision d’ensemble de l’oeuvre à accomplir.

    Je crois que Sri Aurobindo l’a dit : les choses sont telles qu’on peut dire que rien n’est fait à moins que tout soit fait. Un pas en avant ne suffit pas, il faut une conversion totale.

    Que de fois ai-je entendu ceux qui faisaient effort me dire : « J’essaye, mais à quoi cela sert que j’essaye ? Chaque fois que je crois avoir gagné quelque chose, je m’aperçois qu’il faut encore que je recommence. » C’est parce qu’ils essayent d’avancer en restant sur place, ils essayent de progresser sans changer de conscience. Il faut que le point de vue tout entier soit déplacé, il faut que la conscience toute entière sorte de l’ornière dans laquelle elle se trouve, pour monter au-dessus et voir les choses d’en haut. C’est seulement comme cela que les victoires ne seront pas changées en défaites. – La Mère.

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