Les Chevaux de Troie de la Matrice

Sur le plan horizontal de notre expérience, tout à commencé à se déconstruire selon l’agenda annoncé. La surdose d’informations et de désinformations anxiogènes doit mener à une saturation des cerveaux et des émotions ouvrant la voie aux sentiments les plus involutifs, tels la peur, le désespoir et la colère dont la violence découlera. C’est l’objectif qui prend corps à présent aux yeux de tous afin de pouvoir instaurer un ordre mondial tel que l’oligarchie planétaire obscure le projette.

Bâti sur la stratégie du choc, l’événement déclencheur (11 Septembre ou COVID-19) amorce un plan multi-couches, destiné à alimenter les trois niveaux de pouvoir de l’organisation pyramidale : les états et royaumes, illustrant le pouvoir politique visible, puis l’oligarchie planétaire obscure et ses leviers financier, militaire, alimentaire, pharmaceutique, politique, enfin les extrahumains qui se sont emparés de la matrice et son Intelligence Artificielle, avec qui l’oligarchie obscure a pactisé depuis des siècles.

L’oligarchie planétaire obscure n’a ni frontières, ni idéologie politique, ni religion. Elle actionne les rouages du monde des hommes et entretient leurs divisions sans autre attention pour eux que celles qui servent ou desservent ses intérêts majeurs. Mais elle est une communauté elle-même divisée car composée d’égos, majoritairement incapables de dépasser leur condition primaire. Elle est composée de lignées qui ont pris soin de préserver leur génétique et pratiquent des rites sanguinaires inconcevables pour n’importe quel esprit sain.

Si j’évoque ces êtres, c’est parce que si l’on n’a pas conscience de leur existence, on ne peut comprendre la lutte sans merci qui se livre dans les coulisses des apparences qu’on nous sert pour tromper notre vision du monde. C’est l’allégorie de la caverne de Platon que je décrivais en Décembre dernier dans cet article, toujours d’actualité, sur le début de la phase finale de l’agenda sombre.

Cette guerre derrière le paravent oppose des factions qui n’ont plus de vision ni d’objectif communs quant au scénario matriciel où se joue le destin de l’humanité. Le cycle se terminant, le pouvoir sur cette destinée est en train de changer de mains. Il importera que cela ne dépasse pas le temps que durera la transition si l’humain veut retrouver sa souveraineté. Dans l’ombre du psychodrame pandémique, il est procédé à des démantèlements de réseaux et d’organisations, à des destructions de bases souterraines de l’oligarchie obscure et à de nombreuses arrestations qui n’apparaîtront pas forcément comme telles, mais se signeront par le retrait de la scène publique d’un certain nombre de personnages en vue dans différents secteurs de la société humaine. Le virus servira aussi à justifier certaines de ces disparitions.

Nous ne sommes qu’au tout début du processus de chaos nécessaire au changement et notre microcosme dans sa dramaturgie s’inscrit parfaitement dans les cycles cosmiques qui articulent la trame de la création. De guerre il n’y a que sur le plan horizontal ici-bas et pour ceux qui l’imaginent. Comme cela a été déjà dit maintes fois ces dernières années, il conviendra pour chacun de cultiver en soi à chaque instant son alignement, sa sérénité, mais aussi sa veille attentive.

Le chaos à l’œuvre offre à l’humanité l’extraordinaire potentiel d’ouvrir brutalement sa conscience à des niveaux qu’elle n’aurait même pas pu soupçonner il y a encore quelques semaines. Il se joue en France la gamme d’une octave différente parce que l’oligarchie obscure y a laissé une empreinte particulièrement profonde, ce pour des raisons qui relèvent de l’histoire de ce cycle matriciel.

C’est ainsi que les français peuvent déjà voir ce en quoi ils n’auraient pas cru il y a peu. Ils ont le moyen de constater dans la douleur le niveau d’affaiblissement des structures essentielles du pays, les mensonges et les éléments de planification, la réalité crue de l’incompétence de leurs gouvernants – jusque-là exercés à mener le jeu en fonction des intérêts de leurs castes mais bien incapables de se découvrir soudainement attentifs à leurs populations -, mais encore le débordement de cette corruption dans les divers rouages essentiels du pays, jusqu’aux organes de presse de ce grand corps malade de sa non-conscience.

C’est le grand festival des coquilles vides où tout ce qui sonne creux va résonner de plus en plus fort. De quoi déboucher les oreilles, ouvrir les yeux, s’ébrouer et s’éveiller brutalement d’un trop long sommeil. De quoi encore mettre en lumière la solidarité naissante des peuples si éclatante au milieu de l’obscure indignité de leurs institutions.

Si quelques uns pensent encore reprendre le cours de leurs vies passées au bout de quelques semaines, ils se mijotent un traumatisme dont le choc sera à la hauteur de leur illusion. Plus rien ne sera comme avant et c’est tant mieux. L’Établissement d’un nouvel ordre mondial dictatorial est en cours, où les survivants des étapes à venir seraient l’impuissant  bétail transhumain, asservi jusqu’à l’abattoir. Rien de différent de ce que font les hommes à travers l’exploitation animale. Pour autant, si c’est le scénario de départ, la réalisation pourrait ne pas être à la hauteur des ambitions des scénaristes.

Par le biais d’un microscopique virus, l’homme voit s’effondrer ses édifices et peut prendre la mesure de son impact désastreux sur la planète et tous les règnes vivants qu’elle abrite tant bien que mal face à son incurie démesurée. Quelques jours d’arrêt de son activité ont déjà permis aux animaux de réapparaître, aux eaux de redevenir claires, au ciel de retrouver sa couleur. Et l’homme confiné a commencé à sentir ce que sont vraiment ses besoins essentiels, l’importance du lien à autrui, mais aussi sa dépendance et sa vulnérabilité, qu’il a laissés construire par sa négligence et son consentement.

Les événements à venir ne seront pas tendres pour lui, mais ne seront que les fruits de tout ce qu’il a contribué à semer par son inconscience. Et les âmes, comme les fruits, se récoltent. Ce qui est le véritable enjeu pour les parasites extrahumains.

Seule la volonté réelle d’une partie de l’humanité d’ouvrir sa conscience et de prendre toutes ses responsabilités pourra dévier cette ligne toute tracée. Si la doctrine New Age, qui n’est qu’une récupération des êtres en éveil par l’oligarchie obscure, laisse encore entrevoir l’idée d’une aide extérieure, c’est un mensonge de plus. La levée des voiles qui obscurcissent nos consciences ne sera pas un événement extérieur à nous, un cadeau du ciel. Ce sera la conséquence de nos efforts à ouvrir nos canaux de perception, à nous placer en cohérence dans l’équilibre des forces naturelles qui orientent toute expérience du Vivant. Et à nous y maintenir.

La qualité présente des radiations cosmiques, malgré les efforts colossaux d’êtres malveillants pour l’altérer, favorise la fertilité de l’information que nos corps intègrent, du plus épais au plus subtil. C’est la seule aide extérieure sur laquelle pour le moment nous pouvons compter. Cela signifie que le prérequis est établi pour l’ouverture des canaux qui nous relient hors de la matrice, que son étanchéité n’est plus assurée. Nous sommes les chevaux de Troie et le moment est venu de se dévoiler, dans tous les sens du terme.

Que cela vous parle ou non, si cela doit, cela résonnera : les druides, dont l’orthodoxie fût justement préservée en Gaule puis transmise à la toute première chrétienté et protégée au fil des siècles malgré l’étouffement des dogmes obscurantistes religieux et politiques, concevaient cette matrice selon trois cercles : le cercle du Cosmos, le cercle du Chaos, le cercle qu’On ne passe pas.

C’est au-delà de ce dernier cercle qui englobe la matrice que nous avons accès à la Connaissance, le canal divin par excellence. C’est là que nous sommes attendus, pas ailleurs et surtout pas dans l’illusion astrale qui en trompe déjà plus d’un.

Il y a des clés qui ouvrent des portes en nous au-delà des mots et de notre mental inférieur. Ainsi…

Le rayonnement énergétique nourrit les différentes gammes de fréquences de la matrice qui déterminent la forme et l’environnement du Vivant. Ces rayons d’énergie de Vie suivent une trajectoire courbe et s’informent au sein des trois anneaux à travers la gille cristalline (anneau du Cosmos) et la grille matricielle (anneau du Chaos), avant de rebondir en miroir sur une sphère qu’on pourrait plus ou moins comparer en physique à une sphère de Dyson, qui est l’Anneau qu’On ne passe pas.

D’un bord à l’autre de L’Anneau qu’On ne passe pas, les faisceaux d’Énergie dessinent ainsi de parfaits lemniscates représentant une magnifique Fleur de Vie se déclinant fractalement du macrocosme au microcosme. Ainsi s’accomplit par sa géométrie sacrée la respiration des grands cycles auxquels personne ne déroge, jusqu’à la remise à zéro cyclique de l’expérience, où selon l’aiguillage de leur conscience, chaque être individualisé ira en résonance vers sa destination suivante.

Il appartient à chacun de se placer sur son échiquier personnel en fonction de ce qu’il sent le plus vivant en lui et se focaliser sans tension sur l’ouverture de ses canaux vers les véritables plans de lumière et pas leurs pâles copies astrales. La vigilance et l’intention fermement soutenues, répétées, mais détendues, sont de mise. Le plan à l’œuvre est bien plus grand que l’échiquier matriciel et ses acteurs humains et non humains. Chacun peut sentir au fond de lui la foi en ce qui est en chemin, elle est la flamme qui éclaire et la terre qui nous porte. Sur cette base, il n’y a plus qu’à suivre le flux subtil entre les obstacles et tout se révélera à chacun le moment venu. D’une façon ou d’une autre, si on le doit et quelle que soit notre maison, on passera le dernier Anneau. Nous rentrons…

Fraternellement,

@ Le Passeur – 26 Mars 2020 – http://www.urantia-gaia.info > Cet article est volontiers autorisé à la diffusion à la seule condition de ne pas l’associer à une démarche commerciale, de respecter l’intégralité du texte et de citer la source.

Cette série d’articles est réunie dans la rubrique « L’Éveil ».

 

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3 réponses à Les Chevaux de Troie de la Matrice

  1. Patje Seko dit :

    Je pense que ces oligarchies, qu’elles soient planétaires, ou à moindre échelle, sont comme vous le dites si justement composé d’ego, tous aussi insatiables de pouvoir et de domination, et donc de puissance. Ils sont prêts à tout, mais ils sont eux-mêmes les prisonniers préférés de la Matrice. Prisonniers totalement inconscients. Je pense que cette Matrice dépasse nos natures humaines, et que toutes les humanités qui se sont succédées sur Patcha Mama , ont participé, souvent inconsciemment, mais pas toujours ( !) à son élaboration, peut-être même avec de l’aide extérieure ?

    – La Matrice des Mondes –

    La Matrice des Mondes est ce magma d’informations, de chaos entropique sans cesse proliférant, et qui donc accroît et structure depuis des Aéons, la sphère illusoire de ce que l’on nomme la réalité. Une réalité comprise dans l’enclos limité de nos perceptions, et qui se manifeste dans nos existences comme dans tout l’univers dans le cadre de la dualité – observateur / observé – Elle nous renvoie ainsi à une matérialité bien tangible, complexe et structurée, qui n’est cependant qu’apparence. L’Ultime Réalité serait quant à Elle, selon certains auteurs, dont un certain Siddhartha, au-delà de toutes nos perceptions – au-delà de la forme – au-delà de l’espace – au-delà du temps – par-delà les au-delà. Ce Champ de l’Unité Primordiale que d’aucuns appellent le Divin*, ou Conscience UNE. (Les mots sont vraiment de piètres vecteurs de sens lorsque l’on tente d’aborder l’Indicible.)

    Cette Matrice génère et déverse alors dans un flux incessant, ses vagues de chaos et d’entropie, tels les rouleaux déferlants d’un océan d’informations, que pour partie, le vivant engendre lui-même continûment. Ces rouleaux ensemencent ainsi d’informations limitées, duelles par nature, notre sphère mentale et psychique, mais également ils laminent, perturbent et érodent par leurs sempiternelles successions, notre prise de Conscience du Réel, cet Éveil à la Conscience de Ce qui EST, au-delà de la forme.
    Alors, ce sont autant de réalités trompeuses et illusoires, véritables chimères, qui tels des hologrammes sensoriels, parfois splendides et à forte dose émotionnelle, d’autres fois sombres et chaotiques, le plus souvent insipides et étriqués, et qui nous font errer au fils des existences, dans ces labyrinthes sans issues, dans ces champs multiples de la grande Illusion. Ils se multiplient et croissent sans cesse, par une espèce de loi d’entropie qui règne en ces royaumes de la dualité.
    Nous y sommes encore et toujours assujettis, agglutinés que nous sommes, tels des papillons captifs se débattant dans ces entrelacs d’artifices. Cette Matrice est cependant pour partie, bien alimentée par nos propres sécrétions mentales, psychiques et émotionnelles. Les nôtres, comme celles des multiples générations qui nous ont précédées, et qui nous succéderont, dans ce monde comme dans d’autres lieux. Cela fait partie de l’héritage de l’humanité pour ce qui nous concerne. Il participe à notre manipulation, notre formatage que d’aucuns appellent, comme Jung par ex. l’Inconscient collectif, ou les Champs Morphiques de R.Sheldrake, le Potentiel Quantique de David Bohm, ou cet Akasha des Anciens. Tout ceci participe donc, à des degrés divers, à ce que nous sommes.
    Ceci se déroule dans notre bulle d’espace-temps, mais sans doute aussi dans d’autres dimensions impliquées dans « la Manifestation », là où entropie et dualité pourraient toujours régner en maîtres.
    Nous sommes ainsi comme piégés dans nos existences si paradoxales. Nous participons de plein gré le plus souvent, mais à contre-Conscience, à l’élaboration de ces prisons hologrammes – Murs dorés ou Murs de torchis – Puissants ou Misérables – Pseudo Elite ou simple humain – l’Emprisonnement y est le même ! Et l’illusion d’exister y est puissante, peut-être même plus puissante chez les pseudo élites. Certains cependant, ou beaucoup peut-être, voudraient en réchapper. Mais qui le veut réellement et qui le peut ? Celui qui est le résultat condensé de ce formatage ? Cet ego si malicieux ? Comment pourrait-il œuvrer à renforcer l’illusion, être lui-même une illusion, continuer à participer au renforcement des murs de sa prison hologramme, et vouloir en réchapper. Les Anciens avaient nommé cette illusion – Maya – tout ce fatras mental, émotionnel et psychique qui nous occupe tant, nous distrait et nous égare et qui n’a pas de réalité fondamentale.
    Mais qu’est-ce au fond que le réel ? Ce que l’on voit ? Ce que l’on perçoit ? La physique quantique nous informe déjà que ce magnifique champ de coquelicots là, de l’autre côté de la route, n’est pas rouge comme il se doit. Il ne semble ainsi, que par le truchement d’une perception erronée. Car ces délicates fleurs ne sont que des champs vibratoires, des longueurs d’ondes précises que notre cortex décrypte selon son formatage initial, pour nous faire voir rouge !. Et tout le reste de notre environnement est à l’avenant, de notre terre-mère aux galaxies et au cosmos en entier et au-delà même, et cela est donc à appréhender avec cette même notion de réalité très relative.
    Et si l’on zoome encore un peu plus, on s’apercevra que chaque atome de l’univers, est un champ de vide quantique, ou protons, neutrons et électrons dansent leur sarabande magique – la Danse de Shiva ! – dans une sorte de brouillard de probabilités qui se figera en « réalité », lors d’une décohérence provoquant l’effondrement de la fonction d’ondes. Et encore plus loin, ce noyau de l’atome qui semble pourtant être le noyau dur, se subdivise en quarks, puis en cordes, ces vibrations d’énergie. Donc rien de cette matière n’est dure, solide et pourtant nous sommes si sûrs de la réalité perçue. Maya est à l’œuvre. Alors tout ce que nous percevons, nous y compris, pourrait être perçu avec un autre regard.
    Maya est aussi à l’œuvre dans la spiritualité.
    Certaines spiritualités regorgent de ces ténors de la libération sans condition, de ces maîtres ascensionnés, de ses plaideurs d’un nirvâna à bon compte, de ses bonimenteurs étirant leurs mantras « sacrés », leurs moulins à prières et leurs dévotions fiévreuses, aux pieds d’un maître, d’un dieu ou d’un démiurge, quant ils ne se prennent pas eux-mêmes pour l’un d’eux ! Ils assènent leur réalité dont on connaît maintenant la relativité, avec un indice de grégarisme qui est majoritairement élevé. Car par ailleurs, il semble bien que nous soyons – seul – à pouvoir choisir tel chemin plutôt que tel autre, – seul – à pouvoir prendre la décision, et c’est – seul – que nous devrons le parcourir, car personne ne pourra accomplir l’Oeuvre à notre place. Confronté à cette illusion ambiante incrustée en nous depuis tant d’existences, au point qu’elle reste encore notre réalité, certains seront peut-être persuadés détenir la clé ultime, le mot de passe, de bonne foi ou non; mais l’emprisonnement allié à l’illusion s’adapte à toutes ces fantaisies, l’existence s’écoule alors comme le sable dans le sablier. Arrivé à terme, celui-ci bascule, et tout recommence.

    Celui qui, au cours de son Épopée, aura pu goûter ne serait-ce qu’un bref instant, hors de toute entropie, au Nectar du Silence –
    Celui qui aura su retrouver alors dans le secret de son intérieur, cet Élixir de la Vacuité, d’où pourrait jaillir l’Indicible Lumière –
    Celui là, sans doute, aura commencé à briser ses rudes chaînes.
    Il pourra suivre l’éveil de son Intuition, et percevoir ce Souffle venu d’Ailleurs – Ce Souffle qui fait vaciller le Temps. Souffle de Lumière et de Silence, là-bas… tout au fond de Soi – Souffle, dont les spirales s’élèvent en nous indiquant ainsi la Porte étroite, dont parle la Tradition – tout en haut de la Citadelle de la Méditation – cette Citadelle aux neuf Portes, connue de tous .
    Ce pourrait bien être alors comme l’annonce
    du franchissement de la Dixième Porte :

    Et du haut de cette Citadelle
    de la Méditation
    – Des Hauteurs Sacrées de Sahasrâra –
    En ces Lieux ouverts à tous les Vents de l’Esprit,
    Notre âme prendra son envol,
    Car le Ciel semble si bleu.
    Mais il est là un autre regard
    que celui des yeux
    pour le bien perce-voir…
    .
    (Ici, la suite ami, amie, sera sans nul doute bénie pour toi…)

    Chemin de l’Oratoire – Patje Seko

    * (Div UN : di, divus : racine indo-européenne signifiant soleil, jour, lumière, et UN: unique)

  2. jean dit :

    Très bon article , clairement à relire maintenant (juin) pour y voir clair à nouveau.
    Cet article m’avait échappé à sa sortie.
    Merci Passeur
    Amicalement Jean

  3. NFAVIER dit :

    « destructions de bases souterraines de l’oligarchie obscure et à de nombreuses arrestations qui n’apparaîtront pas forcément comme telles »

    hahahaha, ca existe des sites où on nous sert pas de la soupe à bisounours?

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