Le sentiment d’excitation grandit

Par John Smallman.

L’humanité est prête et à l’heure pour son grand réveil. Partout dans le monde un sentiment d’excitation anticipée grandit et s’intensifie, mais beaucoup de personnes n’ont pas la moindre idée de l’origine de ce sentiment qu’elles éprouvent, d’autant plus que les principaux médias sont constamment en train de ne rapporter que de mauvaises nouvelles sur beaucoup de sujets. Même s’il semble n’avoir aucun sens, ce sentiment d’excitation grandit. Et il continuera de le faire, car un évènement d’une importance et d’une portée sans précédent est en train de se produire, les vagues d’énergie qui le précèdent se font déjà largement sentir. 

Tant d’entre vous ont prié et espéré pour ce moment tout en gardant leur lumière haute et en ayant résolument l’intention de le voir arriver. Vos efforts ont été tout à fait remarquables et incroyablement efficaces, et vous allez bientôt le comprendre quand tout se mettra en place exactement comme prévu.

Le plan de Dieu pour l’humanité est magnifique, englobant toutes les connaissances et les prophéties qui vous ont été présentées pendant des éons, et les réunissant en un tout synergique – votre éveil à la pleine conscience. Tout au long des éons de votre existence terrestre, certains d’entre vous ont reçu et partagé des informations et des prévisions au sujet de cette période, et durant les dernières décennies ce flux d’information s’est tellement répandu que très peu de gens sur Terre peuvent honnêtement prétendre qu’ils en sont totalement inconscients. Ils peuvent avoir choisi de le nier, l’écarter, ou le dénigrer, mais prétendre ignorer totalement les prévisions au sujet de l’évènement qui se trouve en face d’eux est irréaliste – tout comme l’illusion.

Cette réticence à regarder au-delà de ce qui peut être perçu et interprété par vos corps physiques eux-mêmes, ou avec les outils que vous utilisez pour les aider, est l’un des aspects les plus malheureux de l’illusion, car cela cache de grandes parties de la connaissance et de l’information qui, sans cela, seraient disponibles pour l’humanité dans sa recherche du sens de la vie. Néanmoins, le plan de Dieu pour réveiller ses enfants bien-aimés ne peut en aucun cas être perturbé, gêné ou retardé par le choix fait par quelques-uns de bloquer la conscience qu’ils ont de Lui et de son amour infini pour eux. Cependant, leur choix de rester ignorants sera honoré pendant que l’éveil se produira tout autour d’eux. Lorsqu’ils seront prêts à changer d’état d’esprit, toute l’assistance dont ils auront besoin pour les amener à l’éveil leur sera fournie, et s’éveilleront alors, eux-aussi, dans la joie merveilleuse qu’est la Réalité.

L’énergie des vagues précédant votre éveil se renforcent continuellement et l’intensification de ce moment se rapproche. Aucun de ceux qui vivent dans l’espoir et l’attente de connaître l’amour dont leur Père les enveloppe ne pourra, en aucun cas, être insatisfait, déçu ou effrayé. La merveille de l’éveil dissout l’illusion tout comme la disharmonie, la confusion et le chaos qui semblaient consumer tous vos efforts pour vous souvenir de Lui et de la réalité que vous partagez avec Lui, toujours.

Comme vous vous éveillez, l’Unité de la divine création vous éclairera davantage vous révélant l’environnement infiniment vaste et beau dont vous vous étiez cachés en vous réfugiant dans vos cauchemars, pendant que tous ceux que vous avez toujours connus et aimés vous entoureront, vous souhaitant un bon retour sur la terre des vivants ! En vérité, la vie dans l’illusion pourrait difficilement être qualifiée de vie à tous, car elle n’a été qu’une simple subsistance soutenue par l’espoir constant, qui s’est changé récemment en certitude, que vous retourneriez un jour dans votre Divine maison. Et ceci est sur le point de se produire, alors que le point final de l’illusion – l’instant de l’éveil – approche pour inaugurer une exaltation débridée.

Avec tout mon amour,

Saul.

John Smallmann – 25.09.2011 – Traduction © Christine pour le site Du Tout et du Rien.

Source originale (en anglais)

Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)


A propos Le Passeur

Nomade sur le chemin...
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110 réponses à Le sentiment d’excitation grandit

  1. Anne dit :

    waouh , je viens juste de lire ce qui s’est passé sur ce site ……très parlant de la situation actuelle de grande confusion (excitation des changements à venir ?) Un peu de mo-même est ds chaque commentaire ,eu envie de retourner à la maison , dépouillement matériel, petite voix toujours là , crainte de ne pas savoir aimer ….mépris des autres pour être une tendre positive , même si je découvre actuellement la nécessité de ne pas se faire polluer grâce à vous ,aussi , mais la JOIE de plus en plus forte qu’à ma grande surprise je me surprend à éprouver , l’AMOUR que j’éprouve pour tout ce qui vit même si parfois je crains que cela ne soit que de l’émotivité , si c’est le cas , je me pardonne…En ce qui concerne Madeleine , les galères de ma vie moi m’ont toujours été source d’apprentissage et finit par me sentir meilleure .Je vois les attentions des autres alors que je n’y crois pas et je remercie , eux et l’Univers ! Cela peut être culpabilisant de se dire que l’on crée ce que l’on vit , j’ai expérimenté ce type de contradiction en soins palliatifs où les spirituels disent aux mourants: Ton cancer du cerveau te dit des choses de toi , tu peux te guérir , la maladie c’est le mal à Dieu….ça ça fait mal , je suis moi-même atteinte d’un sale virus , même si je comprend où il veut m’emmener , je n’ai jamais eu mal à Dieu , en conscience en tout , cas bien sûr je n’ai pas été un ange , loin de là, mais toujours  » mystique « . Ce que dit Waterbreathing me rappelle , concernant l’incarnation , que j’ai toujours eu la sensation de ne pas vouloir venir….et j’ai toujours eu la prétention de dire que j’espérais et ferai tout pour que ce soit la dernière ….J’espère n’avoir saoulé personne avec mes divagations , c’était bon de vous lire , merci à tous , Paix et Amour à tous

    • Lucie dit :

      Anne…
      Nous tous ici, ne sommes-nous pas des saouleurs ?! (sourire)
      Chacun avec propre motivation, dans un esprit de partage.
      Quant aux êtres « spirituels » qui donnent des diagnostics en tous genre…
      Humm…
      Que savons-nous de la guérison ?!

      Que la Paix nous accompagne.

  2. marie christine dit :

    A l’heure actuelle, notre mental regorge de connaissances spirituelles qui nous enthousiasment, et c’est une très bonne chose . Mais elles nous poussent en avant et peuvent nous donner tendance à vivre les choses par procuration ou par anticipation, ce qui ne s’appelle plus être dans le moment présent .

    • alain thomas dit :

      Être dans le moment présent en permanence est quelque chose d’impossible.

      • marie christine dit :

        Oui Alain, ça me paraît bien difficile en vivant la vie du monde . Il y a tant d’énergies qui nous traversent en permanence . Il faudrait être parfaitement conscient de tout …
        C’est pourquoi je pense qu’il vaut mieux se voir avec nos imperfections (ce qui est ton cas, je le sais) plutôt qu’à travers les expériences de ceux qui ont déjà atteint l’éveil . Ca peut être un écueil …

      • Nada dit :

        J’ai écouté une conférence hier soir.

        Ce qui importe ne serait pas d’être dans l’instant présent. Il y a confusion sur cet état du fait des perceptions du temps linéaire et du temps dimensionnel.
        Ce serait de laisser vivre sa Présence dans chaques parties du corps, y compris les plus intimes. Seule sa Présence connaît l’amour, l’acceptation neutre de toutes ses facettes.
        Elle est garante de l’équilibre du  » funambule « .

        L’instant présent est dépendant des perceptions du temps linéaire.

        • Le Passeur dit :

          Ces deux aspects de la présence sont importants. Être dans l’instant présent, c’est avant tout mettre sa conscience en cet instant, quoi qu’il soit. Lorsque je parle d’incarner chaque cellule de son corps, c’est faire descendre cette conscience dans tous les recoins de l’être.

          • marie christine dit :

            C’est vrai, c’est une question de conscience de soi ou en soi, de présence à son être intérieur, et non une conscience superficielle, temporelle, de l’instant présent .
            Il n’en reste pas moins que c’est très difficile car à tout moment l’ attention est sollicitée à droite et à gauche, les émotions mises à l’épreuve, ce qui jette un voile sur la conscience vraie en extériorisant notre attention .
            La maîtrise de soi pour rester centré en toute circonstance va en augmentant, mais de là à dire que c’est définitivement installé dans mes cellules … Ouille ! Je n’en suis pas encore là !

            • Le Passeur dit :

              Il ne faut pas se mettre la pression, il n’y a pas de but à atteindre. Personne ne peut vivre en permanence dans l’instant présent, à moins de demeurer dans l’illumination, ce qui fut peut-être l’état de quelques rares mystiques, mais n’est pas notre but en ce temps. Par contre s’exercer à être le plus souvent possible dans le moment présent, même quelques instants par-ci par-là, facilite cet état et apporte beaucoup à l’alignement de l’être.

          • alain thomas dit :

            La méditation permet d’appréhender l’instant présent et de demeurer.
            Le principe est de se centrer en un point.
            En fait, on médite sur rien. Il n’y a rien à atteindre ni rien à obtenir.
            On utilise l’attention puis la vigilance (qui est un rappel de l’attention) et la détente, qui est l’ouverture du coeur à l’espace infini intérieur.
            On n’est pas obligés de choisir un objet de méditation mais c’est plus facile d’être assis sur une chaise le dos bien droit et d’être immobile, le regard fixe sur un point que l’on choisit entre celui le plus éloigné et son propre regard (comme si les yeux ouverts, nous regardions à l’intérieur de nous-mêmes).
            On peut fixer son attention sur la respiration si on se sent envahi par des pensées perturbatrices incontrôlables. Il n’est pas question de ne pas penser, c’est impossible. On doit juste laisser passer les pensées et ne pas les enchaîner les unes aux autres pour en faire une histoire. Enchaîner une pensée à une autre revient à être distrait. On fait appel alors à la vigilance (la petite lampe de la conscience) pour ramener son esprit en lui-même.
            On peut ainsi, en étant spacieux et ouvert, en étant attentif et vigilant, flirter avec l’instant présent et découvrir sa vraie nature immuable.
            Chacun ensuite vit ses propres expériences, comme la luminosité, la vacuité ou encore l’interdépendance.
            Le but est d’apaiser son esprit, le calmer en quelque sorte et aussi prendre conscience de celui-ci, de ses mouvements incessants et de la nature de ses émotions et de ses pensées.
            Ainsi, il est possible d’intégrer cette pratique (samatha) dans la vie de tous les jours par l’observation de son propre esprit. L’intérêt étant la prise de conscience de tous nos mouvements, le repérage de nos passions et de notre tendance à mentaliser sans cesse.
            C’est extrêmement difficile de transformer son esprit en vue de le dompter car l’enjeu est bien là : dompter son esprit afin ensuite d’éviter de faire du mal ou encore de cultiver le bien pour autrui.
            Quant à atteindre l’Eveil, y-a du boulot… boudiou.

      • Christine dit :

        Le moment présent par essence n’existant pas vraiment (1 seconde après ou avant et nous n’y sommes déjà plus) il est plutôt question d’être présent à l’instant.

  3. alain thomas dit :

    Personne ne sait exactement comment les choses vont évoluer.
    Nous avons quasiment la certitude, parce qu’elle est rationnelle et prévisible, que la crise que nous vivons sur le plan mondial est systémique.
    Cela signifie que nous arrivons prochainement à la fin de ce système en place.
    Bien mais qu’arrive-t-il ensuite ?
    Et bien si notre mère la Terre et notre père le Soleil estiment que notre conscience globale nous permet de continuer à évoluer ici tout en changeant de dimension, le lien ci-dessous nous laisse entrevoir une possibilité de vivre sur cette planète sans argent ni politique, ce qui ne serait déjà pas si mal.

    http://zeitgeistmovementfr.over-blog.fr/article-communique-francophone-du-1er-octobre-2011-85579880.html

  4. Waterbreathing dit :

    @abricotier;en fait, ce que je ressens sur l’éventualité de précipiter sa sortie, c’est le sentiment de n’avoir rien à faire ici, de n’etre pas à sa place, de n’avoir su de toute façon la trouver, et de ressentir en terme de bilan, qu’au bout de tout ce temps dessai à se vivre de ce monde, il y a comme ce constat de ne avoir reussi à « se rendre d’ici ». comme si tu plantais une graine qui ne germait pas, car terrain incompatible & co.impression d’etre partie pour un voyage qui a fini de se perdre à dériver en des espaces de vastes nulle part.

    Alors la mort dans cette optique, c’est d’une totale facilité, car c’est le chemin le plus rapide pour rentrer chez soi.c’est exactement ce que je me dis parfois,  » je me casse, j’arrive pas à me rendre complètement d’ici de toute façon, c’est comme ne pas etre venu finalement, rien qui m’accroche, – il parait que ‘est ne pas avoir d’ancrage, toutefois j’ai pas la moindre idée de comment on devrait s’ancrer ? surement en étant connecté physiquement, bah c’est pas gagné. impression aussi malgré moi que cela passe par une certaine inscription communautaire qui permet de s’établir matériellement, ça « je sais pas comment on fait », j’arrive plus à tolérer d’entrer en relation avec les autres par nécessités, me saoule l’idée d’avoir à se « forger » une place, la prendre, etc.
    maintenant, je sais pas ce que cela me vaudrait en terme de « vie » à venir, mais pour ma part, à songer à l’éventualité de sa mort, je ne songe pas à d’autres vies, d’avant, ou à venir, et d’un coté, ce qui est presque une forme de douleur pour moi, tient à cet incessant cycle de répétitions, ou de « vies », rien ne semblant s’en extraire, un inéluctable qui ferait que l’on ne pourrait que dire « oui » à ce que nous vivons, qu’importe de quoi il s’agit, pour avancer.

    est-ce ainsi que je veux rentrer « chez moi « ?bonne question ..franchement, me dire que j’ai choisi de m’incarner, c’est du plus hypothètique pour moi, peut-etre que si j’avais eu ce retour sur ce que je vivais plus jeune, cela m’aurait fait avancer. à présent, d’envisager cela, cela me me dire que c’est pas parceque je l’ai choisi que je vais y arriver, que je peux arriver à vivre, aimer, trouver cela fun, etre bien ici, etc.c’est pas parceque qqchose en moi l’a choisi de je ne sais ou et qd, que  » je devrais » vivre à présent.C’est une bonne question, car si avant, et toujours encore (mais moins, de moins en moins) à fléchissement de vitalité, c’était linstinct de survie qui me faisait continuer à vivre par « peur de la mort », c’est de moins en moins le cas, je l’envisage, plus tranquillement.
    J’ai pas encore de réponses à cette question, mais elle ma permis d’explorer un peu mieux le sentiment qui est en cause dans tout cela.
    effectivement, parler comme cela de la possibilité de « sortir de scène », est difficile en général.

  5. Valérie dit :

    Bonjour et encore merci pour vos mots.
    je vais apporter ma petites pierre à cet événement théâtrale qui vous a réunit ces derniers jours : Madeleine.
    Nous sommes tous confrontés à des personnes comme Madeleine, considérant que le monde est injuste, que les autres sont responsables, qu’ils sont persécutés par le système et que les doux dingues qui parlent de synchronicité, de responsabilité individuelle et d’une source qui est amour, sont de doux dingues coupables de ne pas vouloir faire la guerre au mal.
    J’ai un jour compris que je n’y pouvais rien, que je n’avais à convaincre personnne, que mon chemin n’est pas le chemin du voisin, que la lumière est partout même si je ne la perçois pas forcement d’emblée chez mon frère qui vibre de colère, de haine et de chagrin.

    Je passe mon chemin sans jugement et avec amour. Et d’ailleurs, je ne rencontre plus ce genre de personnes…..tous ceux qui gravittent autour de moi, une heure, une journée, une vie, sont tous en voie d’éveil.
    La vie est bien faite, nous sommes tous là ou nous devons être ce me semble.
    Bonne sortie de dualitée à tous.

    • Waterbreathing dit :

      de lire ce type de position, que je peux comprendre, je crois, un peu .. pourtant, cela me fait me sentir plutôt entre deux mondes( ou trois, ou quatre, mais disons, ici, entre deux postures).Parceque je trouve cela excluant, en un sens, ou sélectif .. peut-etre, ‘harmonieusement », mais excluant, c’est souvent ce qui me fait osciller entre plusieurs positions.
      Les idées de madeleine sur une quelque machination ne me parlent pas, mais je trouve ce « monde » injuste, oui ..je trouve qu’il ne laisse pas vraiment le choix de se retirer hors de son jeu.mêle en pleine lumière que vivent, ou disent vivre certains, la plupart sont toujours dans ce système, à composer avec, leur attitude de détachement m’inspire un sentiment mitigé.. à la fois, j’arrive à me le représenter à ma façon, d’un autre coté,.. et ben je trouve cela « rude », difficile, presque cruel, je ne sais trop pourquoi, puisque normalement les personnes l’expérimentant sont censées envoyer de l’amour ».. p-e car c’est un détachement souvent incomplet, . .. la responsabilité personnelle au présent ( pour moi, dire oui, à ce que l’on vit, en d’autres termes) me déprime comme issue par moments, dans le sens que j’ai pas la moindre envie parfois de me responsabiliser complètement meme de choses qui ne tiennent pas à moi.. l’état de ce monde, faire avec ( j’ai pas envie ^^) des éléments autour de moi, qui « passent en moi », mon propre parcours, qui tient à une foule d’empreintes non miennes pour cette seule vie, du moins .surtout, j’ai du mal à comprendre ce que l’on fout les uns avec les autres..
      bref je vous lis, et j’ai le sentiment comme l’on dit, d’etre le séant entre deux chaises 😮 et je ne me retrouve nulle part.

    • Waterbreathing dit :

      Par ex, vous parlez de passer son chemin.. que vous ne rencontrez plus ce genre de personnes, selection harmonieuse à mon sens .. mais que feriez vous, ou ne feriez vous pas, face à une personne qui vit ce que vit madeleine, ou est en proie à des memes réactions ?Qu’est-il à faire ? nécessairement passer son chemin ? est-ce la seule voie face aux sentiments plus négatifs, difficiles, douloureux ? laisser les personnes face à elles memes, voire, dans certains cas, « injustes » au regard de certains, ne rien faire, et « passer » ? en regardant avec amour ?

      • Le Passeur dit :

        On ne peut forcer personne à entendre ce qu’il ne veut pas. Lorsque quelqu’un demande de l’aide, encore faut-il qu’il soit disposé à la recevoir. Et l’aide la plus adéquate est rarement celle qu’aurait souhaité l’ego.

      • Nada dit :

        Depuis quelques jours, je me dis que maintenant je ne veux plus être dans la relation d’aide à autrui ( individus ou sociétés ). J’ai envie de rencontrer des êtres assumant leurs choix d’incarnation en 2012.
        La majorité des éveillés aux choses invisibles sont nés pour être dans cette relation d’aide, et ont souvent choisi des métiers relationnels, dans les villes. Je pense cela dans le sens d’accompagner le maximum d’humains, sous des formes diverses, aux changements planétaires en cours.
        Si je ne suis pas seul dans cette prise de conscience de cesser d’être réceptifs aux situations relationnelles problématiques, cela peut signifier que c’est le timing pour être créateur des ses quotidiens sur terre.
        En cela, offrir d’autres possibilités au monde que ce triangle : victime, bourreau, sauveur.
        De lâcher ces rôles de sauveur, si inclus dans les démarches des éveillés.
        Ce n’est ni égoïste, ni égocentrique, ni indifférence. C’est : « Maintenant, passons à autre chose ! »
        Il y a assez d’humains qui ont encore besoin de soulager ou d’enseigner autrui, et qui sont très compétents.

        • Le Passeur dit :

          Je suis assez d’accord avec ça. C’est à mon avis la meilleure façon de contribuer à ce que le collectif avance.

          • alain thomas dit :

            L’aide à autrui ne consiste pas à rester assis à un endroit et attendre celui qui souffre en laissant la porte ouverte.
            L’aide est spontanée parce que nous vivons en interdépendance.
            A moins de vivre dans une grotte (ce qui est une belle expérience), imaginez les gestes que vous faites dès le réveil jusqu’au coucher le soir. Visualisez-les uns par un, seconde après seconde et constatez avec étonnement que vous n’en faites pas un sans l’aide d’autrui. Tout ce que vous faites, même manger, vous le faîtes grâce à autrui. Vous-même, dans votre activité, vous participez à ce jeu de l’interdépendance.
            Chaque être apporte sa contribution à l’évolution de notre monde. A chaque instant, tout être humain a la possibilité de co-créer grâce à sa capacité innée, émanée du divin.
            La symphonie est une parfaite illustration de ce que l’homme est capable de faire dans la synchronicité.
            Afin d’orienter notre conscience globale dans l’harmonisation et la paix, il est important que le plus grand nombre d’êtres fassent basculer la conscience du mental dans celle du Coeur. Pour cela, chaque main ouverte crée la main tendue pour l’unité.
            Il ne s’agit pas de s’extraire du monde mais de fuir les mondanités ce qui n’est pas la même chose. Mais si nous croisons dans la rue une personne en souffrance ouvrant sa main et si nous sommes attentifs à sa souffrance, nous ne pouvons ignorer cette personne. Nous pouvons même nous asseoir simplement à côté d’elle et faire acte de présence pour le moins. Ensuite, tout est possible.

        • Waterbreathing dit :

          Votre message me parle assez.enfin, j’ai eu des pensées et inspirations très proches.
          Considérant que la relation d’aide est souvent un piège pour soi, et pour autrui.ce sont d’ailleurs la pauvreté de ces trinagulations (strangulations ? ) relationnelles, tel que vous décrivez, qui m’ont rendu à une overdose, une saturation, un certain, dégout, je dois, dire de ce que fait l’humain, avec lui, et ses pairs.Croire qu’il faut nécessairement « aider » quelque chose, quelqu’un, est axer l’équilibrage de sa vie sur des problèmatiques; ici la « souffrance », en général.on est pas venu ici pour ‘aider » et seulement aider.

          Toutefois, mon sentiment est encore à ce niveau une position mitigée, ou je me sens toujours « mal » face à la souffrance d’autrui, et la relative impuissance à y faire quelque chose, tout comme d’ailleurs lorsque je peux me retrouver de l’autre coté de la situation.c’est plus il me semble que je l’amalgame alors avec la mienne, et ai peine, à ne pas vivre en instantané une « communion’ par la souffrance, qd bien bien même, je n’ai pas l’impression de ressentir grd chose en ce moment.
          Toutefois, passer mon chemin, et regarder avec amour, arf ….. c’est un peu trop pour moi.
          cela me fait penser à la position de certaines personnes, qui en viennent par presque trier leurs rencontres, relations, par une considération d’énergie positive, ou négative, tiens celui ci, est dans des énergies pas assez « vibrantes », écartons .. une telle perspective n’est pas non plus ce qui est décrit par sylvie comme un phénomène de résonance des rencontres s’attirant par leur correspondance en fréquence.mais à quelque chose près, c’en est pour moi une forme de dérive qui me met plutôt mal à l’aise ..

          • Nada dit :

             » cela me fait penser à la position de certaines personnes, qui en viennent par presque trier leurs rencontres, relations, par une considération d’énergie positive, ou négative, tiens celui ci, est dans des énergies pas assez « vibrantes », écartons ..  »
            Ah, je vois que je ne suis pas seul à le penser.
            En général, depuis longtemps, si une personne pense, agit ainsi, je sais que je ne suis pas en confiance de route avec.
            Ma foi dit que toutes les personnes rencontrées, de l’intime à la rue, sont de vieilles connaissances. Et mon âme a choisi ces rencontres, afin que je puisse terminer ce long voyage d’incarnations.
            Qu’importe le noir ou le blanc !
            L’essentiel fût de préserver mon équilibre, malmené par ces demandes d’aides, voire de  » détresses « .
            Car, autant le noir que le blanc sont des déséquilibres.
            De mon avis, les plus déséquilibrés sont ceux affirmant haut et fort être blanc comme neige, et incapables de faire face à leurs noirs.
            C’est un bout de chemin pour eux.
            Pas le bout du chemin.

            Les leçons, donc en ce début d’automne 2011, sont :  » Passons à autre chose ! « . Si vous ressentez que c’est votre dernière incarnation, écrire FIN.
            Cf le texte  » Les familles d’âmes se positionnent « .

            Que chacun se responsabilise.
            D’ailleurs, l’efficacité d’une aide est celle où l’aidant et l’aidé co-participent: chacun est responsable de son rôle, puisque sans aidé, il n’y a pas d’aidant.

            Madeleine cherchait aussi, ici, la compassion sous forme d’apitoiement. Puis, comme cela n’a pas réussi, a cherché l’intimidation ( cf les propos concernant sa violence en privé).
            Elle ne demandait pas une aide morale, elle cherchait de l’énergie comme font les victimes de…En culpabilisant ….à mort celui qui ne donne pas.
            Les sauveurs lui en ont donné. Non parce qu’ils en ont à  » revendre « , mais parce que le sauveur puise de l’énergie en d’autres.
            Cela n’a pas suffi.
            Et puis, d’autres ont refusé ce jeu de vols d’énergie.

          • Waterbreathing dit :

            Oui, l’aidant et l’aidé peuvent (j’aime pas dire doivent , y a aucune obligation, justement) coopérer, et il n’y a ainsi plus de sauveurs.. il y a un danger dans le souhait d’aider, qui est celui de souhaiter inconsciemment se soigner-aider soi, ou de soigner une douleur personnelle, à travers le service, ou l’aide à l’autre,(et à la fois, je ne crois pas qu’il y aurait bcp de personnes inspirées par cette voie, sans cela).
            l’aide n’est peut-être pas l’entraide, l’interdépendance harmonieuse, qui serait naturelle dans nos vies, pour encore mieux aider, montrer une voie qui trace sa lumière , et se sort de ces schémas problèmatiques embourbés , une voie ou l’on est pas venu ici pour vivre avec toute cette souffrance et la perpéter.de même à me faire envahir par la détresse d’autres, j’en ai perdu un équilibre qui certes n’était déjà pas .. euh si « équilibré », puis d’ailleurs, le jour ou j’ai fait face à la mienne, il n’y avait aucune aide, et j’en étais de toutes façon, bien hors de portée.
            à ce jour, il m’en est donc une presque difficulté à intégrer le sentiment de son humanité de manière plus positive. je ne vois comment le dire autrement..au point d’avoir fleurté en esprit avec des aspects sombres , aussi en résonance avec des mentalités cotoyées plus jeune dans mon entourage de proximité.

            Pour ce qui est de ces personnes sélectives quant à la vibration de leurs rencontres .. ce n’st pas loin de me faire penser à qui sélectionnerait des rencontres selon la richesse matérielle, l »attrait esthétique, le niveau d’étude, et j’en passe(Sur ce site même je lis parfois en qq messages  » n’ayons aucune pensée, ressentis négatifs, ( n’est-ce pas une vision très duelle d’ailleurs de tout trancher en positif, neg), et des personnes qui se disent ‘ je pense des choses comme ceci, est-ce « mal », n’est-ce d’ailleurs pas etre complètement dans le jugement vis à vis de soi, et de l’autre de trop lui conseiller de purifier tout le « négatif » en lui)
            ..cela me semble une approche peu sensible, et éloignée de la compassion dont il est souvent parlé, et finalement, égoiste.sinon votre message me parle, sur comment vous vivez ce sentiment de rencontrer de veilles connaissances, sur le trajet de votre incarnation, bien que je ne le vive pas exactement de cette manière.

            Pour revenir sur la responsabilité et d’ailleurs vos exemples cités à madeleine; il y a qq jours une personne de handicap internationnal m’a abordé pour me fare part des besoins de son association, qui s’occupe de certaines personnes qui peuvent avoir perdu des membres dans des accidents de mines, ou encore qui au vue de leurs conditions de vie rudes n’ont pas eu accès à l’éducation. et bon, là je me dis, ouch, je fais un parallèle avec votre propos sur la responsabilité, et madeleine, lorsque vous avez effeuillé des dimensions de sa vie en questionnant une responsabilité qu’elle rejetait sur d’autres .. me suis demandé, peut-on dire , sans verser dans un versant pathétique, ou de culpabilisation, à une personne qui aurait eu un parcours des plus difficile tel que je décris, mais tel que d’autres  » bah, si tu tes fait fait sauté sur une mine, tu dois en prendre la responsabilité maintenant, et puis toutes tes conditions de vie, c’est pareil, car tu les as p-e choisi de je ne sais qd et ou avant de naitre, ou dans une autre vie ! » responsabilise toi mon gars ! »  » tes responsable de pas avoir de travail car tas pas eu accès à l’éducation, tu n’as pas « préparé ta formation professionnelle »..
            évidemment, c’est caricatural à escient, car chaque parcours est unique, et transposée à des situations plus extrèmes, c’est une approche complètement indélicates; mais bon, le principe de « on est respionsable de sa réalité », à tester dans des cas ou c’est plus « difficile » à avaler.

            Ici cela peut se dire car somme toute, nous sommes face à un écran, c’est plus aisé, d’ailleurs aussi pour une personne souhaitant se victimiser, les éléments de vie sont aussi moins tragiques, moins douloureux.
            C’est un peu ce qu’Anne décrit aussi sur des personnes qui vous disent que attaquez dieu par vos propres maladies, en cancer terminal. ces personnes, vous le disent en les pires conditions que vous expérimentez ( d’un coté, j’ai tendance à croire cela possible, d’un autre, je trouve cela, limite cruel, d’aller dire cela à une personne qui souffre certaines affres critiques )..ou alors de les considérer piégés en des mondes inférieures de dualités, et verser une larme d’amour compassionnel( mais de loin), en leur envoyant une pensée d’amour, en lui souhaitant d’évoluer dans une autre vie.

            bref. je ne « sais » pas si c’est ma dernière incarnation.Que cette vie devrait , ou pourrait etre la première et dernière est ce que j’ai pensé dès la prime enfance, et ceci m’est ressurgi à la mémoire récemment.je me retrouve dans de nombreuses inspirations dont celles que vous expriméz rien qu’à travers votre dernier message, pourtant, je me sens comme incroyablement crevé de la vie, donc pas trop en capacités de me super responsabiliser de mon super moment présent avec tous mes amis qui sont là pour cela, avec une confiance en la vie, que je n’arrive plus toujours à vivre, et surtout, une confiance en l’humain ..
            mais votre message mindique des pistes tout de meme

          • Waterbreathing dit :

            Ici cela peut se dire car somme toute, nous sommes face à un écran, c’est plus aisé, d’ailleurs aussi pour une personne souhaitant se victimiser, les éléments de vie sont aussi moins tragiques, moins douloureux.
            et car c’était la personne de Madeleine (dernière fois que je la cite, j’aime pas qd les gens sont pas là) qui vous renvoyait sa propre responsabilité, s’en déchargeait et la faisait porter à d’autres ..

  6. Abricotier dit :

    Bonjour à toutes et à tous,
    Les échanges d’hier avec Madeleine m’ont laissé un profond sentiment de malaise, persistant encore maintenant.
    Nous avons collectivement plongé allègrement dans tout ce que nous affirmons vouloir quitter : actions-réactions, jugements, conseils péremptoires…
    Bien des messages nous ont prévenus que nous aurions à être particulièrement vigilants dans cette période pour rester centrés.
    Hier a été une belle illustration que nous avons à hausser notre niveau de vigilance et Madeleine en a été le révélateur. Merci à elle.
    Je nous souhaite à tous d’arriver à ne pas recommencer.

    • Le Passeur dit :

      Il n’y a rien eu de négatif de la part de ceux qui ont voulu lui répondre. En revanche, elle a un certaine prise de conscience à faire sur elle-même, qu’elle fera ou pas selon ce qu’elle décide. Son ton a été bien plus agressif et insultant par email et j’estime que tout ça n’a pas sa place ici.

      • Abricotier dit :

        Passeur,
        En aucun cas je ne me permettrais de contester ta décision ni de la juger.
        Je respecte tes raisons.
        Bonne journée à toi

      • alain thomas dit :

        Passeur n’as-tu pas créé un espace total de liberté d’expression ?
        Comme la seule constance de la Vie est l’inconstance, Madeleine ne peut-elle pas maintenant à nouveau s’exprimer et montrer un visage différent, tout aussi inconstant certes, mais sûrement enrichissant ?

        • Le Passeur dit :

          En fait, elle n’a plus laissé de message, donc je n’ai pas eu à intervenir. Si elle revient avec une autre facette d’elle, ce dont je doute un peu au vu des insultes que j’ai reçues par email, on verra bien. Je laisse toute liberté d’opinion mais je ne laisserai pas cet espace être envahi par des gens qui manient l’insulte et l’agressivité, c’est mon choix et je l’assume. Il est basé sur l’expérience d’amis qui ont crée des forums et qui tous se sont heurtés au bout d’un moment à la triste nécessité de contrôler les écrits de ceux qui agressent derrière leur clavier. C’est bien dommage, mais en tout lieu d’expression publique, il y a toujours des dérapages, qui du coup en amènent d’autres jusqu’à ce que le lieu soit déserté par les êtres qu’on aurait aimé voir rester.
          Il y aura de plus en plus de pétages de plombs dans les temps qui viennent, d’ailleurs deux personnes à l’origine de deux sites web différents et connus, m’ont avoué qu’ils songeaient peut-être fermer les commentaires pour cette raison. De mon côté, ce n’est pas mon souhait, mais ça impliquera une certaine vigilance.

          Par ailleurs, ce n’est rendre service à personne de laisser la victimisation faire son œuvre. Si on voit la situation en dehors de toute émotion, on voit donc quelqu’un qui a une vision assez négative de l’humanité et qui pourtant a fait une mauvaise affaire immobilière par un excès de légèreté assez contradictoire, puis qui accuse autrui d’en être responsable et vient se répandre ici dans une tentative d’apitoiement qui n’est rien d’autre qu’une emprise plus ou moins consciente sur l’énergie d’autrui. L’ego a bien des atouts dans sa manche pour masquer ses faiblesses, y-compris celle-là.
          Je sais que c’est une vision un peu rude, mais tout être en souffrance, et dieu sait que l’humanité tant qu’elle demeure aveugle sur elle-même est en souffrance, doit à un moment ou à un autre regarder en face les vraies raisons de sa souffrance s’il veut en sortir. Ca c’est son trajet personnel, et qui n’a de plus vraiment rien à voir avec le message de John Sallmann. C’est en tout cas mon avis.

          • Lucie dit :

            Quelle lucidité, Passeur !
            Puisse Madeleine, se reprendre !

          • marie christine dit :

            Je partage entièrement votre vision des choses, Passeur .
            La méthode du « laissons faire et advienne que pourra » est irresponsable et dangereuse .
            S’efforcer de maintenir la cohésion d’un groupe reflète, à mon avis, la même attitude que l’on adopte pour soi-même : vigilance, discernement, attention à ne ne pas se laisser envahir et polluer par n’importe quelle vibration négative, dont on a du mal à se dépétrer par la suite .
            A moins qu’un esprit malin logé en nous n’y éprouve un certain plaisir …
            Mais si on veut sincèrement et honnêtement poursuivre le but divin qui nous anime, nous devons protéger le blog comme un cocon de beauté, de bonté et de vérité, surtout en cette période de fragilité due à la transformation en cours .
            Pour ma part, je ferai toujours ce qui est en mon pouvoir (de manière plus ou moins maladroite peut-être, mais profondément loyale) pour contribuer à maintenir le bateau à flots avec tous les êtres de bonne volonté qui s’expriment ici et dont je salue la foi et le courage .
            Allons-y ! On est sur la bonne voie !!!

          • seselwas dit :

            Cher Passeur,

            Je suis entièrement d’accord avec vous et je préfèrerais que vous n’autorisiez plus aucuns commentaires si nécessaire plutôt que de jeter l’éponge en cas de débordement. Il faut penser à toute les personnes qui s’enrichissent ici. J’ai été témoin impuissante d’un problème sur un autre site et c’était désolant. Merci pour tout. Bonne journée.

          • alain thomas dit :

            Bien sûr Passeur, je te rejoins et d’ailleurs, cet espace est le tien.
            Mon seul message est qu’aucun individu ne sera laissé au bord de la route.
            J’en profite pour dire à Madeleine qu’il n’y a pas d’injustice au plan divin.
            Nous sommes tous responsables de nos actes et ce ne sont jamais les autres qui les font à notre place.
            Certes, parfois les autres nous obligent à réagir et même à agir.

            Un jour, sur un bateau contenant 300 personnes, un sage qui écoutait le silence de la nuit sur le pont, intercepta une conversation d’un homme qui fomentait de faire sauter le navire.
            Après s’être assuré que le complot était bien réel et imminent, le sage réfléchit aux différentes solutions qui s’offraient à lui et se rendit compte qu’il n’avait pas le temps matériel ni les moyens d’arrêter cet homme dans son intention.
            Il n’eut pas d’autre choix que de le tuer.
            Il éprouva une grande tristesse pour l’homme qu’il tua et pour lui-même dans l’acte qu’il commit.

            Nous vivons dans un monde illusoire dans lequel nous croyons exister en tant que personne indépendante.
            Nous faisons partie d’un jeu auquel nous avons accepté de participer.
            La Terre est une magnifique planète, splendide. Il suffit de l’observer avec attention et nous avons à chaque instant la possibilité de nous émerveiller devant sa beauté.
            L’homme évolue sur son chemin dans l’ignorance de sa réalité absolue.
            Il croit en la dualité et la séparation alors que le but du jeu est de ré-unir en lui-même l’aspect animal qu’il a accepté en tant que corps matériel avec l’aspect divin dont il est originaire. Il doit établir le pont par la foi et l’aspiration pour rejoindre la Source dont il n’est jamais séparé.
            La souffrance est là pour rappeler que tout ce que nous faisons engendre de la joie ou de la souffrance selon notre mode de pensée. Personne d’autre que nous peut influer sur notre mode de pensée. C’est à nous d’écouter notre coeur lié à l’éthique et à nous fier à nos intuitions.
            Nourrir de la haine et faire porter aux autres le poids de tous les maux engendre la haine et la rancoeur.

    • Lucie dit :

      Oui, profond sentiment de malaise…
      Madeleine est en difficulté, à n’en pas douter.
      Apporter son aide à un être en souffrance, ne signifie pas s’investir dans son histoire.
      Pas de jugement.
      Sérénité pour Madeleine.
      Je pense aussi que tout ce qui nous arrive est de notre fait, si l’on cherche bien…

      • Le Passeur dit :

        Pas de jugement en effet, mais il est important aussi de ne pas se laisser vampiriser. La victimisation est l’un des outils de l’ego pour s’approprier l’énergie des autres tout en se déresponsabilisant. J’ai d’ailleurs causé de ça dans L’Eveil en Soi.

  7. rachel dit :

    Bonjour Passeur,
    Petite question qui n’a rien à voir avec le texte..
    Tu élèves nos consciences, alors pourquoi utilises tu leur symbole dans ta belle photo d’ouverture du site ?

    • Le Passeur dit :

      Quel symbole ? La photo en aut est celle d’une montagne que j’ai prise à l’aube l’an dernier.

      • rachel dit :

        Quel symbole Passeur ? Je ne cherche pas à te froisser, loin de moi cette idée !Je suis juste surprise! L’instant capturé du Soleil levant est simplement magnifique et ton air doit être très pur à respirer.
        C’est juste que le Soleil qui se lève entre deux montagnes est le symbole depuis la nuit des temps de ceux qui veulent nous maintenir en esclavage si tu prefères « l’Ordre du nouveau monde » ou « L’aube d’un jour nouveau ». Symbole présent sur tous les continents du globe. Symbole dont parlent J.Maxwell, z.Sitchin et bien d’autres. L’aube pour une race humaine d’un nouveau genre, mutée sans âme et sans humanité. Mais j’imagine que tu le sais déjà et c’est pourquoi tu travailles autand et si bien! Un être averti en vaut deux !
        Et c’est vrai, je t’envie d’avoir une pareille vue !

        • Le Passeur dit :

          Mais je pourquoi je serai froissé ? Je voulais juste savoir de quel symbole il s’agissait. Pour moi, c’est juste une belle aube qui se lève et c’est aussi le symbole d’une nouvelle ère.

        • alain thomas dit :

          Tu veux parler des Annunakis Rachel ?

          • rachel dit :

            Les Anunnaki ou d’autres quelle importance, ce qui est important est de comprendre ce qu’ils sont entrain de faire. Maintenant, enfin j’èspère, que de plus en plus de monde ont compris et réalisé que nous ne déscendions ni du singe, ni du dauphin ni même d’une mouche. Nous sommes des êtres cosmiques, nous sommes dans une boite de pétri et la Terre en est le laboratoire. Que la Bible est une très belle métaphore d’un traité d’astrologie et que le seul dieu adoré était le Soleil. Car sans lui nous mourrons, nous mourrons d’ailleurs tous les soirs pour renaitre chaque matin. Mais ce n’est que ma vérité et je ne l’impose à personne, je la partage simplement.
            On nous fait croire que nous ne sommes que de pauvres humains mais il n’en n’est rien, nous sommes riches d’avoir un corps physique uni à un esprit, une âme. Nous l’utilisons chaque instant de notre vie sans nous en rendre compte. Notre trésor est là à l’intéreur de nous, inutile de chercher la quatrième dimension à l’extérieure car elle est à l’intérieur. Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas et ce qui est dehors est comme ce qui est dedans. A l’extérieur nous avons un Soleil physique qui nous réchauffe, qui nous éclaire et qui crée toute Vie et à l’intérieur nous avons ce même Soleil spirituel qui réchauffe qui éclaire et qui donne la Vie. Tout est là sous nos yeux, il faut observer et comprendre. voilà ce qu’ils veulent nous enlever, personne ne viendra nous sauver « des méchants », il n’y a que nous pour nous sauver! Mais y aura t il assez de gens pour en prendre conscience je le souhaite de tout mon coeur…Mais il faut observer tout autour de nous, le poison est déjà partout, dans la nourriture, dans l’eau, dans l’air, dans la télé dans l’ordi dans les tel portables, dans les médicaments dans toutes les grandes institutions qui sont sensées veiller sur nous et qui nous veulent tellement de bien, il faut juste être vigilent et ne plus être dupe. Il faut prendre le temps, le temps d’écouter de voir de comprendre ce qui nous entoure, mais voilà c’est métro boulot dodo, et on recommence jour àprès jour, regardez la vie que nous menons à nos enfants, « allez dépèche toi de te lever, dépèche toi de déjeuner, dépèche toi de ci dépèche toi de cela, je suis crevé j’ai pas le temps, regarde la télé…et la liste est non exhaustive, nous nous envoyons nous même à l’abattoir. Le systeme n’est pas fait pour qu’on puisse prendre le temps de réfléchir, il ne faut pas qu’on réfléchisse sinon on finirait par comprendre et on se révolterait contre eux alors nous serions libres et ça c’est hors de questions! Pour qui nous prenons nous, des êtres Divins !
            Pauvres humains toujours plus corvéables mais tout est à votre disposition pour vous rendre la vie plus facile, nous vous assistons à tous les niveaux, soyez sans crainte! dormez braves gens ! c’est en marche depuis des milliers d’années et ils arrivent presque au but une nouvelle aube pour une nouvelle race d’humains avec une carcasse vide. Mais je le répète ceci est ma vérité et je ne l’impose à personne. Ne croyez pas que je sois quelqu’un de négatif, ou défaitiste bien au contraire, j’aime la Vie, toutes les Vies j’aime profondément notre Mère la Terre . Je me nourris du Soleil, il est ma force. Au fond de moi il y a une guerrière qui sent qu’il y a une bataille pour la sauvegarde de l’âme et de l’humanité alors elle se prépare.

        • alain thomas dit :

          Rachel je ne comprends pas tout.
          Peu importe ceux ou celles qui viennent d’ici ou d’ailleurs. Nous avons la même essence.
          La splendeur de la nature n’exclut pas les différences.
          Le Tout n’exclut pas l’Un.
          Chaque être humain est un funambule sur son propre fil.
          Il chemine et s’oriente, comme l’enfant à l’école.
          Il tace sa voie lui-même et s’engouffre inéluctablement dans son chas, passage obligé de sa propre évolution, partie du Tout.

  8. W*terbreathing dit :

    qd je lis le commentaire de madeleine sur le suicide, moi même j’y ai pensé .. et aussi en des conditions de « burnout » ou j’avais l’impression que tout me tombait dessus en même temps, ce qui était assez le cas.perte de foi, et de confiance fondamentale, ou ‘je ne croyais plus en ce que je voyais », impression d’un monde froid, presque démoniaque.

    puis je crois que c’est aussi qq chose que j’avais en moi comme une forme de choix à faire entre vivre vraiment ici, ou mourir, ( ou plutôt repartir dans un quelque ailleurs d’ou je serais dans mon esprit,  » je me casse d’ici d’ou j’arrive pas à etre »).
    Genre, choix à rendre selon comment je trouverais ce monde viable, ou moi viable en ce monde ..et bon le bilan a été plutot naze, j’ai trouvé l’humanité très « con » ( moi y compris), meme sans juger( ce qui est drole c’est qu’alors j’étais pas dans le jugement, j’étais dans le potentiel, théorique, possible, non « éprouvé », l’abstrait, ou je m’imaginais pouvoir etre tout le monde, à toute position de vie, vie antérieures m’inspirant ceci, ou non, .. alors aucun comportement qui aurait pu etre mien aussi pour expérimenter ne pourrait vraiment se juger..- bon, sauf que juger, pour moi est aussi évaluer, et cela me semble nécessaire qd même.D’ailleurs si il y a une distinction entre les deux, je trouve se faire evaluer tout aussi insupportable que se faire juger illusoirement, et de même j’ai envie de pendre face à ma propre pensée évaluatrice- mais depuis à « éprouver » l’absence de jugement total me semble « difficile » tout de meme, difficile de ne pas se heurter de temps à autres à ses contours de limitations, ne serait-ce que physiques, ou égotiques) je m’en suis rendu incapable d’aimer l’humanité. un peu comme si l’humanité, dans mon esprit, c’était une secte de personnes abruties imposant des intéractions souvent perverties, utilitaires, se reunissant à former un monde hostile, et que le seul langage à se rendre accessible à cette humanité, était comme une profanation.. que être humain, ne serait pas naître humain, mais s’initier à toute une panopile de comportements d’appartenances, et d’exclusion, aussi.par se rendre accessible, c’est à dire tenir des échanges relationnels, entre autres, accepter le contact etc.
    Evidemment, l’humain ce n’est pas que cela ..j »‘ai vécu de l’hostile en résonance à mon vécu antérieur bien concret, ça empêche pas que j’ai une très forte impression que tout « normalement » le pillage regnait dans les us et moeurs humaines. et puis les biais et filtres personnels ont joués certainement. reste que je suis avec ce constat, que j’arrive pas à vivre avec mes pairs comme si je m’étais effectivement trompée de planète.

    Ressentir de l’amour pour tous et chacun, je ne connais pas vraiment. d’ailleurs plus car je ne ressens pas ce que je ressens. c’est pas que je ressens pas, c’est que je ressens pas ce que je sens- et donc pas non plus vraiment les émotions plus sombres !puis je sais encore moins communiquer émotionnellement avec d’autres. je me sens pas connecté à ce que je ressens. ..je crois pas qu’on peut changer comment son cerveau fonctionne depuis des années si facilement, avec plein de tics, de tocs, et j’en passe.en même temps, je ne sais pas si j’en ai envie non plus. bref, je me demande encore regulièrement si ce ne serait pas mieux de s’occire pour retourner d’ou l’on vient.

    • Abricotier dit :

      Je comprends ta douleur. Je l’ai vécue, il y a longtemps maintenant.
      Une façon de sortir de cette douleur est d’arrêter de se poser des questions et de prendre tous ces problèmes autrement. C’est-à-dire vivre un pas après l’autre.
      Se focaliser sur la journée présente, l’heure présente, la minute présente et simplement vivre ce qui se passe maintenant.
      Enrayer la spirale des pensées par l’attention au moment présent.
      Remettre toutes les questions et la recherche des réponses à plus tard.
      Refuser de penser, se focaliser sur « tenir » pendant 5 mn (ou 1 heure ou 1 jour).
      Et petit à petit, les pensées s’apaisent et un jour on s’aperçoit qu’on a pris du recul, qu’on regarde à partir d’un autre angle de vue, on élague dans ce qu’on croyait important, on affine ce qui l’est vraiment pour soi, on s’accorde le droit d’être soi-même indépendamment du conditionnement ambiant. Bref, plein de choses.
      On reste soi-même mais curieusement, il y a une forme de radicalisation de soi. Une évacuation de ce qui ne nous appartient pas et une épuration de soi.

      Le problème de l’envie de suicide est que la personne concernée ne peut pas en discuter « tranquillement » parce qu’elle se heurte à un tabou qui fait sauter tout le monde au plafond.
      Je pense qu’il faut dédramatiser sérieusement cette question, parce qu’il s’agit bien d’une envie féroce de retourner à la maison.
      Accorde-toi seulement le temps de pouvoir te répondre sereinement à cette question : est-ce que c’est absolument de cette façon que tu souhaites rentrer chez toi ?
      Tendrement et solidairement

      • marie christine dit :

        W*terbreathing, je dirais que tu es dans l’amour sans le savoir .
        Arriver au stade de ne plus s’enflammer de passions ni de haines, c’est déjà une grande avancée !

      • W*terbreathing dit :

        c’est vrai qu’il est difficile d’en parler sans dramatiser .. même à un psy, lorsque j’ai essayé d’en parler, le propos s’est avorté assez rapidement, lorsqu’il m’a répondu qu’il y avait certainement des moyens plus « constructifs’ de canaliser un tas de choses en soi- et je crois que c’est vrai. et lorsque j’ai bien du en parler à quelques personnes, il y a différents processus qui se mettent en place, de défenses, de déni, de jeux de rôles, aussi, qui empechent d’aller au coeur de ce qui peut vraiment motiver cette aspiration, en parler tranquillement est peu possible, dommage car des retours peuvent aider à y voir plus clair, et qu’en parler est presque un acte social devant impliquer.
        Il me semble difficile, tout simplement, de s’extraire du « jeu » de la vie, des égos, déjà, de dire « pause ».c’est peut-être pas pour cela qu’on est là non plus, cette pause on l’aurait peut-être déjà avant la vie, après, je ne sais.
        Et c’est vrai qu’après avoir épuré des facteurs extérieurs, qui ont certes eu leur impact,… il s’agit de cette envie de rentrer chez soi(ce qui n’est quasiment jamais entendu, ça change pour une fois) ..à lire tout ce qui est écrit ici, l’on peut rentrer chez soi autrement, l’on peut amener le « chez soi », ici, l’incarner, et cela me parle- ce qui est assez extrème, c’est que par rapport au simple fait d’être incarné, notamment, j’ai parfois des impressions surréalistes.par contre j’ai le sentiment d’être tellement à coté de la plaque et dégouté d’un tas de chose, que je me trouverais assez loin d’une telle voie ..et le chemin me semble long .. et la pratique laborieuse ( la vie, quoi).. et je suis tout le temps tellement dans ma tête que je vois pas toujours ou je pourrais être ailleurs lol. et si il faut s’ouvrir au niveau des sentiments, c’est mal barré (et, et , et , et etc) : je suis allée à une séance de méditation, une fois, et je pouvais sentir que des personnes autour de moi « montaient » en énergie, par contre, moi, je restais dans le vide lol. quand ils s’envoyaient des vagues d’amour, moi je ressentais rien.

        Pour tes conseils, j’essaie, pas à pas, donc je me mets pas de pressions, d’objectifs( à un moment, je voulais à tout prix atteindre l’instant présent par volonté, lol) là j’écris pas mal, car j’ai mon quta de pensées à sortir par jour.mais cela va diminuant.
        Globalement, petit à petit, cela va, c’est faisable, viable, réalisable, etc, c »est ».bref, je laisse une chance à la vie, tout en ayant souvent des chutes sévères de moral ou je n’arrive pas à débrancher de pensées souvent destructrices.

        oui, marie christine, je suis surement dans l’amour (et un tas d’autres choses) sans le ressentir, en avoir conscience de façon intégrée.en meme temps j’ai parfois encore des sentiments pénibles, « enflammés », mais je traverse surtout une belle plaine de vide.
        au plaisir de vous relire

      • W*terbreathing dit :

        notez que quand je dis  » les humains sont cons » je suis pas en train de vous traiter de con, lol ..C’est une transcription du sentiment de soi, « mal ajusté » à son costume d’humain, qui reste une sorte de peau pas bien habitée par moments.c’est la lassitude face à l’héritage du pire humain, des relations humaines basées sur des jeux de pouvoirs, et la compassion, l’acceptation, l’amour comme seules voies d’issue, alors que ça me donne plus envie de me casser, ou de (se)distribuer des baffes( pour s’assommer au nécessaire).c’est aussi l’inadaptation que je vis qui est mal acceptée par mon « entourage », et les autres en général .. or, j’aurais aimé pouvoir faire mon bout de chemin en étant un peu d’ailleurs et que ce soit accepté, à ce niveau, je me suis pris des super claques, et plutot que d’en tirer une leçon, je le vis comme des signes manifestes de rejet entre moi, et certains aspects/ de ce monde.à trop savoir, aussi, et pas assez ressentir les choses. etc

  9. seselwas dit :

    Bonsoir à tous,
    Après une courte absence je reviens visiter le site.
    Moi qui disait venir me reposer ici (dans mon dernier commentaire). En fait je voulais dire me ressourcer, c’est plus juste!!!!!
    Je trouve que le sentiment d’excitation a bien grandit!
    Le titre a crée la réalité lol
    Madeleine,
    J’ai eu à vivre des épisodes douloureux dans ma vie et j’ai parfois des ennuis administratifs.
    J’ai cru que la terre allait s’ouvrir sous mes pieds et que je n’y survivrais pas. J’ai aussi élevé seule mes enfants. Et depuis peu une autre absurdité arrive et cela me peine mais ne me démolit plus. En effet, et cela m’avait énormément aidé la dernière fois, je me suis dit et si tout va de travers qu’elle est la pire chose qui puisse m »arriver.Cela m’aide vraiment! Et une solution se profile, une main se tend, une porte s’ouvre….Amour, Lumière et Paix.

  10. Anlou dit :

    elleven,

    La vérité tu l’as découvrira par toi-même, parce qu’elle n’est pas dite, elle est réalisée. Internet est un juste un outil parmis tant d’autre.

  11. elleven dit :

    Extrait du livre  » le messie recalcitrant :
    Tout dans ce livre (blog)
    peut être
    faux.