Le sentiment d’excitation grandit

Par John Smallman.

L’humanité est prête et à l’heure pour son grand réveil. Partout dans le monde un sentiment d’excitation anticipée grandit et s’intensifie, mais beaucoup de personnes n’ont pas la moindre idée de l’origine de ce sentiment qu’elles éprouvent, d’autant plus que les principaux médias sont constamment en train de ne rapporter que de mauvaises nouvelles sur beaucoup de sujets. Même s’il semble n’avoir aucun sens, ce sentiment d’excitation grandit. Et il continuera de le faire, car un évènement d’une importance et d’une portée sans précédent est en train de se produire, les vagues d’énergie qui le précèdent se font déjà largement sentir. 

Tant d’entre vous ont prié et espéré pour ce moment tout en gardant leur lumière haute et en ayant résolument l’intention de le voir arriver. Vos efforts ont été tout à fait remarquables et incroyablement efficaces, et vous allez bientôt le comprendre quand tout se mettra en place exactement comme prévu.

Le plan de Dieu pour l’humanité est magnifique, englobant toutes les connaissances et les prophéties qui vous ont été présentées pendant des éons, et les réunissant en un tout synergique – votre éveil à la pleine conscience. Tout au long des éons de votre existence terrestre, certains d’entre vous ont reçu et partagé des informations et des prévisions au sujet de cette période, et durant les dernières décennies ce flux d’information s’est tellement répandu que très peu de gens sur Terre peuvent honnêtement prétendre qu’ils en sont totalement inconscients. Ils peuvent avoir choisi de le nier, l’écarter, ou le dénigrer, mais prétendre ignorer totalement les prévisions au sujet de l’évènement qui se trouve en face d’eux est irréaliste – tout comme l’illusion.

Cette réticence à regarder au-delà de ce qui peut être perçu et interprété par vos corps physiques eux-mêmes, ou avec les outils que vous utilisez pour les aider, est l’un des aspects les plus malheureux de l’illusion, car cela cache de grandes parties de la connaissance et de l’information qui, sans cela, seraient disponibles pour l’humanité dans sa recherche du sens de la vie. Néanmoins, le plan de Dieu pour réveiller ses enfants bien-aimés ne peut en aucun cas être perturbé, gêné ou retardé par le choix fait par quelques-uns de bloquer la conscience qu’ils ont de Lui et de son amour infini pour eux. Cependant, leur choix de rester ignorants sera honoré pendant que l’éveil se produira tout autour d’eux. Lorsqu’ils seront prêts à changer d’état d’esprit, toute l’assistance dont ils auront besoin pour les amener à l’éveil leur sera fournie, et s’éveilleront alors, eux-aussi, dans la joie merveilleuse qu’est la Réalité.

L’énergie des vagues précédant votre éveil se renforcent continuellement et l’intensification de ce moment se rapproche. Aucun de ceux qui vivent dans l’espoir et l’attente de connaître l’amour dont leur Père les enveloppe ne pourra, en aucun cas, être insatisfait, déçu ou effrayé. La merveille de l’éveil dissout l’illusion tout comme la disharmonie, la confusion et le chaos qui semblaient consumer tous vos efforts pour vous souvenir de Lui et de la réalité que vous partagez avec Lui, toujours.

Comme vous vous éveillez, l’Unité de la divine création vous éclairera davantage vous révélant l’environnement infiniment vaste et beau dont vous vous étiez cachés en vous réfugiant dans vos cauchemars, pendant que tous ceux que vous avez toujours connus et aimés vous entoureront, vous souhaitant un bon retour sur la terre des vivants ! En vérité, la vie dans l’illusion pourrait difficilement être qualifiée de vie à tous, car elle n’a été qu’une simple subsistance soutenue par l’espoir constant, qui s’est changé récemment en certitude, que vous retourneriez un jour dans votre Divine maison. Et ceci est sur le point de se produire, alors que le point final de l’illusion – l’instant de l’éveil – approche pour inaugurer une exaltation débridée.

Avec tout mon amour,

Saul.

John Smallmann – 25.09.2011 – Traduction © Christine pour le site Du Tout et du Rien.

Source originale (en anglais)

Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)


A propos Le Passeur

Nomade sur le chemin...
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110 réponses à Le sentiment d’excitation grandit

  1. Anne dit :

    waouh , je viens juste de lire ce qui s’est passé sur ce site ……très parlant de la situation actuelle de grande confusion (excitation des changements à venir ?) Un peu de mo-même est ds chaque commentaire ,eu envie de retourner à la maison , dépouillement matériel, petite voix toujours là , crainte de ne pas savoir aimer ….mépris des autres pour être une tendre positive , même si je découvre actuellement la nécessité de ne pas se faire polluer grâce à vous ,aussi , mais la JOIE de plus en plus forte qu’à ma grande surprise je me surprend à éprouver , l’AMOUR que j’éprouve pour tout ce qui vit même si parfois je crains que cela ne soit que de l’émotivité , si c’est le cas , je me pardonne…En ce qui concerne Madeleine , les galères de ma vie moi m’ont toujours été source d’apprentissage et finit par me sentir meilleure .Je vois les attentions des autres alors que je n’y crois pas et je remercie , eux et l’Univers ! Cela peut être culpabilisant de se dire que l’on crée ce que l’on vit , j’ai expérimenté ce type de contradiction en soins palliatifs où les spirituels disent aux mourants: Ton cancer du cerveau te dit des choses de toi , tu peux te guérir , la maladie c’est le mal à Dieu….ça ça fait mal , je suis moi-même atteinte d’un sale virus , même si je comprend où il veut m’emmener , je n’ai jamais eu mal à Dieu , en conscience en tout , cas bien sûr je n’ai pas été un ange , loin de là, mais toujours  » mystique « . Ce que dit Waterbreathing me rappelle , concernant l’incarnation , que j’ai toujours eu la sensation de ne pas vouloir venir….et j’ai toujours eu la prétention de dire que j’espérais et ferai tout pour que ce soit la dernière ….J’espère n’avoir saoulé personne avec mes divagations , c’était bon de vous lire , merci à tous , Paix et Amour à tous

    • Lucie dit :

      Anne…
      Nous tous ici, ne sommes-nous pas des saouleurs ?! (sourire)
      Chacun avec propre motivation, dans un esprit de partage.
      Quant aux êtres « spirituels » qui donnent des diagnostics en tous genre…
      Humm…
      Que savons-nous de la guérison ?!

      Que la Paix nous accompagne.

  2. marie christine dit :

    A l’heure actuelle, notre mental regorge de connaissances spirituelles qui nous enthousiasment, et c’est une très bonne chose . Mais elles nous poussent en avant et peuvent nous donner tendance à vivre les choses par procuration ou par anticipation, ce qui ne s’appelle plus être dans le moment présent .

    • alain thomas dit :

      Être dans le moment présent en permanence est quelque chose d’impossible.

      • marie christine dit :

        Oui Alain, ça me paraît bien difficile en vivant la vie du monde . Il y a tant d’énergies qui nous traversent en permanence . Il faudrait être parfaitement conscient de tout …
        C’est pourquoi je pense qu’il vaut mieux se voir avec nos imperfections (ce qui est ton cas, je le sais) plutôt qu’à travers les expériences de ceux qui ont déjà atteint l’éveil . Ca peut être un écueil …

      • Nada dit :

        J’ai écouté une conférence hier soir.

        Ce qui importe ne serait pas d’être dans l’instant présent. Il y a confusion sur cet état du fait des perceptions du temps linéaire et du temps dimensionnel.
        Ce serait de laisser vivre sa Présence dans chaques parties du corps, y compris les plus intimes. Seule sa Présence connaît l’amour, l’acceptation neutre de toutes ses facettes.
        Elle est garante de l’équilibre du  » funambule « .

        L’instant présent est dépendant des perceptions du temps linéaire.

        • Le Passeur dit :

          Ces deux aspects de la présence sont importants. Être dans l’instant présent, c’est avant tout mettre sa conscience en cet instant, quoi qu’il soit. Lorsque je parle d’incarner chaque cellule de son corps, c’est faire descendre cette conscience dans tous les recoins de l’être.

          • marie christine dit :

            C’est vrai, c’est une question de conscience de soi ou en soi, de présence à son être intérieur, et non une conscience superficielle, temporelle, de l’instant présent .
            Il n’en reste pas moins que c’est très difficile car à tout moment l’ attention est sollicitée à droite et à gauche, les émotions mises à l’épreuve, ce qui jette un voile sur la conscience vraie en extériorisant notre attention .
            La maîtrise de soi pour rester centré en toute circonstance va en augmentant, mais de là à dire que c’est définitivement installé dans mes cellules … Ouille ! Je n’en suis pas encore là !

            • Le Passeur dit :

              Il ne faut pas se mettre la pression, il n’y a pas de but à atteindre. Personne ne peut vivre en permanence dans l’instant présent, à moins de demeurer dans l’illumination, ce qui fut peut-être l’état de quelques rares mystiques, mais n’est pas notre but en ce temps. Par contre s’exercer à être le plus souvent possible dans le moment présent, même quelques instants par-ci par-là, facilite cet état et apporte beaucoup à l’alignement de l’être.

          • alain thomas dit :

            La méditation permet d’appréhender l’instant présent et de demeurer.
            Le principe est de se centrer en un point.
            En fait, on médite sur rien. Il n’y a rien à atteindre ni rien à obtenir.
            On utilise l’attention puis la vigilance (qui est un rappel de l’attention) et la détente, qui est l’ouverture du coeur à l’espace infini intérieur.
            On n’est pas obligés de choisir un objet de méditation mais c’est plus facile d’être assis sur une chaise le dos bien droit et d’être immobile, le regard fixe sur un point que l’on choisit entre celui le plus éloigné et son propre regard (comme si les yeux ouverts, nous regardions à l’intérieur de nous-mêmes).
            On peut fixer son attention sur la respiration si on se sent envahi par des pensées perturbatrices incontrôlables. Il n’est pas question de ne pas penser, c’est impossible. On doit juste laisser passer les pensées et ne pas les enchaîner les unes aux autres pour en faire une histoire. Enchaîner une pensée à une autre revient à être distrait. On fait appel alors à la vigilance (la petite lampe de la conscience) pour ramener son esprit en lui-même.
            On peut ainsi, en étant spacieux et ouvert, en étant attentif et vigilant, flirter avec l’instant présent et découvrir sa vraie nature immuable.
            Chacun ensuite vit ses propres expériences, comme la luminosité, la vacuité ou encore l’interdépendance.
            Le but est d’apaiser son esprit, le calmer en quelque sorte et aussi prendre conscience de celui-ci, de ses mouvements incessants et de la nature de ses émotions et de ses pensées.
            Ainsi, il est possible d’intégrer cette pratique (samatha) dans la vie de tous les jours par l’observation de son propre esprit. L’intérêt étant la prise de conscience de tous nos mouvements, le repérage de nos passions et de notre tendance à mentaliser sans cesse.
            C’est extrêmement difficile de transformer son esprit en vue de le dompter car l’enjeu est bien là : dompter son esprit afin ensuite d’éviter de faire du mal ou encore de cultiver le bien pour autrui.
            Quant à atteindre l’Eveil, y-a du boulot… boudiou.

      • Christine dit :

        Le moment présent par essence n’existant pas vraiment (1 seconde après ou avant et nous n’y sommes déjà plus) il est plutôt question d’être présent à l’instant.

  3. alain thomas dit :

    Personne ne sait exactement comment les choses vont évoluer.
    Nous avons quasiment la certitude, parce qu’elle est rationnelle et prévisible, que la crise que nous vivons sur le plan mondial est systémique.
    Cela signifie que nous arrivons prochainement à la fin de ce système en place.
    Bien mais qu’arrive-t-il ensuite ?
    Et bien si notre mère la Terre et notre père le Soleil estiment que notre conscience globale nous permet de continuer à évoluer ici tout en changeant de dimension, le lien ci-dessous nous laisse entrevoir une possibilité de vivre sur cette planète sans argent ni politique, ce qui ne serait déjà pas si mal.

    http://zeitgeistmovementfr.over-blog.fr/article-communique-francophone-du-1er-octobre-2011-85579880.html

  4. Waterbreathing dit :

    @abricotier;en fait, ce que je ressens sur l’éventualité de précipiter sa sortie, c’est le sentiment de n’avoir rien à faire ici, de n’etre pas à sa place, de n’avoir su de toute façon la trouver, et de ressentir en terme de bilan, qu’au bout de tout ce temps dessai à se vivre de ce monde, il y a comme ce constat de ne avoir reussi à « se rendre d’ici ». comme si tu plantais une graine qui ne germait pas, car terrain incompatible & co.impression d’etre partie pour un voyage qui a fini de se perdre à dériver en des espaces de vastes nulle part.

    Alors la mort dans cette optique, c’est d’une totale facilité, car c’est le chemin le plus rapide pour rentrer chez soi.c’est exactement ce que je me dis parfois,  » je me casse, j’arrive pas à me rendre complètement d’ici de toute façon, c’est comme ne pas etre venu finalement, rien qui m’accroche, – il parait que ‘est ne pas avoir d’ancrage, toutefois j’ai pas la moindre idée de comment on devrait s’ancrer ? surement en étant connecté physiquement, bah c’est pas gagné. impression aussi malgré moi que cela passe par une certaine inscription communautaire qui permet de s’établir matériellement, ça « je sais pas comment on fait », j’arrive plus à tolérer d’entrer en relation avec les autres par nécessités, me saoule l’idée d’avoir à se « forger » une place, la prendre, etc.
    maintenant, je sais pas ce que cela me vaudrait en terme de « vie » à venir, mais pour ma part, à songer à l’éventualité de sa mort, je ne songe pas à d’autres vies, d’avant, ou à venir, et d’un coté, ce qui est presque une forme de douleur pour moi, tient à cet incessant cycle de répétitions, ou de « vies », rien ne semblant s’en extraire, un inéluctable qui ferait que l’on ne pourrait que dire « oui » à ce que nous vivons, qu’importe de quoi il s’agit, pour avancer.

    est-ce ainsi que je veux rentrer « chez moi « ?bonne question ..franchement, me dire que j’ai choisi de m’incarner, c’est du plus hypothètique pour moi, peut-etre que si j’avais eu ce retour sur ce que je vivais plus jeune, cela m’aurait fait avancer. à présent, d’envisager cela, cela me me dire que c’est pas parceque je l’ai choisi que je vais y arriver, que je peux arriver à vivre, aimer, trouver cela fun, etre bien ici, etc.c’est pas parceque qqchose en moi l’a choisi de je ne sais ou et qd, que  » je devrais » vivre à présent.C’est une bonne question, car si avant, et toujours encore (mais moins, de moins en moins) à fléchissement de vitalité, c’était linstinct de survie qui me faisait continuer à vivre par « peur de la mort », c’est de moins en moins le cas, je l’envisage, plus tranquillement.
    J’ai pas encore de réponses à cette question, mais elle ma permis d’explorer un peu mieux le sentiment qui est en cause dans tout cela.
    effectivement, parler comme cela de la possibilité de « sortir de scène », est difficile en général.

  5. Valérie dit :

    Bonjour et encore merci pour vos mots.
    je vais apporter ma petites pierre à cet événement théâtrale qui vous a réunit ces derniers jours : Madeleine.
    Nous sommes tous confrontés à des personnes comme Madeleine, considérant que le monde est injuste, que les autres sont responsables, qu’ils sont persécutés par le système et que les doux dingues qui parlent de synchronicité, de responsabilité individuelle et d’une source qui est amour, sont de doux dingues coupables de ne pas vouloir faire la guerre au mal.
    J’ai un jour compris que je n’y pouvais rien, que je n’avais à convaincre personnne, que mon chemin n’est pas le chemin du voisin, que la lumière est partout même si je ne la perçois pas forcement d’emblée chez mon frère qui vibre de colère, de haine et de chagrin.

    Je passe mon chemin sans jugement et avec amour. Et d’ailleurs, je ne rencontre plus ce genre de personnes…..tous ceux qui gravittent autour de moi, une heure, une journée, une vie, sont tous en voie d’éveil.
    La vie est bien faite, nous sommes tous là ou nous devons être ce me semble.
    Bonne sortie de dualitée à tous.

    • Waterbreathing dit :

      de lire ce type de position, que je peux comprendre, je crois, un peu .. pourtant, cela me fait me sentir plutôt entre deux mondes( ou trois, ou quatre, mais disons, ici, entre deux postures).Parceque je trouve cela excluant, en un sens, ou sélectif .. peut-etre, ‘harmonieusement », mais excluant, c’est souvent ce qui me fait osciller entre plusieurs positions.
      Les idées de madeleine sur une quelque machination ne me parlent pas, mais je trouve ce « monde » injuste, oui ..je trouve qu’il ne laisse pas vraiment le choix de se retirer hors de son jeu.mêle en pleine lumière que vivent, ou disent vivre certains, la plupart sont toujours dans ce système, à composer avec, leur attitude de détachement m’inspire un sentiment mitigé.. à la fois, j’arrive à me le représenter à ma façon, d’un autre coté,.. et ben je trouve cela « rude », difficile, presque cruel, je ne sais trop pourquoi, puisque normalement les personnes l’expérimentant sont censées envoyer de l’amour ».. p-e car c’est un détachement souvent incomplet, . .. la responsabilité personnelle au présent ( pour moi, dire oui, à ce que l’on vit, en d’autres termes) me déprime comme issue par moments, dans le sens que j’ai pas la moindre envie parfois de me responsabiliser complètement meme de choses qui ne tiennent pas à moi.. l’état de ce monde, faire avec ( j’ai pas envie ^^) des éléments autour de moi, qui « passent en moi », mon propre parcours, qui tient à une foule d’empreintes non miennes pour cette seule vie, du moins .surtout, j’ai du mal à comprendre ce que l’on fout les uns avec les autres..
      bref je vous lis, et j’ai le sentiment comme l’on dit, d’etre le séant entre deux chaises 😮 et je ne me retrouve nulle part.

    • Waterbreathing dit :

      Par ex, vous parlez de passer son chemin.. que vous ne rencontrez plus ce genre de personnes, selection harmonieuse à mon sens .. mais que feriez vous, ou ne feriez vous pas, face à une personne qui vit ce que vit madeleine, ou est en proie à des memes réactions ?Qu’est-il à faire ? nécessairement passer son chemin ? est-ce la seule voie face aux sentiments plus négatifs, difficiles, douloureux ? laisser les personnes face à elles memes, voire, dans certains cas, « injustes » au regard de certains, ne rien faire, et « passer » ? en regardant avec amour ?

      • Le Passeur dit :

        On ne peut forcer personne à entendre ce qu’il ne veut pas. Lorsque quelqu’un demande de l’aide, encore faut-il qu’il soit disposé à la recevoir. Et l’aide la plus adéquate est rarement celle qu’aurait souhaité l’ego.

      • Nada dit :

        Depuis quelques jours, je me dis que maintenant je ne veux plus être dans la relation d’aide à autrui ( individus ou sociétés ). J’ai envie de rencontrer des êtres assumant leurs choix d’incarnation en 2012.
        La majorité des éveillés aux choses invisibles sont nés pour être dans cette relation d’aide, et ont souvent choisi des métiers relationnels, dans les villes. Je pense cela dans le sens d’accompagner le maximum d’humains, sous des formes diverses, aux changements planétaires en cours.
        Si je ne suis pas seul dans cette prise de conscience de cesser d’être réceptifs aux situations relationnelles problématiques, cela peut signifier que c’est le timing pour être créateur des ses quotidiens sur terre.
        En cela, offrir d’autres possibilités au monde que ce triangle : victime, bourreau, sauveur.
        De lâcher ces rôles de sauveur, si inclus dans les démarches des éveillés.
        Ce n’est ni égoïste, ni égocentrique, ni indifférence. C’est : « Maintenant, passons à autre chose ! »
        Il y a assez d’humains qui ont encore besoin de soulager ou d’enseigner autrui, et qui sont très compétents.

        • Le Passeur dit :

          Je suis assez d’accord avec ça. C’est à mon avis la meilleure façon de contribuer à ce que le collectif avance.

          • alain thomas dit :

            L’aide à autrui ne consiste pas à rester assis à un endroit et attendre celui qui souffre en laissant la porte ouverte.
            L’aide est spontanée parce que nous vivons en interdépendance.
            A moins de vivre dans une grotte (ce qui est une belle expérience), imaginez les gestes que vous faites dès le réveil jusqu’au coucher le soir. Visualisez-les uns par un, seconde après seconde et constatez avec étonnement que vous n’en faites pas un sans l’aide d’autrui. Tout ce que vous faites, même manger, vous le faîtes grâce à autrui. Vous-même, dans votre activité, vous participez à ce jeu de l’interdépendance.
            Chaque être apporte sa contribution à l’évolution de notre monde. A chaque instant, tout être humain a la possibilité de co-créer grâce à sa capacité innée, émanée du divin.
            La symphonie est une parfaite illustration de ce que l’homme est capable de faire dans la synchronicité.
            Afin d’orienter notre conscience globale dans l’harmonisation et la paix, il est important que le plus grand nombre d’êtres