Se libérer soi-même pour libérer l’humanité…

Nicholas RoerichPar Frank Hatem.

Le fait que ce que nous vivons soit illusion n’enlève rien à son importance, car le monde apparent est là pour que nous y réagissions, et ce sont nos décisions qui déterminent notre évolution et donc nos univers futur.

Qui dirige le monde aujourd’hui ? Qui décide de votre vie au quotidien ? Vous le savez ? Certains le savent. La mondialisation monopolistique fondée sur la concurrence généralisée (en mettant tout le monde en concurrence on est sûr que seul les plus gros subsisteront) est bien avancée. Déjà, et on l’annonçait en 2002, le gouvernement britannique étudie une taxation de l’air frais, sous prétexte de lutter contre la pollution atmosphérique. Nous disions dans « les Cinq Clefs » (Editions Louise Courteau) que ces monopoles mondiaux ont pour but de détenir toutes les ressources vitales de la planète afin de tenir l’humanité en esclavage. « En laisse », comme le dit la remarquable video sur Monsanto : http://www.youtube.com/watch?v=kUNxxXBAAQU.

Et par conséquent font en sorte que pour respirer, il faudra un jour obéir au monopole mondial qui disposera de l’air et le vendra au prix fort, comme Monsanto est en passe de détenir les graines et donc l’alimentation mondiale. L’eau aussi, polluée et restreinte à dessein (vous ne le croyez peut-être pas aujourd’hui mais quand vous vous en apercevrez il sera trop tard), est dans cette spirale qui, apparemment ne dérange personne puisque tout le monde laisse faire.

Preuve spirituelle de nos peurs. Peur de réagir et de désobéir à nos habitudes. Et ces peurs, puisque nous ne les surmontons pas jusqu’à présent, supposent que nous créions encore pire, jusqu’à ce que nous soyions acculés à réagir ou à voir nos enfants mourir.

Nous trouvons bien des prétextes pour nous dire des choses du genre « tout va s’arranger, les dirigeants veillent ». Et des voix tentent de nous rassurer. Les campagnes pour ridiculiser les « complotistes » et faire croire qu’ils sont d’extrême droite ou antisémites se multiplient un peu partout sur les ondes et dans les livres. Mais il suffit de regarder trois minutes les chaines d’info en continu pour comprendre. Evidemment certains ne comprennent pas, car ils sont des gens bienveillants, et quand on est bienveillant, on croit que tout le monde est bienveillant.

A qui avons-nous donc donné le pouvoir sur notre monde ? Ils sont bien cachés et bien protégés. Mais ils n’en sont pas moins vulnérables (s’ils étaient invulnérables ils ne se cacheraient pas), et depuis 2002 nous ne cessons de proposer les moyens de retrouver notre souveraineté. Ces prédateurs qui nous gouvernent et gouvernent les gouvernements (si vous voulez des détails et comprendre le pourquoi du comment, voyez le livre cité) vivent de trois choses principalement : 1°) les vapeurs de sang (sacrifices animaux dans l’antiquité, abattoirs aujourd’hui) – ce qui se résout très facilement par le VEGETALISME puisque si on n’achète plus, ils cessent de tuer – et en plus on est en meilleure santé) – ; 2°) les vapeurs de pétrole (Diesel fut assassiné en 1908 parce qu’il voulait que ses moteurs fonctionnent à l’huile végétale et non au gasoil), et là il n’y a pas besoin de faire un dessin, il suffit d’étudier un peu l’histoire des « Sept-Sœurs », les principales compagnies pétrolières qui sont au cœur du « complot », pour être édifié. Ici la solution est également simple notamment avec l’ENERGIE LIBRE MAGNETIQUE (générateur à dégravitation) mais très difficile à mettre en œuvre au quotidien pour le moment ; 3°) les émotions négatives des populations, troisième mais en fait première nourriture de ces prédateurs. Et là aussi il suffit d’ouvrir la télévision pour comprendre comment cela fonctionne au niveau des actualités, des films, des jeux video et des télé-réalités etc. Mais ici la solution est toute trouvée, et on en parle dans « la Sixième Clef » : l’élévation vibratoire individuelle et collective passe par l’attention portée à la gestion des mémoires responsables de nos émotions au quotidien, car toutes ces manipulations jouent sur nos mémoires ancestrales. Il existe de nombreuses techniques pour cela, mais comme souvent, c’est une synergie entre différentes techniques qui est le plus efficace.

Il est donc facile pour chacun d’entre nous d’agir immédiatement et sans délai sur deux des trois leviers pouvant influer sur la situation planétaire actuelle. Changer d’habitudes alimentaires et élever son niveau vibratoire. Les deux vont d’ailleurs dans le même sens, pour notre plus grand bien.

TOUT EST VIBRATOIRE, TOUT EST MAGIE…

Avez-vous déjà remarqué que losque vous décidez de lever le bras, il se lève ?

Vous êtes donc capable de télékinésie. En effet, il n’y a aucune raison « scientifique » pour que votre bras obéisse à votre volonté. Depuis quand l’esprit agit-il sur la matière ? A quel endroit votre volonté influe-t-elle sur les éléments matériels faisant lever votre bras ?

Votre volonté, votre décision existent-elles ? Si vous croyez à l’esprit, vous direz oui, mais les physiciens ne croient généralement pas à l’esprit, et donc ils diront non. Pour eux, toute preuve est une preuve matérielle. Il ne peut y avoir de preuve matérielle de ce qui n’est pas matériel, donc l’immatériel n’existe pas. Intéressant raisonnement.

Votre bras est donc mû de l’extérieur… par hasard et besoin biologique.

L‘inconvénient c’est que c’est un raisonnement, donc quelque chose de mental, et on ne peut donc prouver matériellement son existence. Néanmoins ce raisonnement conduit à construire des accélérateurs de particules pour prouver matériellement que seule la matière existe. Rien n’est trop cher pour se rassurer.

En fait l’esprit n’agit pas sur la matière, c’est simplement que la matière est dans l’esprit. C’est sa manifestation. Toute modification au niveau de l’esprit est une modification, même imperceptible, dans sa forme matérielle.

Puisque le raisonnement amène à une décision, tous deux choses immatérielles, et qu’il s’ensuit des résultats mesurables, c’est que ces résultats mesurables sont esprit. Sinon, où serait le lien entre la décision et les résultats ? A quel moment passerait-on du non matériel au matériel ?

Il n’y a pas de passerelle.

Cela vous permet de comprendre pourquoi la télépathie, pourquoi la magie, pourquoi la guérison à distance, pourquoi la radionique, pourquoi toutes ces actions spirituelles comme si… tout était dans l’esprit de celui qui pense. Et aussi pourquoi on peut lire notre psychologie dans les astres par exemple. Ce n’est pas une question d’influence. C’est une question d’unité.

Evidemment.

Nicolai Kalmakov07Ainsi on peut aussi lire notre niveau spirituel global dans le monde que nous nous donnons. Certains appelleraient cela « effet miroir ». Mais cela nous donne la clef. Plutôt que de croire que le monde m’influence, je ferais mieux de me dire que mon monde est mon reflet. Si je veux le changer, à moi de me changer d’abord. L’inverse est vain. Je peux agir pour changer les apparences et je les changerai un peu. Mais si JE ne change pas, la cause sera toujours là et le problème se reproduira. C’est le drame de toutes les révolutions violentes qui aboutissent souvent à de pires dictatures que celles dont on voulait se débarrasser.

L’action juste consiste à combattre, parce que sinon on n’a pas fait la preuve qu’on n’a pas peur, mais de combattre sans haine, sinon on reproduira le problème avec la TVA en plus. L’histoire de Krishna est l’exemple de ce combat permanent sans haine. Jésus aussi si l’on veut.

On ne peut reprendre son univers en main si on a peur de lui.

On ne peut guérir si on ne surmonte pas ses peurs.

C’est à cela que sert le monde. Nous avons des bras pour nous en servir.

Répétons-le pour vous habituer au fait que les solutions vibratoires sont logiques, rationnelles, efficaces, et justes : lorsque vous levez le bras, il n’y a aucun lien matériel entre votre décision et votre action. Il n’y a rien qui soit intermédiaire entre matière et esprit pour que l’esprit puisse provoquer un tel changement « matériel ».

Serait-ce l’émotion ? C’est encore de l’esprit. Sont-ce les châkras qui changent de configuration à l’occasion des changements émotionnels ? Oui bien sûr, mais c’est un problème interdit puisque c’est une étape aurique entre esprit et apparence.

Est-ce l’influx nerveux ? Ah, voilà quelque chose d’intéressant : une énergie mesurable. Donc matérielle. Il doit bien y avoir moyen d’inventer des particules d’influx nerveux.

Mais si ce sont des particules, comme toute énergie officielle, alors il ne saurait y avoir de lien avec l’inexistant, avec l’esprit, et en aucune façon votre décision, votre colère ou votre amour ne peut susciter des variations dans l’influx nerveux et donc des modifications musculaires.

Cet esprit est bien importun. Officiellement, quantiquement parlant, l’acte d’observer qui engendre la réduction du paquet d’ondes et donc la réalité de la particule, n’est pas de nature spirituelle mais mécanique.

En fait, la preuve est faite, il est impossible de lever le bras, et si certains prétendent le faire, c’est forcément l’effet d’une hallucination collective.

Tout cela est risible. Mais ce qui l’est moins c’est qu’on essaie de nous faire avaler ces foutaises matérialistes dans le but que seuls les tireurs de ficelles aient la connaissance spirituelle et l’efficacité qui va avec. Pour cette raison, ils s’appellent entre eux traditionnellement les « illuminati ». « Ceux qui ont la lumière ». Car eux pratiquent en permanence la magie et toutes les techniques vibratoires très utilisées par exemple en politique. Bien entendu les professeurs de Physique n’y sont généralement pour rien et ne comprendraient pas ce procès. Ils ne font que suivre le schéma mental imposé depuis l’école et qui permet d’être reconnu par ses pairs.

Nous, ce travail vibratoire, nous l’appelons la « Métaphysique Opérative ». La mise en œuvre des principes métaphysiques, lois de la création, lois de l’esprit. Il n’y a rien d’autre.

On ne l’utilise bien sûr que pour soi, pour mieux se connaître et s’améliorer sur la plan psychologique d’abord (mais tout le reste suivra à plus ou moins long terme), car ces principes sont à peu près les mêmes en « magie blanche » ou en « magie noire ». Tant qu’on agit pour soi et « pour le bien de toute personne concernée », c’est de la magie blanche. Si on veut l’utiliser vers autrui et décider à la place de quelqu’un d’autre, c’est la magie noire. Ceux qui, hélas, la pratiquent sont obligés de travailler en plus à un niveau karmique pour se protéger des conséquences, car quand on interfère dans le « karma » de quelqu’un, on récupère une partie de ce karma.

Le « karma », c’est la suite des événements qu’on a intérêt à vivre dans l’avenir si on veut compenser les « erreurs » qu’on a faites précédemment. Mais de toute façon on ne peut pas ne pas en faire, des erreurs. En fait, le « karma » est le chemin par lequel il faut passer pour aller vers le But, chemin redessiné par chacun de nos choix à chaque instant.

S’il n’y avait pas de but, il n’y aurait pas de karma ni de Loi de cause à effet. Pensez-bien à cela. Si une cause produit un effet, c’est parce qu’il y a un but. Sinon rien ne serait cause.

D’où, si on veut adoucir ce « karma », l’importance de comprendre ce que c’est que soi, et sa relation à l’univers, pour que le chemin soit le plus direct et agréable possible. Chacun est responsable de son niveau de connaissance car tout est écrit partout, et c’est la peur et l’attachement qui empêchent de lire (comme on en a parlé ici à plusieurs reprises au sujet de la recherche scientifique régie par le mental). On peut vaincre cela. La vie se charge de toute façon de nous faire comprendre petit à petit. Mais la compréhension métaphysique permet de gagner du temps et donc du bonheur.

Si la Magie est une réalité permanente, et chaque fois que vous levez le bras ou que vous mettez un pied devant l’autre, vous faites de la magie puisque votre volonté spirituelle agit sur ce qu’on croit être de la matière, c’est que les lois de la Physique ne sont pas des lois de la Physique. Ce sont des lois de l’esprit. Comment voudriez-vous influer sur la matière si la matière n’est pas de l’esprit ? Vous pensez, vous affirmez, vous priez, vous vous émotionnez, et il se passe des choses dans votre vie, dans la vie des autres, et même, dans le corps et dans le monde.

On peut même faire de la magie noire sans le savoir, il suffit d’être jaloux ou en colère. On en est néanmoins la première victime, avant même de polluer l’univers et d’attirer ceux qui se nourrissent de ces émotions négatives. La tristesse, la dépression, l’avidité, la concurrence etc.

Leonora CarringtonIl y a deux décennies, les laboratoires pharmaceutiques (directement liés aux Compagnies pétrolières et aux grandes sectes secrètes) se sont réunis dans le but de vendre davantage d’antidépresseurs. Les conclusions de leurs travaux ont été de faire en sorte (et ils en ont tous les moyens) que la population s’habille davantage en noir. C’est exactement ce qui s’est passé. Aujourd’hui, trouver des vêtements qui ne sont pas noirs ou sombres est devenu difficile. Dans les années 70 et 80 c’était beaucoup plus facile. Qui donc dirige la mode ?

Les quantités d’antidépresseurs vendus ont alors connu un boom sans précédent. Vous pouvez douter si vous voulez. C’est un exemple du fait que les ennemis de l’humanité savent très bien agir sur le vibratoire. C’est une invitation pour nous à agir vibratoirement dans le sens inverse. Dans quel état attendrez-vous d’être, vous et votre famille, pour commencer à ouvrir les yeux ?

Bref. Notre mission est de faire en sorte de favoriser tout ce qui élève les vibrations, et éviter tout ce qui les abaisse. Mais qu’est-ce vraiment qu’un « niveau vibratoire » ?

UN NIVEAU VIBRATOIRE MESURE LA PROXIMITE PAR RAPPORT AU BUT. C’est une INTENTION (une intention est une portion délimitée et personnelle du Grand But. Comme un « Colibri », chacun assume sa part). Mais une intention peut être d’échapper au But. C’est d’ailleurs toujours une façon d’échapper au But puisque c’en est une limitation. D’où le fait que toute incarnation est plus ou moins « diabolique » (ne nous leurrons pas, chacun a sa part d’ombre). L’intention est plus ou moins simple et claire selon qu’elle cherche plus ou moins l’unité. Puisque le but est l’unité, et que la simplicité consiste à aller directement vers le but. La complexité c’est tenter de contourner le but, d’y aller par des chemins tortueux. Voilà où se situe le mental. Son rôle est d’échapper à l’unité, au fait que l’autre et soi sommes un seul esprit, une seule source d’amour, et ainsi définir solidement et défendre les limites d’un ego.

Chaque fois que l’on veut du pouvoir sur l’autre, que l’on est en concurrence avec l’autre, qu’on n’intervient pas pour l’aider ou également lorsqu’on ne se réjouit pas de ce qui a été jusqu’à présent (même de cette situation planétaire), on manifeste une intention égotique, donc de séparation, et donc on abaisse son niveau vibratoire, laissant la porte ouverte aux émotions négatives qui sont contagieuses, et à la possession par l’occulte et les niveaux de conscience ténébreux qui n’attendent que cela.

Chaque fois que l’on agit pour manifester ce qui nous est commun à tous, montrant que son prochain EST soi-même, et donc ne faisant pas à l’autre ce qu’on ne voudrait pas qu’on nous fasse, refusant de mentir, ou de financer la souffrance des animaux par exemple, on travaille à l’élévation vibratoire pour soi comme pour le monde. On prive nos geôliers occultes de leur principale nourriture. Si on s’y met tous, ou au moins une bonne partie d’entre nous, ils finiront par partir, nous laissant vivre de façon naturelle et humaine sur une planète préservée.

Chaque fois que l’on chante, que l’on danse, que l’on rit, que l’on prie, on chasse le négatif. Ils détestent cela.

Cela dit, nos vies stressantes jusqu’à présent ne nous laissent pas toujours ce loisir de chanter et danser. Il y a trente ans, on entendait toujours des gens sifflotter dans le métro. Cela a disparu. Nos vies sont organisées pour cela, et les grandes entreprises comme les grandes écoles sont gérées par le stress et la mise en concurrence. Ce qui aboutit évidemment à de nombreux suicides. Double bénéfice pour les manipulateurs.

Nos habitudes de réactions mentales sont complètement liées à nos habitudes émotionnelles. Or on est inconscient des croyances qui les provoquent. C’est cela que, sans savoir trop quoi ni comment, on ressent le besoin de changer lorsqu’on s’adresse à des thérapeutes, des coaches, des sophrologues ou des ontologues, afin de retrouver la positivité dans nos vies. Leur précieux travail allant à l’encontre des intentions néfastes des sociétés secrètes qui dominent politique et industrie dans le monde, tout sera évidemment fait pour faire croire que ce sont des « sectes » dangereuses et tenter d’en éloigner les populations.

Quoi qu’il en soit, c’est à chacun de chercher à devenir autonome dans sa propre gestion vibratoire, le plus vite possible, pour ne dépendre de rien ni de personne, et cela évidemment s’apprend. Très rapidement car c’est extrêmement simple. Pas besoin de techniques compliquées, plus c’est simple, plus cela a de chances d’être vrai et efficace. Comprendre ce que c’est que l’esprit à la base est évidemment un socle déterminant pour atteindre à cette simplicité et à cette efficacité. C’est pourquoi on a présenté la Métaphysique comme la « Première Clef » dans le livre déjà cité.

Ensuite qu’est-ce qu’on fait ?

L’Ontologie est la science du Soi, celle qui permet de débusquer ce qui relève de l’ego et ce qui relève de notre réalité spirituelle, et comment on passe de l’un à l’autre. C’est absolument décisif.

Et puis on va entrer de plus en plus dans le concret de la gestion émotionnelle. Débusquer les mémoires qui nous conditionnent dans nos réactions et souvent dans notre vécu. L’harmonisation est toujours l’objectif. Harmonisation par rapport à soi-même, harmonisation des relations, harmonisation des situations, des fonctions mentales et physiques. Tout est vibratoire, tout est longueur d’onde. Et on peut toujours avec d’autres longueurs d’onde apporter un complément, compenser un déséquilibre, changer une façon de réagir. Encore faut-il savoir de quelle longueur d’onde on a besoin, où la trouver et comment la capter pour qu’elle fasse son travail.

Pour cela il y a un outil particulièrement pratique, c’est la RADIESTHESIE : l’utilisation du pendule pour avoir accès à son subconscient et mettre de côté son mental, et ainsi trouver les solutions au-delà des conditionnements. Tout le monde peut le faire, les nouvelles méthodes d’apprentissage et de mesure sont particulièrement intéressantes et rapides, elles sont d’ailleurs aussi judicieuses pour les débutants ou pour les spécialistes, et dès qu’on maîtrise un peu et qu’on sait se relier à la Terre, on peut devenir autonome et on n’a plus besoin de personne pour prendre les bonnes décisions, comprendre l’origine des problèmes et les résoudre.

Les longueurs d’onde qu’on peut utiliser sont celles des couleurs, c’est très pratique. Mais on pourrait tout aussi bien utiliser des nombres ou des sons. De même il n’y a pas que la Radiesthésie pour contourner le mental. Certains s’en passent. Mais c’est la technique la plus facile à acquérir pour quelqu’un qui n’a pas l’habitude. Et les résultats sont souvent étonnants lorsque, à l’aide d’une forme de radionique simplifiée et sécurisée, on obtient dans sa vie les choses auxquelles on aspirait sans savoir ce qui bloquait.

Cette technique va servir à bien des choses très concrètes et utiles comme par exemple estimer le niveau de radioactivité de certains aliments ou autres, et ensuite ramener à l’équilibre (car la radioactivité aussi est vibratoire, bien sûr), comprendre d’où vient une perturbation physiologique ou relationnelle et comment régler le problème, et trouver la meilleure solution pour rendre son intégrité à un produit ou à un organe. Tout ce qui peut permettre d’améliorer le niveau vibratoire est bon à prendre.

Si vous voulez organiser des formations pour vous et vos amis ou relations (ou participer à une session, il y en a dans plusieurs villes), vous pouvez faire appel à un ou une spécialiste de ces nouvelles techniques souvent fondées sur le travail de chercheurs et médiums canadiens. Des outils d’avant-garde pour reprendre son destin en main, notamment par la remise en ordre de l’émotionnel au niveau des mémoires d’où qu’elles viennent et de la généalogie, mais aussi pour avoir une influence positive sur le monde et se rapprocher de ce qu’on appelle « l’homme nouveau », ou plutôt « l’homme causal » dans « la Sixième Clef ».

Brigid MarlinEn effet, l’humanité est qu’on le veuille ou non dans une période de passage et de grands changements, et dans ces périodes, le pire est aussi possible que le meilleur. D’ailleurs ce sera le pire pour certains et le meilleur pour d’autres. Les deux croiront être du bon côté. Mais c’est une question de choix, de décision quant à ce qu’on estime être bon pour l’humanité. On peut penser que c’est la personne qui doit être sauvegardée quel qu’en soit le coût pour la planète, et c’est là-dessus que jouent les ennemis de l’humanité, on peut penser aussi que notre réalité est collective, et que plus on se rapproche de ce qui nous est commun à tous (le plus inconscient et le plus intime en nous), plus on est soi-même. Cela s’appelle aller vers la Cinquième Dimension.

Ceux qui préfèrent rester dans la Troisième considèrent qu’il faut prioritairement agir sur la matière ; les autres estimeront à juste titre qu’il faut aller aux causes, que les causes sont ontologiques et psychologiques d’abord, avant de devenir énergétique, et c’est l’énergétique qui finit par se manifester matériellement. Ce n’est pas une hypothèse, ce sont nos émotions qui engendrent l’énergie créatrice, et ce sont nos croyances profondes, ou nos mémoires fossiles, ou notre compréhension des choses, qui génère ces émotions. Le plus intelligent, même si cela paraît plus long, est donc d’agir d’abord au niveau de l’harmonisation psychologique. Ainsi on coupe le robinet des négativités auquel nos geôliers s’abreuvent, et ce faisant, on réalise un travail de fond qu’il faudra de toute façon faire un jour ou l’autre, car toutes les tribulations terrestres n’ont pour objectif que ce nettoyage émotionnel qui libère et apporte la lumière. Ceux qui, par impatience, veulent n’agir directement que sur les symptômes ne font en fait que perdre du temps. Cela ne veut pas dire qu’il ne faut rien faire dans le concrèt, cela veut dire que même si on doit éteindre l’incendie, il vaut mieux aussi couper le robinet du gaz sinon les incendies ne cesseront pas. Et par peur de se regarder en face et de découvrir la vraie nature de celui qui est en fait en partie responsable de la situation planétaire, on préfère rester dans l’agir extérieur et pointer du doigt d’autres responsables à éliminer.

Il ne sert à rien d’attendre que les autres fassent ce qu’ils ont à faire. C’est sur soi qu’il convient d’agir, ici et maintenant. Ceux qu’on voudrait voir changer, ces prédateurs doivent aussi changer de l’intérieur, sinon ils reviendront. Pour le moment leur intention est de ne pas changer. Mais leur intention peut évoluer. La contagion est dans les deux sens.

N’attendez pas l’autorisation des autres. N’ayez pas peur de perdre vos repères et votre appartenance à un groupe. L’appartenance à un groupe est un sentiment reptilien, les mammifères sont plus famille que groupe, et les humains plus autonomes parmi eux. Ce qui nous retient le plus pour évoluer c’est souvent ce sentiment de ne plus être reconnu comme membre de ce groupe, être rejeté de la communauté parce qu’on est différent, et dans notre mémoire préhistorique, être hors du groupe c’est la mort. Mais on n’est plus néanderthaliens.

Alors à vous de donner l’autorisation morale et psychologique aux autres. Car ceux qui sont autour de vous ne pourront changer que s’ils voient que vous l’avez fait, et que c’est vous qui êtes plus lumineux et plus joyeux. Que s’ils voient que certains l’ont fait, et se sont révélés d’authentiques humains plus libres. Ce qu’un homme a fait, un autre homme peut le faire. Et donner à des millions d’autres l’envie de le faire.

N’oublions pas que même les ennemis de l’humanité, au fond d’eux-mêmes, ont le même but que nous. Ils le cachent soigneusement, ne veulent pas le voir et surtout pas lui obéir, mais ce but est là, et tôt ou tard c’est lui qui emportera la décision.

Vous n’êtes pas votre passé. Vous êtes un projet. Réalisez-le.

Frank HatemFrank Hatem.

Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source).

Vu sur La Presse Galactique

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Nomade sur le chemin...
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238 réponses à Se libérer soi-même pour libérer l’humanité…

  1. pierrot dit :

    Excellent

    https://www.youtube.com/watch?v=gVWpZ30rwY8#t=13

    sympa aussi ce qu’il propose ce Stéphane, il y en a pour tous les goûts, et je trouve que pour l’instant il donne aux autres la possibilité de partager ce qui leur tient à coeur.

    bien entendu il ne faut pas tout prendre au pied de la lettre mais c’est dit avec humour sans prétention excepté pour les canalisations ou je trouve que ça manque de blagues.

  2. marie christine dit :

    Un livre vient de paraître : « La peur au ventre » de Patrick Denoux .
    Il y aurait une nouvelle maladie mentale : l’orthorexie, qui est un trouble du comportement alimentaire, l’obsession du manger correctement .
    L’orthorexique passe au moins trois heures par jour à penser à ce qu’il va manger, ne consomme un fruit que 10mn après avoir été cueilli, etc …

    • pierrot dit :

      Ils ont aussi fait une émission tv là-dessus.
      C’est ce qui se passe quand on écoute ce qu’on nous dit au lieu de s’écouter.
      Alors attention aux excés.

      • Margelle dit :

        C’était bien la proposition de Mathieu Gallant, que tu as mise sur le site. Il a une très belle position…. s’écouter et arrêter de vivre de façon automatique…. Il s’agit de sentir et arrêter de penser…. mais ce n’est peut-être pas si évident que ça… on peut toujours commencer à s’y mettre !

        • marie christine dit :

          Oui, on dirait que l’être humain a une tendance à tomber dans un excès ou dans un autre . Son angoisse est toujours prête à se reporter sur un domaine et à se transformer en obsession . Les médias, la médecine et autres institutions n’ont guère de mal à exercer leur influence …! Et le milieu spirituel n’est pas épargné non plus .

      • pierrot dit :

        A la limite il faut mieux manger de la merde avec plaisir que de vouloir manger sain avec déplaisir.
        La classe étant de manger sain avec plaisir bien sûr.

    • Machachouette dit :

      pour trouver l’équilibre, le balancier part d’un côté puis de l’autre avant de se stabiliser.

      Je pense utile et vital de s’interroger sur sa façon de manger et étrange de stigmatiser ceux qui poussent le bouchon … le plus loin possible. D’autant que pour retrouver son instinct il est nécessaire de retrouver de saines habitudes afin que le corps puisse faire son choix en conscience et librement.

      Merci à tous les chercheurs de l’Absolu!

      Une jolie petite vidéo pleine de Vie et d’Amour (et si les parents écoutaient leurs enfants au lieu de les obliger à être différents de ce qu’ils sont par Essence que deviendrait le monde?) :
      https://www.youtube.com/watch?v=3R2zPpXeJeo

      ♥Une pensée toute spéciale à tous les anorexiques incompris que l’on cherche en plus à culpabiliser ♥

      ♥♥♥

  3. pierrot dit :

    « Nous vivons trop dans les livres et pas assez dans la nature . » (Anatole France)

    • marie christine dit :

      Nous vivons l’aventure intérieure de toutes les manières possibles .
      Il n’y en a pas de meilleures que d’autres, pas de dogmes, pas de jugements . Seul Dieu sait . Chacun choisit ce qui lui convient le mieux à différentes périodes de sa vie . L’éventail est large et multiple . Rien n’est à opposer . Nous avons la liberté de tous les outils . Nous sommes seuls à connaître véritablement notre expérience intérieure .

    • pierrot dit :

      La différence entre l’enseignement par la nature et celle des livres c’est que celle venant par la nature ne passe pas par le filtre du mental. L’enseignement est vivant. Après chacun peut l’interpréter à sa sauce mais la source est vivante sans jugement aucun et ce n’est pas un mot ou une phrase ou un texte qui déclenche une vibration mais bien la vie elle-même indescriptible qui ne peut être mis sous forme de mots aussi paradoxales soient-ils.
      Après chacun est libre de suivre le chemin qui lui convient 🙂

      • Margelle dit :

        Et l’un n’exclut pas l’autre…. tout dépend du rapport que l’on a avec la nature et avec les mots….

      • marie christine dit :

        Qu’est-ce que le vivant, Pierrot ? Un prisonnier dans sa cellule n’est-il plus vivant ?
        Les mots peuvent émettre des vibrations d’une intensité qui te remue jusqu’aux tripes ou jusqu’au fond du coeur . La nature aussi .
        Nous sommes un tout .
        Je n’ai pas été heureuse à l’école, cela m’a dégoûtée d’un certain type d’enseignement, mais pas du désir d’apprendre (heureusement !) .
        Et la nature me donne d’autres sensations . Tout comme exercer un art, inventer, créer, faire des projets, aspirer, prier, écouter ses intuitions, résoudre des problèmes de la vie, communiquer avec des amis, faire des lâcher prises et des prises de conscience, jouer, s’occuper de quelqu’un, d’un animal, bricoler …
        Il existe des naturistes, des scientifiques, des intellectuels, des artistes, des matérialistes … Il y a de tout pour faire un monde . On n’a pas à juger . Tous sont vivants . Tous sont passionnés dans ce qu’ils font et dans ce qu’ils croient .
        Tu as peut-être raison, mais chacun doit parcourir son chemin pour trouver sa vérité . Dans chaque incarnation, nous venons expérimenter ce qui manquait dans notre progression .
        Si ça se trouve, tu as été un grand intellectuel dans une vie précédente, ou un grand frustré de nature qui a habité toute sa vie enfermé dans un HLM . Et ce sera l’inverse pour un autre .
        On ne peut pas vouloir que tout le monde suive le même chemin que nous . C’est de l’ignorance ou de l’abus de pouvoir .
        Là je suis crue ! Ben ça tombe bien, c’est la mode du cru .

    • marie christine dit :

      Absolument d’accord ! Merci François pour ce texte de Daniel Meurois, plein de bon sens .

    • pierrot dit :

      Et cela consiste à mon sens à s’impliquer sans s’y identifier car il n’ y a personne dans le je suis.

    • Marie-Anne dit :

      Merci pour le lien, François,

      « N’ayons pas peur de dire Non à la « zombification » planifiée de notre espèce
      N’ayons pas peur de désobéir à ce qui n’est visiblement pas de l’ordre du juste.
      N’ayons pas peur de faire se rencontrer le Vertical et l’Horizontal, et de tout faire
      pour nous tenir en leur point de jonction… » Daniel Meurois

      En accord avec cette conclusion!

      Et que nos « Non » soient dépourvus d’animosité; qu’ils soient animés, plutôt, d’un esprit de justesse, de clarté, et de calme détermination!
      Être partie intégrante de la Création (ce rêve de « Dieu », ce merveilleux terrain de jeu et d’expression créative), c’est accepter de jouer le Jeu de l’expansion de conscience,
      …et nous pouvons jouer dans les multidimensions de la Création tout en étant conscients, avec humilité et fierté pourtant, de Qui Nous Sommes vraiment!

    • Margelle dit :

      Tellement d’accord également, en fait c’est juste se respecter… Et d’ailleurs un mystique qui se respecte est relié avec le Tout…. il ne peut se mettre à l’écart, cela n’aurait aucun sens…

  4. jocelyne dit :

    en résonance
    Se libérer soi-même ET libérer l’humanité…

  5. marie christine dit :

    La Lumière aurait-elle infiltré la NASA ???

    « LA FIN DE NOTRE CIVILISATION EST PROCHE SELON LA NASA
    Ce n’est pas la première fois que l’on prédit la fin du monde . Mais cette fois-ci, ce sont les scientifiques qui annoncent l’effondrement de notre civilisation moderne et industrielle dans les prochaines décennies . C’est la conclusion peu joyeuse d’une nouvelle étude parrainée par la NASA et relayée le 14 mars par le quotidien britannique « The Guardian » .
    Pour arriver à ce constat apocalyptique, l’étude a été réalisée par une équipe de scientifiques américains menée par le mathématicien Safa Motesharrei qui a mis au point un nouvel outil analytique, baptisé HANDY (Human And Nature Dynamical) . L’étude réunit des données historiques montrant que la disparition des civilisations, telles que les Mayas ou l’empire romain, est un phénomène qui se répète depuis 5000 ans . Elle cible plusieurs facteurs explicatifs parmi lesquels le climat, la population, l’eau, l’agriculture ou encore l’énergie .
    Les scientifiques expliquent que notre civilisation s’écroulera pour deux scenarios possibles . Selon le premier, les plus riches accaparent tellement les richesses que les plus pauvres connaissent la famine : la perte de travailleurs entraîne l’effondrement du système . Dans le second, c’est la surconsommation des ressources qui entraîne le déclin de toutes les catégories de population . Dans les deux cas, la chute s’avère difficile à éviter . Selon les chercheurs, plusieurs empires ont disparu, notamment à cause de l’aveuglement des élites qui, jusqu’au bout, se croyaient protégées et ont refusé de réformer leur système de vie en communauté . C’est précisément l’inconscience des élites qui aurait entraîné la disparition des empires romain et Maya .
    Selon les chercheurs, seules les changements pourraient nous permettre d’éviter le pire . D’une part, ils préconisent la réduction des inégalités économiques pour assurer une distribution plus juste des richesses . D’autre part, il faut réduire la consommation et s’appuyer davantage sur des ressources renouvelables et limiter l’essor démographique . Tout un programme ! » .
    (Planet à la Une)

    • graffitique dit :

      Pour certaines choses je me demande si par hasard, la nasa ne serait pas utilisée au même titre que certaines ONG (j’avais lu ce rapport). Va savoir …
      Ces derniers jours je n’ai pu m’empêcher de mettre le nez dans l’actualité, sans trop rien en penser. J’ai même eu l’occasion de flairer le relent fétide du JT télé chez un copain, waow, ça réveille de revoir les momies.
      J’ai donc appris certaines choses historiques que j’ignorais, ce qui m’a aidé à mieux cerner ce qui est censé se passer.
      Quant aux experts… il y en a vraiment pour tous les goûts.
      Il me semble hasardeux de faire des pronostics : à un certain point les choses peuvent prendre une tournure tout à fait imprévue.
      Le spectacle est bien rodé, mais les recettes s’épuisent, en effet, la claque manque de conviction, et le public se fait prier.
      Mais bon, tant qu’on peut acheter les services de quelques humanoïdes avec du papier imprimé en vert, tout va son petit bonhomme de chemin^^.
      Merci la nasa 🙂

      • marie christine dit :

        On peut toujours crier dans le désert, mais si les scientifiques (qui plus est de la NASA) le disent, alors … ça peut changer beaucoup de choses dans l’esprit de la masse des populations .

        Les « Maîtres » de ce monde sont peut-être indifférents à la destruction des ressources car ils ont pris des mesures de survie (illusoires bunkers au cas où) ; et de toute façon, ils croient à leur toute-puissance sur le bouton de commande de l’abondance universelle .
        Mais je ne sais pas s’ils sont capables d’envisager la fin du système économique et financier qui est la planche sous leurs pieds en même temps que leur colonne vertébrale . Ils SONT eux-mêmes ce système, tellement ils sont identifiés à lui, structurés par lui . Tout changement les déstabiliserait et leur ferait perdre l’équilibre .

        • graffitique dit :

          « Ils » sont « nous » autant que « nous » sommes « eux ».

          Toute cette identification à ce système, de cette structuration par ce système, dont tu parles, nous parle si clairement de nous-même, fut-ce par les reflets du « miroir ».

          C’est ce qui me venait à la lecture des infos du monde.

          C’est pour ça que j’aime la conclusion de F. Hatem :
          « N’oublions pas que même les ennemis de l’humanité, au fond d’eux-mêmes, ont le même but que nous. Ils le cachent soigneusement, ne veulent pas le voir et surtout pas lui obéir, mais ce but est là, et tôt ou tard c’est lui qui emportera la décision.
          Vous n’êtes pas votre passé. Vous êtes un projet. Réalisez-le. »
          Ce qui m’enchante c’est de voir et ressentir à quel point converge, venant d’horizons si variés, cette conscience là dans ses manifestations : y compris cette peur du changement qui « les (nous) déstabiliserait et leur (nous) ferait perdre l’équilibre »
          Aussi vrai que la forme épouse si parfaitement sa contre-forme, qu’on se demande laquelle définit l’autre… 🙂

          • marie christine dit :

            D’accord avec toi, Graffitique .
            Un extrait du Livre des Esprits de Allan Kardec :

            « Les Esprits sont-ils bons ou mauvais par leur nature, ou bien sont-ce les mêmes Esprits qui s’améliorent ?
            – Les mêmes Esprits qui s’améliorent : en s’améliorant, ils passent d’un ordre inférieur à un ordre supérieur » .

            Parmi les Esprits, les uns ont-ils été créés bons et les autres mauvais ?
            – Dieu a créé tous les Esprits simples et ignorants, c’est-à-dire sans science . Il leur a donné à chacun une mission dans le but de les éclairer et de les faire arriver progressivement à la perfection par la connaissance de la vérité et pour les rapprocher de lui . Le bonheur éternel et sans mélange est pour eux dans cette perfection . Les Esprits acquièrent ces connaissances par les épreuves que Dieu leur impose . Les uns acceptent ces épreuves avec soumission et arrivent plus promptement au but de leur destinée ; d’autres ne les subissent qu’avec murmure et restent ainsi, par leur faute, éloignés de la perfection et de la félicité promise .

            Y a-t-il des Esprits qui resteront à perpétuité dans les rangs inférieurs ?
            – Non, tous deviendront parfaits ; ils changent, mais c’est long ; car un père juste et miséricordieux ne peut bannir éternellement ses enfants . Tu voudrais donc que Dieu, si grand, si bon, si juste, fût pire que vous ne l’êtes vous-mêmes !

            Les Esprits peuvent-ils dégénérer ?
            – Non ; à mesure qu’ils avancent, ils comprennent ce qui les éloignait de la perfection . Quand l’Esprit a fini une épreuve, il a la science et il ne l’oublie pas . Il peut rester stationnaire mais il ne rétrograde pas .

            Tous les Esprits passent-ils par la filière du mal pour arriver au bien ?
            – Non par la filière du mal, mais par celle de l’ignorance .

            Pourquoi certains Esprits ont-ils suivi la route du bien, et d’autres celle du mal ?
            – N’ont-ils pas leur libre arbitre ? Dieu n’a point créé d’Esprits mauvais ; il les a créés simples et ignorants, c’est-à-dire ayant autant d’aptitude pour le bien que pour le mal ; ceux qui sont mauvais le deviennent par leur volonté .

            Comment les Esprits, à leur origine, alors qu’ils n’ont pas encore la conscience d’eux-mêmes, peuvent-ils avoir la liberté entre le bien et le mal ? Y a-t-il en eux un principe, une tendance quelconque, qui les porte plutôt dans une voie que dans une autre ?
            – Le libre arbitre se développe à mesure que l’Esprit acquiert la conscience de lui-même . Il n’y aurait plus liberté si le choix était sollicité par une cause indépendante de la volonté de l’Esprit . La cause n’est pas en lui, elle est horss de lui, dans les influences auxquelles il cède en vertu de sa libre volonté . C’est la grande figure de la chute de l’homme et du péché originel : les uns ont cédé à la tentation, les autres ont résisté .

            D’où viennent les influences qui s’exercent sur lui ?
            – Des Esprits imparfaits qui cherchent à s’emparer de lui, à le dominer, et qui sont heureux de le faire succomber . C’est ce que l’on a voulu peindre par la figure de Satan .

            Les êtres que nous appelons anges, archanges, séraphins forment-ils une catégorie spéciale d’une nature différente des autres Esprits ?
            – Non, ce sont les purs Esprits : ceux qui sont au plus haut degré de l’échelle et réunissent toutes les perfections .

            Y a-t-il des démons dans le sens attaché à ce mot ?
            – S’il y avait des démons, ils seraient l’oeuvre de Dieu, et Dieu serait-il juste et bon d’avoir fait des êtres éternellement voués au mal et malheureux ? S’il y a des démons, c’est dans ton monde inférieur et autres semblables qu’ils résident ; ce sont ces hommes hypocrites qui font d’un Dieu juste un Dieu méchant et vindicatif, et qui croient lui être agréable par les abominations qu’ils commettent en son nom .

            Le nombre des incarnations est-il le même pour tous les Esprits ?
            – Non ; celui qui avance vite s’épargne des épreuves . Toutefois, ces incarnations successives sont toujours très nombreuses, car le progrès est presque infini .

            Nos différentes existences corporelles s’accomplissent-elles toutes sur la terre ?
            – Non, pas toutes, mais dans les différents mondes : celle d’ici-bas n’est ni la première ni la dernière, et c’est une des plus matérielles et des plus éloignées de la perfection .

            L’état physique et moral des êtres vivants est-il perpétuellement le même dans chaque globe ?
            – Non ; les mondes aussi sont soumis à la loi du progrès . Tous ont commencé comme le vôtre par être dans un état inférieur, et la terre elle-même subira une transformation semblable ; elle deviendra un paradis terrestre lorsque les hommes seront devenus bons . »

          • acacia dit :

            Eh bien, Graffitique, moi aussi, ça m’enchante !
            Toutes les divergences seraient en train d’être entraînées dans le même grand siphon où tout est amené à converger…
            La fusion va être un moment inoubliable ! 🙂 🙂

            • marie christine dit :

              Génial Eckhart Tollé ! Merci Acacia .
              Entre l’inconscience et l’Unité à atteindre : toujours le choix d’être soi .
              D’abord par moments, puis de plus en plus souvent, puis …
              Ou brusquement par surprise …
              Ou dans une prochaine vie …
              Et après l’unité à atteindre, une perfection plus grande …
              Perpétuellement …

              • acacia dit :

                Marie-Christine
                Heureusement qu’on a le temps… et qu’il n’existe pas ! 🙂 sinon on se mettrait la pression et ça c’est pas bon pour l’accès à la conscience. ♥♥♥

          • graffitique dit :

            Merci Marie Christine
            J’espère que ceci vous plaira : « Mala Punica »
            http://www.francemusique.fr/player/resource/23593-26935 (Pedro Memelsdorf)

          • Margelle dit :

            A tout hasard…. cette conférence de 2 h (sans résumé ni compte rendu) d’un économiste au drôle de nom « Larrouturou » qui défend -pardon propose- des idées si justes… et essaie de les faire entendre…
            Merci Marie Christine pour Kardec, Merci Graffittique pour ton analyse…
            http://www.youtube.com/watch?v=hhmnEW0wNOU

    • Cécile dit :

      Voir à ce sujet « Effondrement », essai signé Jared Diamond (un pavé de près de 900 pages, c’est dire si le sujet est vaste…). Déprimant mais instructif.

      • acacia dit :

        « Déprimant mais instructif »… heureusement que tu n’es pas chargée de la promotion des ventes, Cécile… ! 🙂 🙂
        Pour ceux qui hésiteraient devant les 900 pages de déprime annoncée, mais voudraient néanmoins en savoir un peu plus :

        http://blog.mondediplo.net/2008-01-18-Effondrement-de-Jared-Diamond

        « Les sociétés traditionnelles ont la plupart du temps une conception cyclique du temps. (…) Dans cette conception, tout ce que nous infligeons aujourd’hui à l’environnement aura des conséquences que nous subirons plus tard, puisque nous ferons en quelque sorte partie des générations futures. En revanche, les sociétés modernes ont souvent une conception linéaire du temps. Ce que nous faisons à présent aura certes des conséquences dans le futur, mais nous n’y serons plus. Ce principe a soutenu la croyance au développement et au progrès qui a conduit à la civilisation moderne actuelle. Elle a également généré une confiance aveugle dans le futur : nos descendants sauront faire face, grâce aux progrès techniques et scientifiques, aux conséquences de nos activités actuelles. » (commentaire de Sabine Rabourdin, dont on peut trouver des conférences sur Dailymotion).
        « Ainsi nous avons des sociétés dont la perception temporelle est circulaire, évoluant sur un espace fixe, qui perdurent depuis plusieurs milliers d’années, et des sociétés dont le temps est linéaire se bâtissant sur un espace en perpétuelle extension et dont on perçoit après quelques siècle le caractère non-durable. »
        De toute manière, aujourd’hui est la fête de l’Annonciation, alors c’est une belle journée, non ? 🙂 ♥

    • pierrot dit :

      En tout cas faut croire que l’ombre est encore dans Yahoo car depuis peu les emails que je reçois ou que j’envoie sur le pouvoir en place et leurs sbires sont censurés.
      Par contre les emails passent sur gmail, faut croire que Google n’a pas la même définition de la liberté d’expression que Yahoo.

  6. laurore dit :

    Bonjour. Il a beaucoup plu ces semaines passées, puis le soleil est revenu en force. Je suis en train de faire une cure de pissenlits et de plantin en salade – véritable réjouissance! je bois aussi de l’eau de mon puits, que je vais chercher à quinze mètres; je fuis comme la peste  » bienvenue dans votre journal du 13 heures ». Je rêve que je déambule dans la cour d’un cloître appartenant à un autre univers.Je me fabrique mon bonheur, ma paix. Grand salut au passeur.

    • Soleil Bleu dit :

      Comment te remercier SPOT de Ce que je viens d’entendre de la bouche de Tony Parsons que je découvre ? dit avec des mots tellement simples et pourtant d’une justesse qui me laisse sans Voie/voix.
      Ce courant me traverse et bouscule nombre de mes repères habituels. Depuis quelques temps, je suis spectatrice d’instants furtifs de plus en plus nombreux où l’état qu’il décrit prend le devant de ma scène, un Tout « sans je » plein de Rien. Mettre des mots là dessus m’était et m’est encore impossible, lorsque je tentais de le faire cela ressemblait à un « discours fou » comme il le dit si bien. Avoir écouté Gérard m’avait déjà quelque peu rassuré sur ma santé mentale et fait beaucoup de bien, mais Tony Parsons complète à la virgule prés l’appréhension du phénomène. A l’instant même, je n’en reviens pas……une Joie tranquille mais profonde est là. C’est bon et apaisant pour tout mon Être !
      Par moment une once de peur me gagne face à Cela que je ne connais pas du tout, mais mon regard et mes pensées s’éclaircissent et s’allègent par ailleurs de manière indéniable, je ne sais vraiment pas Ce qui Se passe réellement mais Cela Se vit. Avec ou sans mon accord…
      Bien à toi SPOT, dans une immense reconnaissance ♥☼♥

      • acacia dit :

        Soleil Bleu,
        « Je ne sais vraiment pas Ce qui Se passe réellement mais Cela Se vit. Avec ou sans mon accord… »
        J’aurais tendance à dire que sans mon accord il ne me sera pas donné de participer à la Grande Symphonie…
        Ceci dit, il me semble que nous ressentons toutes deux des fréquences assez similaires 🙂 !
        ♥♥♥

    • Li dit :

      Merci Spot. Je reste moi aussi sans voix et voie. Et c’est bien…
      Li

    • graffitique dit :

      Magnifique. 🙂

    • Soleil Bleu dit :

      Tout se rejoint dans une telle évidence. L’insatisfaction qui soutient et œuvre à l’illusion d’un « je » qui pense et croit qu’il doit réaliser un chemin. Quelle merveille !
      https://www.youtube.com/watch?v=2l1Ss7pCm1E

      • pierrot dit :

        🙂
        Il dit que tout est énergie, je dirais plutôt que tout est information.
        L’énergie est l’expression de l’information.
        J’aime la voie sans maître et méthode ce qui ne veut pas dire ne pas pratiquer une méthode ou ne pas avoir un maître mais plutôt ne pas s’y identifier, ce qui ne veut pas dire non plus ne pas s’impliquer.
        Pour ma part mon enseignant c’est la nature au moins il est dépourvu de filtre mental je trouve cela plus direct selon mon point de vue bien entendu.

    • alain thomas dit :

      Bien vu SPOT c’est exactement cela…
      Comme lorsque tu fais tes courses au supermarché, tu arrives à la caisse, la fille fait son travail puis vient le moment où elle te donne le montant à payer suivi d’un « s’il vous plaît ! » et tu réponds « ça me plaît » … alors aussitôt un sourire émerge de son visage et tu le partages … survient alors un instant qui peut durer de une à plusieurs secondes mais qui ne se compte pas car à ce moment le temps n’existe plus, il a disparu … ce n’est que lorsque tu sors de la situation que tu retrouves la notion de temps et c’est fini, tu retournes dans le « moi » parce qu’il est impossible de s’en séparer totalement ici … mais lorsque tu es dans la situation, le « moi » a disparu, il est mort, il n’y a plus personne …. c’est magique en fait …
      Aussi, lorsque tu vas chez la boulangère qui doit vendre le plus possible de nourriture, pas que du pain, alors lorsque tu as commandé tes deux baguettes, elle te les donne puis te dit « et avec ceci ? » … et tu lui réponds « votre sourire s’il vous plaît » et c’est reparti, le temps de l’échange, tout disparaît, il n’y a plus rien, c’est l’Amour en fait, le vrai celui qui est sans désir, sans soif, sans attente ni passion, juste rien, quelque chose de vide … et de plein … c’est magique je te dis … merci SPOT, tu m’as fait rencontrer un frère, c’est bien …

      • SPOT dit :

        Alain, star Blue, li, et vous tous,
        Oui c’est impossible de quitter ce qui est^^ c’est comme une fondue enchainée une attention QUI ONDULE^^tantôt depuis spot, tantôt depuis ce qui permet à spot d’apparaitre dans ses situations cocasses, et cette bestiole spot ne lâche rien, même pas le sourire d’une petite caissière de supermarché aux cheveux brun de surcroit, qui lui souhaite un bon week-end, et hop voilà l’amorçage d’une sauvegarde de plus, pour ce fossile vivant^^ de petits moments de séductions^^qu’il tient en réserve comme une nourriture de plus en plus rare au vue de son aspect défraîchi^^
        Et puis il y a l’air qui fouette le visage sur cette route départementale au petit matin, balayée par intermittence par quelques gouttes d’eau, et le touché du soleil qui rappelle la presence, et puis ces chants d’oiseaux qui transpercent d’inattendu ce calme qui n’a besoin de rien, même pas d’être pensé par ce vagabond de spot qui se trimbale dans sa mémoire^^le sourire aux lèvres.

      • acacia dit :

        Tu parles d’or, Alain Thomas, et ça me donne envie de mettre ici ce poème de Raoul Follereau :

        « Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup,
        Il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne,
        Il ne dure qu’un instant, mais son souvenir est parfois éternel,
        Personne n’est assez riche pour s’en passer,
        Personne n’est assez pauvre pour ne pas le mériter,
        Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires,
        Il est le signe sensible de l’amitié,
        Un sourire donne du repos à l’être fatigué,
        Donne du courage au plus découragé
        Il ne peut ni s’acheter, ni se prêter, ni se voler,
        Car c’est une chose qui n’a de valeur qu’à partir du moment où il se donne.
        Et si toutefois, vous rencontrez quelqu’un qui ne sait plus sourire, soyez généreux donnez-lui le vôtre,
        Car nul n’a autant besoin d’un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres. »

        Des sourires à toi, à tous ! ♥

      • Thau dit :

        ça fait plaisir de te lire A-T ( 🙂 ) …l’hibernation est terminée?
        fraternellement

    • acacia dit :

      Réjouissante personne que ce Tony Parsons dont le moi s’est dissout…
      J’ai visionné la séquence proposée par Spot ( merci à toi ! ) il y a quelques jours, et j’ai été touchée par quelque chose dont j’ai bien senti que ça allait creuser en moi un nouveau canal d’irrigation.
      De prime abord cet homme m’a semblé plutôt…déshumanisé.
      Est-ce là l’état humain de la nouvelle ère ?
      En même temps n’est-ce pas cela, ce franchissement du miroir auquel nous aspirons ? Cette faille dans laquelle le je est absorbé, et cet espace dans lequel il se découvre multiplié à l’infini, simple parcelle du tout ?
      En tout cas ma rencontre virtuelle avec T. Parsons a provoqué en moi une secousse sensible.
      D’une part parce qu’il témoigne d’une réalité dont j’ai été l’objet une nuit, lors d’un passage par un état de transparence. Je n’étais plus qu’une espèce de bulle sans forme ni couleur, une simple construction de cellules vivantes, transparentes, traversées par les énergies de l’univers… un ressenti extraordinaire – mais non durable dans sa totalité.
      D’autre part parce que je saisis de plus en plus la relativité de cette histoire qui est la mienne dans cette incarnation. Et là, ce qui m’importe, c’est de pouvoir traduire au quotidien les conséquences de cette relativité – sinon, franchement, ça ne me sert actuellement à rien.
      Alors, même s’il me faut encore vouloir me souvenir que je le sais ( que je vis une forme illusoire ), au sein de cette forme, elle-même entourée de formes, je ressens de plus en plus précisément, et de plus en plus souvent, la proximité d’une toute autre réalité.
      Ça me fait la vie plus légère. Et je peux me dire que, oui, je m’approche de cette zone où le moi cessera de s’illusionner et s’effacera. Pour céder la place à… je le saurai quand j’y serai 🙂 .
      Ah, une chose m’a touchée : ce sont les vagues de joie qui traversent soudain cet homme. Elles se manifestent en une seconde et disparaissent aussi vite. Un grand rire l’illumine, et hop ça s’efface. « ça passe »… « c’est là »… « ce n’est plus là »…
      Et j’ai apprécié aussi la présence très ouverte de la jeune femme qui l’interviewe.
      A tous ici, à tous partout, je souhaite intensité et légèreté ♥♥♥

      • alain dit :

        Tony Parsons est l’ancien guitariste du groupe Iron Maiden.
        Il vit en Angleterre et anime des séminaires dans le monde entier sur les thèmes de la Connaissance de soi et de la non-dualité.

        « Un jour, je traversais à pied un parc d’un faubourg de Londres. Je notais alors que j’avais l’esprit entièrement occupé par des projections à propos d’événements futurs pouvant ou non se produire. L’idée me vint de laisser tomber toutes ces projections et d’être simplement à ma marche. Je remarquais combien chaque pas était totalement unique par sa sensation et sa pression et comment, à peine en prenais-je conscience, il disparaissait l’instant d’après pour ne jamais se répéter de la même manière.
        Tandis que mon esprit était occupé à ces réflexions, il y eut une soudaine translation – de moi en train d’observer ma marche, à la seule présence de la marche. Ce qui arriva ensuite est simplement au-delà de toute description. Je ne peux que dire, de manière inadéquate en mots, qu’une incommensurable présence tranquille sembla descendre et envelopper toute chose. Tout et chaque chose devint intemporel et je cessai d’exister. Je disparus et il n’y eut plus personne pour faire l’expérience de quoi que ce soit.
        L’identité avec l’unicité de toute chose est ce qui se produisit. Je ne peux pas dire que j’étais « un avec » ceci ou cela, car j’avais disparu. Je peux seulement dire qu’une identité absolue avec l’unicité en tout et en chaque chose s’était produite et qu’un amour débordant emplissait tout. Avec cela survint une pleine compréhension de la totalité. Tout cela s’était passé hors du temps en un éclair qui parût éternel.
        Il s’en suivit directement une révélation contenue dans cet événement si magnifique et révolutionnaire dans sa nature, que je dûs m’asseoir sur l’herbe pour en assimiler les conséquences. Ce que je vis était simple et évident d’une certaine manière, mais complètement intraduisible d’une autre. C’était comme s’il m’avait été donné une réponse qui n’avait pas de question. Il m’avait été montré un secret qui est un secret évident, ouvert ; et que tout et chaque chose, connue et inconnue, contient et reflète ce secret ouvert. La nature, les gens, la naissance et la mort, nos combats, nos peurs et nos désirs sont tous contenus en lui et reflètent un amour inconditionnel.
        […]
        Pourquoi moi et pourquoi maintenant ? Comment pouvais-je avoir mérité de recevoir un tel cadeau sans rien à donner en retour ? Je n’étais certainement pas pur dans le sens biblique, ou selon tout autre critère reconnu… enfin c’est ce que me suggérait mon esprit. Je n’avais pas vécu une vie disciplinée de méditation ou d’engagement spirituel quel qu’il soit. Cette illumination s’était produite sans aucun effort de ma part ! Il m’était simplement venu l’idée d’observer ma marche, ce qui s’était produit d’une manière facile et naturelle ; et c’est alors que ce trésor avait émergé.
        J’en vins aussi à reconnaître que ce don apparent avait toujours été disponible et qu’il le serait toujours. C’était la plus merveilleuse réalisation de toutes ! Qu’absolument indépendamment de l’endroit, du moment ou de l’humeur dans laquelle je pouvais me trouver, cette présence était prête à émerger et à m’embrasser. Ce trésor était à redécouvrir, mais certes pas par des pratiques et rites spirituels ardus et en apparence de grande portée. Pas du tout. Ce merveilleux trésor embrassant et recouvrant tout s’offrait dans l’essence d’un pas, dans le bruit d’un tracteur, dans mon sentiment d’ennui, dans la présence d’un chat assis, dans les sentiments de douleur et de rejet, en haut d’une montagne, ou au milieu de Balham High Street. Où que ce soit, je suis totalement environné et immergé dans la tranquillité, l’amour inconditionnel et l’unicité.

        Tony Parsons, Ce qui est, Accarias L’Originel, 2002

        Bonjour à tous, Acacia, Thau et tous les autres.

        • acacia dit :

          Alors moi je reste chaque fois sidérée d’émerveillement quand je lis des témoignages tels que celui de Tony Parsons… !
          Merci pour cet extrait, Alain, il me fait vivre un beau moment de joie ♥

        • Thau dit :

          Tellement « simple » que ça en devient « brillant »…Merci Alain

          • alain thomas dit :

            J’adore son rire, c’est celui d’un clown qui n’a même pas besoin de se maquiller.
            Les clowns n’ont pas d’âge, ils sont des enfants éternels, ils savent sans mots qu’ils ne savent rien et ils se dépouillent de tous les artifices. Ils peuvent être tristes car la tristesse est un espace de repos entre deux éclats de rire.
            Ils aiment les êtres naturellement… avec une telle bonté… ♥ ♥ ♥

  7. TANGA dit :

    Bjr a vous,j’aimerais savoir comment connaitre son niveau vibratoire,comment l utiliser en bonne et due forme,a quel moment l utiliser,mediter ne fait pas du mal a qui cherche le savoir ,merci a tous .

    • Salvia dit :

      Bonjour Tanga,
      je viens de survoler cet article et j’ai envie de donner une petite réponse à ta question.
      Tu demandes à quel moment utiliser le taux vibratoire… On n’utilise pas son taux vibratoire comme un quelconque produit. Le mot « taux » exprime seulement une mesure concernant notre énergie vitale et celle-ci est fonction de notre état physique et moral. Pour cela il est bon de l’alimenter pour qu’elle soit toujours au meilleur niveau. On peut donc remonter son taux vibratoire, avec un peu de volonté et de constance. C’est une sorte d’art de vivre. Il existe pour cela tout plein de moyens, ne serait-ce que celui d’aller dans la nature, en forêt, car les arbres émettent une belle énergie, ou bien de chanter, ou faire tinter un bol tibétain, ou prier, ou méditer… chacun selon sa sensibilité…

  8. Bat-J dit :

    Le quarté du pouvoir, dans l’ordre :
    – Primo : Ceux qui savent
    – Deuxio : ceux qui savent qu’ils ne savent pas
    – Tertio : plus commun, ceux qui ne savent plus qu’ils savent
    – et enfin, ceux qui ne savent pas qu’ils ne savent plus.

  9. elleven dit :

    L’éveil pour les nuls 😉 (tout ce qu’il reste:par jeff foster)

    http://www.youtube.com/watch?v=X3u2BleI3WI

  10. pierrot dit :

    Sur ce site, plusieurs belles Expériences de Mort Imminente (EMI).
    Il y a 206 récits en tout, la majorité étant des EMIs et peut-être 1-2-3 sorties du corps.
    Il s’agit d’Américains, de Canadiens et de deux Québécois.
    Je vous recommande, en particulier, ce québécois du nom de Roger C.
    Plusieurs expériences se ressemblent tout en étant différentes,
    certaines sont fabuleuses et d’autres très simples.
    En d’autres mots, il y a autant d’expériences
    que d’individus qui les vivent, ceci est particulier à chacun.

    Bonne lecture. (français)

    http://www.nderf.org/French/yellow_bubbles.htm

  11. MPaule dit :

    Bonjour tout le monde,
    Que pensez-vous de Gérard?http/regarder-ce-qui-est.org/ecouter

    • Li dit :

      Bonjour Marie-Paule,
      Que te dire de Gérard…? Je suis allée sur son site et j’ai un peu lu de-ci de-là.
      Ce qu’il dit est tout à fait vrai, ce sont les premiers pas vers l’éveil, la prise de conscience que le bonheur n’est pas à l’extérieur mais en nous et qu’il nous faut changer notre regard sur toutes choses pour obtenir un mieux être, se déformater, désapprendre pour réapprendre.
      Envisages-tu d’assister à l’une de ses conférences?
      As-tu lu tous les textes publiés sur Urantia Gaïa?
      Bisous et bonne journée!
      Li ☼❤☼❤☼

      • MPaule dit :

        Bonjour Li,
        Merci de ta réponse

        Oui je vais tous les jours sur le site du Passeur pour voir les nouveaux articles ou commentaires.
        Non je ne pense pas aller rencontrer Gérard par contre ,je regarde toutes ses vidéos et j’écoute tous les audios sur son site

        En fait,il dit que c’est quand on arrête de chercher,que « ça » arrive,même pas « ça arrive »… car tout est déjà là.Il dit que les pensées ne sont pas « nos » pensées,et que si on les laisse passer quand elles « arrivent » tout va bien, c’est parce qu’on y croit,qu’on en fait un film que ça se complique.
        Que l’on ne peut pas « arrêter d’être »,que le « moi » n’existe pas.
        Je trouve tout ça intéressant
        Lumineuses pensées

    • Soleil Bleu dit :

      Bonjour MPaule,

      Quoi te répondre à « que pensez-vous de Gérard » ? lorsque son enseignement nous invite justement à lâcher les pensées crues et avec elles la fausse croyance en l’existence d’un « moi » créant ou influant sur un scénario prédestiné, Rien évidemment.
      Ce serait beaucoup trop long de décrire en quoi : un regard neutre posé sur les expériences de la Vie par la croyance en l’existence d’un »moi » qui s’absente, Est une déconstruction fonda-mentale autant que monu-mentale du mirage (y compris spirituel) créé par la pensée. Gérard, le fait très bien et très clairement, mais le plus important est qu’il invite chacun, sans concession, à aller Regarder ses propres constructions mentales qui le séparent de « Qui Je Suis » (Qui, n’étant Pas Ce à quoi l’on pense, non plus que Ce que l’on pense).
      Soit, LE lâcher-prise à toutes nos dimensions, physiques, mentales ou intellectuelles, un pas impliquant pour Se faire Tous les éléments d’éveil mis à jour sur le site du Passeur et ailleurs, que je résume à un état d’Être : l’Acceptation, sans pensée/jugement positive ou négative, sans volonté de le changer ou l’orienter, de traverser Ce que la Vie choisit d’expérimenter à travers la personne que j’incarne dans ce moment présent.
      Simple et réchauffé me diras-tu ! le laisser S’écrire ou le faire Se dire oui, mais plonger dans le programme du non-connu, en conscience de la non-existence et non implication d’un « je », en laissant les repères mentaux humain se dissoudre, sans anticipation ni préparation préalable possible à cet accueil inconditionnel, C’est une sacrée autre aventure, pour ne pas dire « l’Aventure » à laisser vivre.
      Tellement autre que l’écrire comme je viens de le faire n’a, au final, aucun sens dans cette perception… 😉

    • Margelle dit :

      Vos réflexions me donnent l’envie de « délivrer » cette « sourate du vide » de Jacques Lacarrière, que j’apprécie dans son exigence extrême….

      « Désapprendre. Déconditionner sa naissance.
      Oublier son nom. Être nu.

      Dépouiller ses défroques. Dévêtir sa mémoire.
      Dé-modeler ses masques.

      Déchirer ses devoirs. Défaire ses certitudes.
      Dés-engranger ses doutes. Désemparer son être.

      Débaptiser sa source. Dérouter ses chemins.
      Défeuiller ses désirs. Décharner ses passions.

      Désacraliser les prophéties. Démonétiser l’avenir.
      Déconcerter l’antan. Décourager le temps.

      Déjouer la déraison. Déflorer le délire.
      Défroquer le sacré. Dégriser le vertige.

      Défigurer Narcisse. Délivrer Galaad.
      Décourager Moloch. Détrôner Léviathan.

      Démystifier le sang. Désosser le singe.
      Déshériter l’ancêtre.

      Désencombrez votre âme. Déséchouez vos échecs.
      Désenchantez le désespoir. Désenchaînez l’espoir.

      Délivrez la folie. Désamorcez vos peurs.
      Dés-animez vos cœurs. Désespérez la Mort.

      Dénaturez l’inné. Désincrustez l’acquis.
      Désapprenez vous. Soyez nus… »

      Jacques Lacarrière…

      (Vaste programme…. y a plus qu’à…..)

      • Marie-Anne dit :

        Beaucoup de « dé- » dans cette sourate, Margelle! 🙂
        Pourquoi pas, mais c’est trop compliqué pour moi; je préfère la sourate du sourire:

         » Poser un regard d’amour, de compréhension et de reconnaissance sur « l’extérieur »;
        poser un regard d’amour, de compréhension et de reconnaissance sur « l’intérieur ».  »

        C’est beaucoup plus simple, mais pas nécessairement plus facile à enclencher! 🙂

      • Lisa dit :

        Merci Margelle.
        çà fait du bien de venir ici.
        Très belle semaine à toi, et à tous.

      • marie christine dit :

        Quand tu auras fait ça, Margelle, tu nous diras où tu en es !!!
        Préviens s’il faut aller te ramasser à la petite cuillère, on le fera, par amitié et grande compassion …

      • Soleil Bleu dit :

        Oui Margelle, quand on détaille la non-existence du « moi » cela donne Tout Cela, avec pour pivot central et pragmatique à sa réalisation l’attention constante aux pensées qui naissent et auxquelles on s’accroche et donnons de l’énergie au point de les ressentir vraies. Comme tu le dis très justement c’est un vaste programme, qui occupe à plein temps, mais qui a aussi l’avantage de ne plus s’arrêter au mirage de la forme des choses, Ce qui Est, Est, et alors ? Et alors, Rien ! Rien en tout cas de ce que l’orgueil du mental s’amuse insidieusement ou ouvertement à en faire.
        Merci à toi de ce très beau et juste texte de Jacques Lacarrière 🙂

      • Jacques dit :

        Bonjour Margelle,
        Vaste programme ?
        Pas si sûr que ça !
        Le « moi » n’est-il pas un énorme château de cartes où il suffirait de retirer une seule petite pièce pour faire tomber tout un pan de forteresse voir tout l’ensemble ?
        De nombreuses « cartes » bénéficient de solides fondations (tout du moins, on le croit tellement fort…) mais, alors que l’on ne s’y attend pas du tout, une toute petite bise peut les déstabiliser en une fraction de seconde…
        Non, il faut peu de choses pour se mettre totalement à nu et rencontrer « le Vide »… prendre conscience qu’on ne sait pas…que l’on est rien….et peut être TOUT…
        Jacques

      • Margelle dit :

        Alors une petite réponse…..

        Jacques, j’aime ton approche, seulement je pense que chacun a son cheminement. Peut-être que cela peut arriver d’un coup… pour ma part il s’agit plutôt de déconstruction que j’accepte au fur et à mesure de ses propositions… et j’en goûte les fruits, mais je ne suis pas dans l’abrupteté… chez moi c’est progressif… cela ne se commande pas… mais peut-être qu’un jour ? sait-on jamais ?
        Soleil Bleu, je ne vois pas quoi rajouter à ton avis…. toujours clair et précis… et même tellement plus clair que ce que je pourrais dire, je suis toujours en plein travaux !!!
        Marie-christine, non inutile de ramasser l’argenterie… j’ai le sens de la mesure (malheureusement ?) et une certaine pratique derrière moi.. mais tu plaisantais… (surtout pour la compassion ! brrrr !)
        Merci Lisa,
        Marie-Anne, pour mémoire et pour un peu de cohérence, je te rappelle un message sur lequel tu pensais que nous étions d’accord (d’ailleurs, je n’en étais pas très sûre !) ou alors s’agit-il d’autre chose que je n’aurais pas trop bien saisi (ce qui m’arrive parfois) ? Tu disais donc que « nous pouvions être d’accord quant à la nécessité de ne prendre que ce qui nous parle vraiment, quitte à laisser de côté ce qui nous alourdit ou ce qui nous étourdit- ou quitte alors, quand on en ressent le besoin, à laisser les choses décanter ou mûrir et à voir ce qui en ressort.
        Tant de vérités et d’expériences coexistent! » … Je peux conclure que les 2 sourates « vide » et « sourire » peuvent co-exister, mais je me demande si l’une ne passe pas d’abord…. A chacune de voir !

        Amitiés à tous…. je peux préciser que si j’ai relevé cette sourate c’est qu’elle parle à une partie de moi qui existe déjà en partie…. mais je pourrais en non-parler quand je serai plus avancée !!!!

        • Marie-Anne dit :

          Oui, Margelle,
          …et je suis bien d’accord avec ce que t’ai dit!
          (Tant mieux! 🙂 )
          Par contre, je ne vois pas où tu vois une incohérence entre mes deux commentaires, donc, il m’est difficile de te répondre plus précisément.
          En tous cas : oui, les 2 sourates peuvent co-exister; l’une me semble (à moi) bien plus compliquée que l’autre, mais si elle te convient mieux (à toi ou à d’autres), comme je l’ai dit : pourquoi pas?

        • pierrot dit :

          Disons que ton approche est plus longue mais moins déstabilisante.

        • Margelle dit :

          Poursuite de la réflexion… très juste ta réflexion Pierrot. Je crois bien qu’on ne choisit pas ! je ne peux parler que pour moi. Il me semble que j’accepte ou non les propositions qui me sont faites… dans la mesure de mes capacités…. mais à ce moment là je peux dire oui ou non… et cela dépend de tellement de choses encore… mais l’attention aiguise les sens. Je crois que c’est le seul outil qu’on puisse manoeuvrer… mais sans doute je me trompe un peu…
          Bien Marie-Anne, nos yeux n’ont pas tout à fait le même regard, mais l’important est peut-être de mieux connaître le regard de l’autre…. ce qui n’est pas d’un abord si évident… mais là encore, on peut s’y entraîner…
          Une petite réflexion pour Jacques… Je suis en train de me demander si je n’ai pas été déconstruite dès le départ, puis me suis bon an mal an un peu reconstruite, mais plutôt de travers… pour vivre le monde tel qu’il était… aussi quand on parle de déconstruction… d’une part, il y a effectivement les propositions de la vie, mais aussi sans doute la crainte initiale que l’on ne souhaite pas retrouver… d’où les résistances… aussi on re-déconstruit, mais en faisant un peu attention…!!! mais vois-tu actuellement, je ressens de mieux en mieux que je ne sais rien -ou pas grand chose- et que je ne suis pas grand-chose, et sans doute bien plus, mais autrement. Mais je n’en ai pas une conscience très claire, il y a toujours comme un voile entre mon non-moi et le rien… c’est peut-être cette conscience qui fait défaut…. Bien, ce n’est pas très clair… c’est une tentative….
          Merci à vous…. vous m’aidez…. 🙂

          • Jacques dit :

            Bonsoir Margelle,
            Lâcher prise…lâcher prise..!
            Faut-il construire ou déconstruire ?
            Et construire sur quelle base, ou déconstruire quel édifice ?
            La Vie nous a obligé, dans notre jeune enfance, à ériger des barrières infranchissables, des forteresses imprenables tout autour de nous-même pour survivre dans la société actuelle.
            Le Coeur n’arrive plus à faire passer son message…
            Mais la Vie est tenace et « remet chaque jour le couvert »…
            Chaque jour, la Vie (Dieu, la Réalité…) nous remet en face de situations que nous n’avons pas su gérer…
            Et un jour, pour une raison ou pour une autre, nous décrochons cette « petite carte » qui passait régulièrement devant notre nez…
            C’est le moment de totalement lâcher prise et d’oser pardonner… et surtout de se pardonner…
            Et tout un pan du château s’écroule…
            Le Pardon est une clef de la Vie. Utilisons la !

            Je ne sais rien.. Je ne suis RIEN…
            Ces sensations t’honorent Margelle. Elles prouvent que tu avances bien sur ton chemin…

            Bonne soirée
            Jacques

          • Katerina dit :

            Margelle ,

            Meme si comme tu le dis on est rien , on n est en fait pas rien dans l univers .
            Et je ne me sens ni pas rien ni rien .
            Amitiés
            Catherine

            • Margelle dit :

              Et cela, Katerina, n’a pas vraiment trop d’importance… mais, comme tu le dis, les 2 sont justes. En même temps… nous vivons dans beaucoup d’illusions…. et chapeau à l’artiste qui a créé ce quelque chose à partir du rien… quel superbe illusionniste ! nous ne sommes que de pales copies… 🙂
              Il est où le magicien ??? certains disent que c’est nous !!!! va savoir…. il est vrai que nous sommes capables de créer, et de croire à beaucoup de choses…. drôles d’animaux divins… en attendant l’humain…

              • Katerina dit :

                Seulement à force de dire nous ne sommes rien ou tout , nous devenons fatalistes .
                Nos pensées en tous les cas ne sont pas rien , nos paroles non plus , nos actes idem .
                Et on sait tout de meme ce qu est le bien .
                Amitiés
                Catherine

              • pierrot dit :

                Effectivement Katerina c’est le rôle du fils d’agir et le rôle du père de nous ressourcer.
                Donc oser briller, être sur le terrain, vigilance quant aux mots et pensées utilisées et se connecter à la source ?

              • Margelle dit :

                Ou nous devenons plus « lucides » ? avec beaucoup de «  » et de ??? mais douter un peu, n’être sûr de rien peut nous amener à voir, sentir autrement… Et l’expérience ne se termine pas là…. nous en avons tellement à vivre pour réviser nos « jugements »… La vie est là pour ça…. et sûrement qu’il y a le père et le fils, et je crois aussi l’esprit…. qui fait le lien….. …Mais aussi ne pas se prendre la tête….
                Amitiés…

              • Margelle dit :

                J’ai envie de rajouter que nous avons chacun nos rythmes, nos moments… qui ne sont pas toujours en phase avec l’autre. On peut suivre son rythme à soi… en écoutant l’autre, même si on n’est pas d’accord, ce qui (m’) arrive souvent, laissons le temps faire son oeuvre… le désaccord peut aider à approfondir son état (j’hésite à parler de pensée), et ça peut se faire avec soi-même….

              • Katerina dit :

                Margelle ,

                Le but ne serait il pas de ne plus juger ?

                Catherine

              • Margelle dit :

                Je ne sais pas, Katerina, s’il n’y a qu’un but… Pourquoi en parles-tu ? Chacun a sans doute à découvrir le sien, les siens, en s’aidant des effets miroirs ?

              • Katerina dit :

                Alors pas de but , Margelle .
                Tout va bien .
                Catherine

    • pierrot dit :

      je vais aller spoter ça juste pour m’amuser

    • marie christine dit :

      Merci pour cette video, Spot .
      Je crois qu’il va falloir s’habituer à donner toujours deux doubles sens à chaque mot de notre vocabulaire !
      Prenons le mot « pouvoir » . Dans le mental, il signifie « domination/soumission .
      Dans la conscience spirituelle (l’observateur), il peut signifier quelque chose comme « conception-réalisation » .
      Dans le premier cas, il est duel . Dans l’autre, il est unifié .

      • graffitique dit :

        Le langage a sans doute autant de capacité à voiler et obscurcir, que dévoiler et éclaircir.
        On observe parfois ceci, que deux personnes peuvent dire la même chose avec des mots différents, et aussi dire des choses différentes avec les mêmes mots.
        C’est pourquoi il est profitable de « croiser » les différentes formulations parce que ça aide à se détacher des mots. Parce que le langage n’engage pas que le mental (l’intellect), il a aussi au-delà de sa substance, le pouvoir de débusquer des résistances, défaire des nœuds, susciter des intuitions, des émotions, etc.
        Ça devient alors une musique, une vibration, un rythme.